salam
A Casablanca, des milliers de familles ont bénéficié dun programme de relogement comme à Errahma, Aïn Sebaâ Cette population vit certes dans du dur mais elle souffre de nombreuses difficultés : impossibilité de payer les traites, rareté des moyens de transport, violence, absence de sources de revenu et dinfrastructures de base
bidonville Maroc
Nous sommes dans le périmètre de la préfecture dAïn Sebaâ. Aux quartiers Al Amane et El Wifaq, des milliers de familles y ont élu domicile après avoir quitté leurs bidonvilles. Elles ont bénéficié de lattribution de logements sociaux à 140 000 DH dans le cadre du programme de relogement. Auparavant, elles vivaient dans ces fameux bidonvilles qui jouxtaient les «chemins de fer», ces baraques visibles pour tous ceux qui prenaient le train de Casa Port à destination de Mohammedia. Ils portaient les noms de kariane Sahrawa, douar Casa, Qamra, Nhaïliya, Larbi Fadli ou encore Hay Adil.
http://www.lavieeco.com/news/societe/la-vie-apres-le-bidonville--24693.html
A Casablanca, des milliers de familles ont bénéficié dun programme de relogement comme à Errahma, Aïn Sebaâ Cette population vit certes dans du dur mais elle souffre de nombreuses difficultés : impossibilité de payer les traites, rareté des moyens de transport, violence, absence de sources de revenu et dinfrastructures de base
bidonville Maroc
Nous sommes dans le périmètre de la préfecture dAïn Sebaâ. Aux quartiers Al Amane et El Wifaq, des milliers de familles y ont élu domicile après avoir quitté leurs bidonvilles. Elles ont bénéficié de lattribution de logements sociaux à 140 000 DH dans le cadre du programme de relogement. Auparavant, elles vivaient dans ces fameux bidonvilles qui jouxtaient les «chemins de fer», ces baraques visibles pour tous ceux qui prenaient le train de Casa Port à destination de Mohammedia. Ils portaient les noms de kariane Sahrawa, douar Casa, Qamra, Nhaïliya, Larbi Fadli ou encore Hay Adil.
http://www.lavieeco.com/news/societe/la-vie-apres-le-bidonville--24693.html