Les sionistes qualifient de « stupides » et de « mal intentionnées »de telles accusations. Du côté palestinien, on rappelle la tentative dassassinat à Amman, le 25 septembre 1997, dun des dirigeants du Hamas, M. Khaled Meshal : deux agents du Mossad lui avaient injecté, en pleine rue, un poison dans loreille. Fou de rage, le roi Hussein exigea quIsraël fournisse immédiatement le contrepoison, faute de quoi il prendrait la responsabilité dune crise majeure entre les deux pays. Le premier ministre Benyamin Nétanyahou accepta de livrer lantidote et, pour calmer le jeu, libéra soixante-dix prisonniers palestiniens, dont Cheikh Yassine.
Des dirigeants israéliens, nenvisagent lélimination physique du président palestinien que si celle-ci ne laisse « aucune empreinte israélienne ». Doù le recours à un poison indétectable : « Cest sans doute ce qui sest passé », assure-t-il. Un journaliste israélien chevronné, qui préfère lui aussi conserver lanonymat, a raconté à plusieurs confrères que, à peine la maladie du chef palestinien connue
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Des dirigeants israéliens, nenvisagent lélimination physique du président palestinien que si celle-ci ne laisse « aucune empreinte israélienne ». Doù le recours à un poison indétectable : « Cest sans doute ce qui sest passé », assure-t-il. Un journaliste israélien chevronné, qui préfère lui aussi conserver lanonymat, a raconté à plusieurs confrères que, à peine la maladie du chef palestinien connue
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