Comme je l'est dit, la vulgarité existe c'est juste que l'appréciation change n'ont pas au fait de la définir mais la sensibilité que l'on à de l'écouté : Bigard en est le meilleur exemple, certains l'aime pour sa vulgarité, d'autres ne l'aime pas pour ça.
Mais le débat c'est pas ça, se qui me gène avec ladygaga c'est qu'avec sa vulgarité et son obscénité dans son comportement elle peut faussé l'image des homosexuel et les enfoncé plutôt que de les aider.
Je préfère de loin Jimmy Sommerville.
Non, la vulgarité est question d'époque, de modes et de moeurs.
Je te donne un autre exemple: Elvis était considéré comme très vulgaire, dans l'amérique puritaine au début des années 50 par ses déhanchements. Aujourd'hui, de tels gestes paraissent on ne peut plus banals de la part d'un chanteur. c'est donc affaire de temps, de mode et de conceptions sociales.
Il en va de même pour lady gaga. Je comprends que tu puisses la trouver vulgaire par ses tenues, tout comme tu dois comprendre qu'aux yeux d'autres, elle ne l'est pas.
La question n'est pas si ce qu'elle fait aide ou non les homos
. La question est qu'on l'interdit car elle viole des principes de moralité publique tels qu'édictés en indonésie. Il s'agit donc d'atteintes à des valeurs normatives de référence. Tout comme Dieudonné viole la loi interdisant les propos antisémites en France, qui sanctionne chacun - national ou étranger - qui en tient.
Dans un cas comme dans l'autre, on a donc affaire à une interdiction motivée par une atteinte à une loi ou une norme morale. Tu vois ce que je veux dire ? Si oui, comprends-tu cette similitude de principes dont je te parlais ?
Il importe dans ce genre d'affaires de ne pas raisonner au moyen d'un cadre propre de référence si on veut se projeter - comme c'est nécéssaire ici - dans un autre épistémé. A défaut de quoi on le jugera toujours de façon orientée et non "déconnectée".