redoutable
la mort regle tous problm
Depuis le déclenchement de la guerre au nord du Mali il y a un an, Alger a toujours privilégié l'option du dialogue pour régler la crise et s'est opposée à toute intervention étrangère dans ce qu'elle considère comme son arrière-cour. Les Algériens ont donc perdu sur les deux tableaux, diplomatique et militaire. Ansar Dine et son chef, Iyad Ag Ghali, qu'ils avaient réussi à imposer comme un partenaire fréquentable, les a floués en décidant d'attaquer l'armée malienne avec ses alliés islamistes d'Aqmi et du Mujao.
L'intervention étrangère est en cours et, qui plus est, déclenchée et conduite par la France, l'ancienne puissance coloniale.
L'intervention étrangère est en cours et, qui plus est, déclenchée et conduite par la France, l'ancienne puissance coloniale.