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Huit mille personnes ont signé une pétition contre la ségrégation des sexes dans les universités britanniques, mais une centaine de personnes seulement ont manifesté hier soir. Qui mène le combat ?, demande Emma Pearce.
Les femmes ont eu accès aux études universitaires en 1878 au Royaume-Uni, mais hier soir à Londres, devant le siège de UniversitiesUK, qui se présente comme «la voix des universités britanniques», le combat pour l’égalité apparaissait loin d’être gagné.
Une centaine de personnes se sont rassemblées à Tavistock Square par un soir glacial de décembre pour protester contre «l’apartheid sexuel honteux» dans les universités.
Selon les nouvelles lignes directrices publiées le mois dernier par UniversitiesUK, les institutions peuvent permettre la ségrégation pendant les conférences d’orateurs externes, sur la base des préceptes de leur religion, puisque «la simple imposition de la séparation des sexes ne semble pas discriminatoire»
La date d’hier avait été choisie pour le rassemblement contre la pratique largement répandue de la ségrégation sexuelle, car elle marquait la Journée internationale des droits de l’Homme et celle des funérailles de Nelson Mandela. Selon un rapport publié au printemps, la ségrégation des sexes lors d’évènements organisés exclusivement par les associations d’étudiants musulmans ou dans l’intérêt des musulmans, est une pratique courante.
Huit mille personnes ont signé une pétition contre la ségrégation des sexes dans les universités britanniques, mais une centaine de personnes seulement ont manifesté hier soir. Qui mène le combat ?, demande Emma Pearce.
Les femmes ont eu accès aux études universitaires en 1878 au Royaume-Uni, mais hier soir à Londres, devant le siège de UniversitiesUK, qui se présente comme «la voix des universités britanniques», le combat pour l’égalité apparaissait loin d’être gagné.
Une centaine de personnes se sont rassemblées à Tavistock Square par un soir glacial de décembre pour protester contre «l’apartheid sexuel honteux» dans les universités.
Selon les nouvelles lignes directrices publiées le mois dernier par UniversitiesUK, les institutions peuvent permettre la ségrégation pendant les conférences d’orateurs externes, sur la base des préceptes de leur religion, puisque «la simple imposition de la séparation des sexes ne semble pas discriminatoire»
La date d’hier avait été choisie pour le rassemblement contre la pratique largement répandue de la ségrégation sexuelle, car elle marquait la Journée internationale des droits de l’Homme et celle des funérailles de Nelson Mandela. Selon un rapport publié au printemps, la ségrégation des sexes lors d’évènements organisés exclusivement par les associations d’étudiants musulmans ou dans l’intérêt des musulmans, est une pratique courante.