Nous détruirons l'EI et toute autre organisation qui chercherait à nous nuire", a lancé dimanche le président des Etats-Unis lors d'une allocution solennelle depuis le Bureau ovale.
Alors que l'organisation Etat islamique s'est attribuée l'attentat de San Bernardino qui a coûté la vie à 35 personnes, Barack Obama a promis de "traquer les terroristes" où qu'ils soient. "La menace du terrorisme est réelle, mais nous la vaincrons. Nous détruirons l'EI et toute autre organisation qui chercherait à nous nuire", a lancé le président américain lors d'une allocution solennelle depuis le Bureau ovale.
Reconnaissant que nombre d'Américains se demandaient s'ils étaient face à "un cancer" sans traitement, le président des Etats-Unis a appelé ses compatriotes à ne pas céder à la peur ou à la tentation de stigmatiser les musulmans. "L'EI ne parle pas au nom de l'Islam, ce sont des voyous, des tueurs", a-t-il martelé depuis un pupitre installé dans le Bureau ovale, appelant à considérer les musulmans comme des "alliés" plutôt qu'à "les repousser à travers la suspicion ou le haine".
Pour autant, a-t-il souligné avec force, les musulmans doivent aussi assumer leurs responsabilité et lutter - sans chercher d'excuses - contre les "idéologies extrémistes" qui ont progressé au sein de certaines de leurs communautés.
Obama peine à convaincre
Sans annoncer d'inflexion dans sa stratégie de lutte face à l'EI, il a réitéré que les Etats-Unis ne se laisseraient pas entraîner dans une "longue et coûteuse" guerre au sol en Irak et en Syrie, où une coalition menée par Washington bombarde les djihadistes depuis plus d'un an. Mais à un an de son départ de la Maison Blanche, le président américain peine à convaincre du bien-fondé de sa stratégie.
Selon un sondage CNN/ORC rendu public dimanche soir juste avant son allocution présidentielle, 68% des Américains jugent que la réponse militaire face à l'EI n'a pas été assez agressive. Selon ce sondage, réalisé avant la fusillade de San Bernadino, 60% des personnes interrogées (contre 51% en mai) désapprouvent la façon dont le président fait face à la question du terrorisme.
lexpress.
mam
Alors que l'organisation Etat islamique s'est attribuée l'attentat de San Bernardino qui a coûté la vie à 35 personnes, Barack Obama a promis de "traquer les terroristes" où qu'ils soient. "La menace du terrorisme est réelle, mais nous la vaincrons. Nous détruirons l'EI et toute autre organisation qui chercherait à nous nuire", a lancé le président américain lors d'une allocution solennelle depuis le Bureau ovale.
Reconnaissant que nombre d'Américains se demandaient s'ils étaient face à "un cancer" sans traitement, le président des Etats-Unis a appelé ses compatriotes à ne pas céder à la peur ou à la tentation de stigmatiser les musulmans. "L'EI ne parle pas au nom de l'Islam, ce sont des voyous, des tueurs", a-t-il martelé depuis un pupitre installé dans le Bureau ovale, appelant à considérer les musulmans comme des "alliés" plutôt qu'à "les repousser à travers la suspicion ou le haine".
Pour autant, a-t-il souligné avec force, les musulmans doivent aussi assumer leurs responsabilité et lutter - sans chercher d'excuses - contre les "idéologies extrémistes" qui ont progressé au sein de certaines de leurs communautés.
Obama peine à convaincre
Sans annoncer d'inflexion dans sa stratégie de lutte face à l'EI, il a réitéré que les Etats-Unis ne se laisseraient pas entraîner dans une "longue et coûteuse" guerre au sol en Irak et en Syrie, où une coalition menée par Washington bombarde les djihadistes depuis plus d'un an. Mais à un an de son départ de la Maison Blanche, le président américain peine à convaincre du bien-fondé de sa stratégie.
Selon un sondage CNN/ORC rendu public dimanche soir juste avant son allocution présidentielle, 68% des Américains jugent que la réponse militaire face à l'EI n'a pas été assez agressive. Selon ce sondage, réalisé avant la fusillade de San Bernadino, 60% des personnes interrogées (contre 51% en mai) désapprouvent la façon dont le président fait face à la question du terrorisme.
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