Je répétais souvent au long et au large de la section HDC, que l’amour est un paradoxe. Je n’essayerais pas d’expliquer pourquoi je pense que l’amour est un paradoxe, car ce n’est pas évident du tout. Je n’essayerais pas de démontrer pourquoi l’amour est un paradoxe, car je ne vais pas pouvoir démontrer cette assertion (démontrable). Comme pour toute démonstration qui se respecte, il va falloir que j’écrive des livres et des livres, et vous risquez malgré tout de ne pas être convaincus. J’essayerais par contre d’appliquer directement cette connaissance pour conclure des conseils pratiques et immédiats.
D’abord, pour ceux qui ont lu mon histoire, ne croyez pas que j’ai tiré cette vérité de ma propre expérience. Au contraire, cette assertion est le fruit d’un long processus de travail philosophique. Le paradoxe est présent partout, non seulement dans l’amour, mais dans toutes les dimensions et aspects de la psyché humaine. Sans dérouler la liste infinie des paradoxes se cachant dans la nature, le temps et l’histoire. Toute la vie est un paradoxe mais hey attendez, aujourd’hui nous parlerons que de l’amour.
L’histoire de la philosophie ne contient pas des noms qui se sont penchés sur la notion. Les philosophes faisaient usage du paradoxe comme un moyen de stimulation de la réflexion, et, de fixation, par la pensée, des limites d’une idée donnée. Mais, pour voir le paradoxe comme moyen de dogmatisation de la réflexion, et, de dépassement, par l’action, des limites d’une idée donnée, ils étaient à mon avis défavorisés par des contraintes historiques. Si l’on compare l’évolution de toute la philosophie humaine à la croissance d’un homme, alors l’intégralité des philosophes avant Kant représente un enfant naïf et peureux. Schopenhauer est un bouton géant sur notre nez, et Freud notre première érection. C’est l’avènement de l’école du Palo Alto, l’école de Frankfurt et de la psychothérapie en général qui marquent le début de l’adolescence. En fait, Nietzsche serait notre midlife crisis (crise de la quarantaine), bien qu’il soit du 19ème siècle, lui et Kierkegaard sont considérés par certains comme une apparition post-postmoderne, un anachronisme dans la philosophie. Ces derniers ont inconsciemment insinué l’omniprésence du paradoxe.
La connaissance du paradoxe de l’amour, nous amène à examiner la quête et la conquête de l’âme sœur, comme une requête et enquête sur l’opposé de l’âme sœur, notre pire cauchemar. Au lieu de se poser la question : Qu’est-ce que je veux ? Il est plus efficient de se poser la question qu’est-ce que je ne veux pas ?! Une fois la réponse trouvée, il faut commencer par l’appliquer en éliminant ces défauts de sa propre personne, avant de se poser des questions sur le partenaire. Je me suis aussi posé cette question et voilà la liste, ma liste, des principaux défauts et vices de la personnalité humaine, du plus grave au moins grave, des défauts, qui sont inacceptables à mes yeux, et aux vôtres aussi, je l’espère.
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D’abord, pour ceux qui ont lu mon histoire, ne croyez pas que j’ai tiré cette vérité de ma propre expérience. Au contraire, cette assertion est le fruit d’un long processus de travail philosophique. Le paradoxe est présent partout, non seulement dans l’amour, mais dans toutes les dimensions et aspects de la psyché humaine. Sans dérouler la liste infinie des paradoxes se cachant dans la nature, le temps et l’histoire. Toute la vie est un paradoxe mais hey attendez, aujourd’hui nous parlerons que de l’amour.
L’histoire de la philosophie ne contient pas des noms qui se sont penchés sur la notion. Les philosophes faisaient usage du paradoxe comme un moyen de stimulation de la réflexion, et, de fixation, par la pensée, des limites d’une idée donnée. Mais, pour voir le paradoxe comme moyen de dogmatisation de la réflexion, et, de dépassement, par l’action, des limites d’une idée donnée, ils étaient à mon avis défavorisés par des contraintes historiques. Si l’on compare l’évolution de toute la philosophie humaine à la croissance d’un homme, alors l’intégralité des philosophes avant Kant représente un enfant naïf et peureux. Schopenhauer est un bouton géant sur notre nez, et Freud notre première érection. C’est l’avènement de l’école du Palo Alto, l’école de Frankfurt et de la psychothérapie en général qui marquent le début de l’adolescence. En fait, Nietzsche serait notre midlife crisis (crise de la quarantaine), bien qu’il soit du 19ème siècle, lui et Kierkegaard sont considérés par certains comme une apparition post-postmoderne, un anachronisme dans la philosophie. Ces derniers ont inconsciemment insinué l’omniprésence du paradoxe.
La connaissance du paradoxe de l’amour, nous amène à examiner la quête et la conquête de l’âme sœur, comme une requête et enquête sur l’opposé de l’âme sœur, notre pire cauchemar. Au lieu de se poser la question : Qu’est-ce que je veux ? Il est plus efficient de se poser la question qu’est-ce que je ne veux pas ?! Une fois la réponse trouvée, il faut commencer par l’appliquer en éliminant ces défauts de sa propre personne, avant de se poser des questions sur le partenaire. Je me suis aussi posé cette question et voilà la liste, ma liste, des principaux défauts et vices de la personnalité humaine, du plus grave au moins grave, des défauts, qui sont inacceptables à mes yeux, et aux vôtres aussi, je l’espère.
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