Le conseil d'etat annule l'interdiction du maïs de monsanto

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Le Foll n'avait qu'à apporter des éléments probants. Il a voulu faire plaisir aux écolos qui sont, concernant Monsanto, dans une position ambiguë, mélangeant un peu tout: l’environnement, l'économique, la peur du "génétique"...

Tu es naïf mon pauvre MagicBus, ce ministre hollandien a sans doute fait exprès de ne pas apporter d'éléments probants pour que le gouvernement ait l'air d'attaquer monsanto sans le faire réellement ... La Cour Constitutionnelle aurait peut-être interdit ce produit si c'était bien argumenté, elle ne peut pas inventer des arguments que le plaignant a fait exprès de ne pas faire valoir.
Ainsi Hollandouille peut faire mine d'avoir voulu jouer à l'écologiste sans l'avoir fait ... Encore un piège de la part de ce répugnant faux-gentil ...
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Salam Hibou le revenant ^^
Pourquoi je suis contre Monsanto !

Aucune loi n’oblige les agriculteurs à utiliser des OGM, s’ils les utilisent, c’est parce qu’ils y trouvent leur compte.

Et les OGM, ce n’est pas que Mosanton, puis les OGM et le problème des monopoles, ce sont deux questions différentes.
Tu te fous de moi !!! Tu as tout faux.... Je t'invite à faire des recherches sur le sujet.

PS: Je suis agriculteur.
 

supermaxx

Bladinaute averti
n'est il pas interdit de ressemer sa propre récolte en France?
L'usage gratuit et libre des graines est interdite. C'est grave d'avoir laissé les industriels s'approprier les graines du monde entier.

Il faut remercier les politiciens qui font de leur mieux pour leur donner plus de pouvoir.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
n'est il pas interdit de ressemer sa propre récolte en France?
L'usage gratuit et libre des graines est interdite. […]
Pour les particuliers, non, pour les agriculteurs, peut‑être, je ne sais pas. Si c’est bien le cas, alors c’est peut‑être pour une question de norme, de la même manière qu’il y a les appelations d’origine contrôlées. Je n’affirme pas, c’est seulement une hypothèse.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Pour les particuliers, non, pour les agriculteurs, peut‑être, je ne sais pas. Si c’est bien le cas, alors c’est peut‑être pour une question de norme, de la même manière qu’il y a les appelations d’origine contrôlées. Je n’affirme pas, c’est seulement une hypothèse.

pour les agriculteurs, c'est vrai

pour les particuliers, en effet, c'est non
cependant, celui qui débute achète bien des graines..... modifiées.....puisque les grands groupes sont dans toutes les
jardineries :rolleyes::rolleyes:

mam
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
pour les particuliers, en effet, c'est non
cependant, celui qui débute achète bien des graines..... modifiées.....puisque les grands groupes sont dans toutes les
jardineries :rolleyes::rolleyes:
En même temps, ce sont les meilleures graines. Celles qu’on fait soi‑même, ne sont pas très bonnes.

À part ça, il y a les plantes sauvages, mais presque plus personnes ne les cultive ou les récolte, excepté quelques unes.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur

Une majorité écrasante de la population européenne rejette les OGM et de nombreux États membres ont interdit leur mise en culture. Cependant, les entreprises de l’agrochimie ont trouvé une nouvelle recette pour faire entrer les OGM dans nos champs et nos assiettes : contourner la réglementation européenne en affirmant que les OGM issus de nouvelles techniques ne sont en réalité pas des OGM.

Si les industriels parviennent à leurs fins, des plantes et des animaux génétiquement modifiés pourraient très vite arriver dans nos champs et nos assiettes.
Ils ne seraient pas soumis aux obligations d’évaluation des risques ou d’étiquetage.
En réalité, comme leur présence serait passée sous silence, nous ne pourrions rien faire pour nous en protéger !

Ne pas céder à la pression des industriels, ni des Etats-Unis
La réglementation européenne exige que les OGM fassent l’objet d’une évaluation des risques sanitaires et environnementaux et d’un étiquetage, pour que les consommateurs puissent faire leurs choix en toute connaissance de cause.
Depuis 2015, les États membres peuvent également interdire les cultures d’OGM sur leur sol – ce que 19 d’entre eux ont fait, sur tout ou partie de leur territoire. Si les nouveaux OGM échappaient à la réglementation, cette possibilité serait exclue et il n’y aurait aucun moyen de les éviter.

La Commission européenne a annoncé qu’elle publierait une analyse juridique qui précisera si les nouveaux OGM seront couverts ou non par la réglementation.

Les entreprises qui commercialisent des OGM, soutenues par le gouvernement américain, sont en train de faire pression sur la Commission pour qu’elle exclue de cette réglementation les OGM produits à partir des nouvelles techniques de manipulation génétique.

Leur objectif : breveter et privatiser le vivant.

En tant que citoyens avertis, nous vous demandons d’appliquer rigoureusement la réglementation de l’Union européenne sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) à tous les OGM, sans exception, destinés à être commercialisés dans l’Union européenne, quelle que soit la méthode dont ils sont issus.

Il faut que les ministères français de l’Environnement et de l’Agriculture ainsi que la Commission européenne ne laissent planer aucun doute sur le fait que les nouveaux OGM issus de techniques d’édition de gènes ou d’autres techniques doivent être soumis à la réglementation européenne sur les OGM.
Cette réglementation exige l’évaluation avant autorisation, la traçabilité et l’étiquetage des OGM.
Les dirigeants ne doivent pas céder à la pression des industriels, qui ferment les yeux sur l’opposition de la population aux OGM et tentent de contourner la réglementation.
Il en va de notre santé et de notre environnement.

https://act.greenpeace.org/ea-action/action?ea.client.id=1849&ea.campaign.id=49888

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
En même temps, ce sont les meilleures graines.
Celles qu’on fait soi‑même, ne sont pas très bonnes.*

À part ça, il y a les plantes sauvages, mais presque plus personnes ne les cultive ou les récolte, excepté quelques unes.**

* sans doute que l'on s'y prend mal

**comme la carotte sauvage !

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Non en toute objectivité et connaissance de cause.

ce n'est pas sans raison :

Reporterre sur France Inter : le mystère des OGM cachés
19 avril 2016 /

Lundi 18 avril 2016
Il y avait les organismes génétiquement modifiés, issus d’une transgenèse, c’est-à-dire d’un transfert de gènes d’une espèce vers une autre espèce. Et puis se développent depuis quelques années des techniques voisines, mais qui ne sont pas directement de la transgenèse. On le appelle « Nouvelles techniques de sélection des plantes » (NPBT).

Elles avancent masquées, cherchant à éviter la réglementation.
Le point sur cette affaire... compliquée.
La Science de l’environnement, dans « La Tête au carré », avec Reporterre, animé par Matthieu Vidard avec Lorène Lavocat, et Yves Bertheau, chercheur à l’Institut national de la recherche agronomique, et qui a démissionné du Haut conseil des biotechnologies.
Ecouter ici : http://reporterre.net/Reporterre-sur-France-Inter-le-mystere-des-OGM-caches

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Le Burkina fait un virage à 180 degrés et renonce au coton génétiquement modifié

Il y a quinze 15 ans, le coton CGM avait généré d'immenses espoirs. On parlait alors de résistance à la sécheresse dans ce pays sahélien et d'éradication des parasites, notamment des chenilles "hélicoverpa armigera" qui ont ruiné des milliers de paysans en 1991, 1996 et 2000.
On promettait aussi une réduction du nombre de traitements phytosanitaires (pesticides) et de meilleurs rendements, avec une augmentation de 50% à 90% de la production.
En 2003, le Burkina avait accordé des autorisations d'expérimentation à Monsanto et à la multinationale suisse Syngenta. En 2007, le pays a lancé la production à grande échelle du coton transgénique et, à partir de 2009, les autorités ont ordonné aux paysans d'en ensemencer jusqu'à 80% de leur production, permettant une réduction du temps et de la pénibilité au travail.
"Avec le coton CGM on a deux traitements, avec le conventionnel on en a six. Les traitements, ça fatigue", témoigne Célestin Dala, cotonculteur dans le Nayala (Ouest).

. Autrefois très apprécié sur le marché mondial pour sa pureté et la longueur de sa fibre, le coton burkinabè a décliné.
"La fibre de coton que nous produisons aujourd'hui est devenue courte", et donc plus difficile à filer, "ce qui signifie que sur le marché c'est une activité qui n'est plus très intéressante pour nous",

https://fr.news.yahoo.com/burkina-fait-virage-à-180-degrés-renonce-au-095915875.html

des ravages dans tous les pays à tous les niveaux

mam
 

supermaxx

Bladinaute averti
Pour les particuliers, non, pour les agriculteurs, peut‑être, je ne sais pas. Si c’est bien le cas, alors c’est peut‑être pour une question de norme, de la même manière qu’il y a les appelations d’origine contrôlées. Je n’affirme pas, c’est seulement une hypothèse.
Non c'est pas une question de norme puisque ceux dont ont laisse ressemer leur graines doivent verser une taxes sui va aux semenciers pour soutenir la recherche.
Pour ceux qui ressement sans payer cette taxe doivent s'aquitter de lourdes amendes.
Quelques paysans résistent encore en france et certains se passent des semences sous le menteau et encouragent les autres à les rejoindre.

La volonté ici est de favoriser les industriels de la semence.
Moi qui vient du milieu paysan je trouve ça hallucinant, une regression sans précédent pour les agriculteurs et surtout les paysans.
 
Haut