VeraBien
VIB
Oui, mais réincarné en géranium alors : au moins, il ne fera de mal à personne^^
Le jihadiste français d'origine bretonne david drugeon est mort
- Initiateur de la discussion Drianke
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Oui, mais réincarné en géranium alors : au moins, il ne fera de mal à personne^^
Makelloos
VIB
tu fais exactement la même chose, tu es entrain de m'insulter sans que tu te rends compte.
je ne t'en veux pas car ça ne me fait rien de me traiter de croyant lol
la croyance, c'est dans le coeur, dans la bouche et dans les comportements.
c'est un tout.
ne pas banaliser non plus l'islamophobie,
de quoi tu m'accuses? s'insurger quand une personne se dit musulmane mais qui ne peut pas se retenir en mêlant Islam et vulgarité, ce n'est pas anodin. se la jouer muslim coule, pourquoi pas mais le luc n'est pas une obligation, on ne le prononce pas assez souvent comme on prononce bismillah.
Dernière édition:
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
La réaction de la mère lors de la première mort en 2014
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sur-la-piste-du-francais-d-al-qaeda_1613834.html
Le jeune djihadiste David Drugeon faisait partie de l'élite combattante de l'organisation. Cet expert en explosifs était considéré comme une cible prioritaire par l'armée américaine. L'Express a retracé son parcours, de la Bretagne à la Syrie, en passant par le Pakistan, où il a sans doute croisé Mohamed Merah. Il aurait été abattu par un drone en novembre 2014.
Il est tout juste minuit, le mardi 23 septembre, et la nuit syrienne se change en jour. Des éclats de lumière déchirent le ciel pour s'abattre sur huit bâtiments disséminés dans la campagne, près d'Alep. Les frappes de la coalition internationale antidjihadistes viennent de commencer. Deux navires de guerre américains lancent leurs missiles Tomahawk en direction du nord-ouest, près de la frontière turque.
>> Mise à jour du 6 novembre : David Drugeon aurait été abattu par un drone américain
Leur cible: Khorasan, un groupuscule dont l'existence a été révélée récemment, et qu'ils suspectent de préparer desattaques contre les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux. Le feu américain tente de neutraliser ces survivants d'Al-Qaïda "première époque". L'organisation responsable des attentats du 11 septembre 2001 à New York et à Washington n'a pas désarmé. Sous la bannière Khorasan, elle entend toujours frapper.
Comme un symbole, l'US Army a tenu à mener seule l'opération, alors que les raids contre l'Etat islamique - la principale organisation djihadiste - associent certains de ses alliés. Officiellement, c'est un succès: le Pentagone aurait éliminé l'un des chefs militaires de Khorasan. Selon l'agence Associated Press, une cible prioritaire aurait toutefois été manquée: David Drugeon, un Français de 24 ans.
Présenté comme un expert en explosifs, respecté pour ses faits d'armes dans les montagnes afghanes, ce "vétéran" a gravi les échelons jusqu'à intégrer l'élite combattante du djihad mondialisé. Le 5 octobre dernier, sa légende s'est enrichie d'un épisode troublant: le site américain McClatchy évoquait, sans donner son nom, un mystérieux "agent français" qui aurait "fait défection pour Al-Qaïda". L'information a été démentie avec force par le ministère de la Défense. Drugeon, puisque c'est de lui qu'il s'agit, ne serait donc pas un agent, mais bien un djihadiste au destin vertigineux. L'enquête de L'Express, menée auprès de ses proches, de multiples sources du renseignement, recoupée avec divers dossiers judiciaires, permet de retracer son parcours.
David Drugeon, toujours inscrit sur le site Copains d'avant, fut longtemps un gamin sans histoires, né à Vannes, à quelques encablures du golfe du Morbihan. En 1989, année de sa naissance, les moudjahidine afghans chassent les dernières troupes soviétiques. Cette histoire de guerre lointaine, les Drugeon - père contrôleur de bus, mère secrétaire et fervente catholique - la suivent d'un oeil distrait, à la télévision, comme bien des Français. Ils habitent alors Ménimur, quartier classé en zone urbaine sensible (ZUS), un ensemble de petites barres HLM, entouré de maisons individuelles. La population bigarrée mêle cadres moyens, salariés et ouvriers, notamment des familles d'origine maghrébine.
Dans les années 1990, Ménimur, avec ses rues aux noms de poètes et de fleurs, n'a rien d'un ghetto. La famille occupe un grand appartement, allée des Tulipes. Avec son frère aîné, né deux ans avant lui, David connaît une scolarité linéaire: classes primaires à l'école Brizeux, puis collège Antoine-de-Saint-Exupéry, à 600 mètres du domicile familial.
"Islam des caves" et "Breizh Connection"
La grande passion des deux frères reste le foot. David, doté d'un bon pied gauche, joue défenseur central à l'AS Ménimur et voue un culte à l'Olympique de Marseille, un "virus" inoculé par le père. "Je les ai emmenés six ou sept fois au Vélodrome, raconte ce dernier. On partait de Vannes le vendredi soir avec un car de supporters. Je conduisais: 1 170 kilomètres, douze heures de route et retour après le match." A l'époque, David arbore en permanence le maillot de l'OM, même à Noël ou aux anniversaires. Pour un peu, il dormirait avec.
En 2002, l'univers des deux garçons se fissure avec le divorce des parents. Alors qu'ils restent au côté de leur mère, allée des Tulipes, on les aperçoit bientôt auprès de musulmans salafistes, adeptes d'un retour à la supposée religion "des origines". La petite troupe refait le monde de l'après-11 Septembre et s'interroge sur le sort qu'un musulman doit réserver aux "mécréants". Rapidement, les frères Drugeon se convertissent. A 13 ans, David se métamorphose en "Daoud". "Dans le groupe, un jeune adulte semblait avoir beaucoup d'influence sur eux, se rappelle une ancienne voisine. David le tenait par le bras, comme on le ferait avec un grand frère protecteur."
De fait, son comportement change du tout au tout. Au troisième trimestre de l'année scolaire 2004-2005, alors qu'il est en seconde au lycée Alain-René-Lesage, l'élève Drugeon décroche. Ses excellentes moyennes - 18 en initiation aux sciences de l'ingénieur, 17 en histoire-géo- s'effondrent. Il délaisse le stade de foot et lui préfère la mosquée, un bien grand mot pour une salle de prière insalubre, en sous-sol, à deux minutes à pied de chez lui. Dans cet "islam des caves", David/Daoud s'initie à une lecture littéraliste du Coran et apprend l'arabe. A la rentrée suivante, il s'inscrit tout de même en internat dans un lycée professionnel, à Rennes.
Son rêve: devenir architecte. Malgré de réelles capacités, l'expérience tourne court: trois mois plus tard, il est sommé de cesser de "faire sa prière au pied de l'escalier du dortoir", comme le rapporte un membre du personnel. "J'ai été convoqué avec lui par le proviseur, confirme son père. Nous lui avons donné le choix: les études ou la religion. Il a opté pour la religion..." De retour à Vannes, l'ado obtient finalement un BEP mécanique auto. Son frère aîné, lui, poursuit son apprentissage d'un islam rigoriste, mais de manière paisible.
Au fil du temps, David prend de l'assurance, et commence à attirer l'attention de la police. L'antenne rennaise de la DCRI (renseignement intérieur) a eu vent de cette agitation de cage d'escalier du côté de Vannes. Une demi-douzaine de personnes, radicalisées par un imam local, sont alors recensées. Rien de bien inquiétant, juge-t-on, au regard des 5 000 salafistes visés, à l'échelle nationale, par une fiche "sûreté de l'Etat".
"Le nom de David Drugeon revenait régulièrement dans les briefings, note un agent. Mais, entre nous, nous parlions de la "Breizh Connection" sur le ton de la boutade." Peu à peu, les signes de son activisme se multiplient. Entre 2008 et 2010, il effectue trois séjours en Egypte pour parfaire sa connaissance de l'arabe et des sciences islamiques, ce qui attire cette fois l'attention de la DGSE, le service de renseignement extérieur.
Des haltes répétées au Caire et à Alexandrie
A l'époque, les autorités s'inquiètent des phénomènes de radicalisation observés marginalement au retour de ces stages linguistiques. Une note du renseignement intérieur en fait état en 2006: "Par la diffusion d'un islam ultra-orthodoxe, certains individus, radicalisés d'autant plus après leur passage dans une école coranique, contribuent, à leur retour, au renforcement du communautarisme et au processus de dilution de la cohésion nationale. Les plus déterminés, susceptibles de rejoindre le djihad armé, représentent un réel danger pour la sécurité du pays."
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Comme dit dans le titre un petit gars bien de chez nous, qui en a rencontré d'autres .
@Makelloos c'est un peu perturbant, il ne faut pas stigmatiser les salafistes, mais à chaque djihadiste dont nous parlons sur ce site, il s'avère qu'à un moment ou un autre nos marionnettes américaines bien de chez nous pas musulmanes sont passés entre leurs mains. Tu crois que l'imam de Vannes, était en fait un américain déguisé en imam salafiste ?
Le jeune djihadiste David Drugeon faisait partie de l'élite combattante de l'organisation. Cet expert en explosifs était considéré comme une cible prioritaire par l'armée américaine. L'Express a retracé son parcours, de la Bretagne à la Syrie, en passant par le Pakistan, où il a sans doute croisé Mohamed Merah. Il aurait été abattu par un drone en novembre 2014.
Il est tout juste minuit, le mardi 23 septembre, et la nuit syrienne se change en jour. Des éclats de lumière déchirent le ciel pour s'abattre sur huit bâtiments disséminés dans la campagne, près d'Alep. Les frappes de la coalition internationale antidjihadistes viennent de commencer. Deux navires de guerre américains lancent leurs missiles Tomahawk en direction du nord-ouest, près de la frontière turque.
>> Mise à jour du 6 novembre : David Drugeon aurait été abattu par un drone américain
Leur cible: Khorasan, un groupuscule dont l'existence a été révélée récemment, et qu'ils suspectent de préparer desattaques contre les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux. Le feu américain tente de neutraliser ces survivants d'Al-Qaïda "première époque". L'organisation responsable des attentats du 11 septembre 2001 à New York et à Washington n'a pas désarmé. Sous la bannière Khorasan, elle entend toujours frapper.
Comme un symbole, l'US Army a tenu à mener seule l'opération, alors que les raids contre l'Etat islamique - la principale organisation djihadiste - associent certains de ses alliés. Officiellement, c'est un succès: le Pentagone aurait éliminé l'un des chefs militaires de Khorasan. Selon l'agence Associated Press, une cible prioritaire aurait toutefois été manquée: David Drugeon, un Français de 24 ans.
Présenté comme un expert en explosifs, respecté pour ses faits d'armes dans les montagnes afghanes, ce "vétéran" a gravi les échelons jusqu'à intégrer l'élite combattante du djihad mondialisé. Le 5 octobre dernier, sa légende s'est enrichie d'un épisode troublant: le site américain McClatchy évoquait, sans donner son nom, un mystérieux "agent français" qui aurait "fait défection pour Al-Qaïda". L'information a été démentie avec force par le ministère de la Défense. Drugeon, puisque c'est de lui qu'il s'agit, ne serait donc pas un agent, mais bien un djihadiste au destin vertigineux. L'enquête de L'Express, menée auprès de ses proches, de multiples sources du renseignement, recoupée avec divers dossiers judiciaires, permet de retracer son parcours.
David Drugeon, toujours inscrit sur le site Copains d'avant, fut longtemps un gamin sans histoires, né à Vannes, à quelques encablures du golfe du Morbihan. En 1989, année de sa naissance, les moudjahidine afghans chassent les dernières troupes soviétiques. Cette histoire de guerre lointaine, les Drugeon - père contrôleur de bus, mère secrétaire et fervente catholique - la suivent d'un oeil distrait, à la télévision, comme bien des Français. Ils habitent alors Ménimur, quartier classé en zone urbaine sensible (ZUS), un ensemble de petites barres HLM, entouré de maisons individuelles. La population bigarrée mêle cadres moyens, salariés et ouvriers, notamment des familles d'origine maghrébine.
Dans les années 1990, Ménimur, avec ses rues aux noms de poètes et de fleurs, n'a rien d'un ghetto. La famille occupe un grand appartement, allée des Tulipes. Avec son frère aîné, né deux ans avant lui, David connaît une scolarité linéaire: classes primaires à l'école Brizeux, puis collège Antoine-de-Saint-Exupéry, à 600 mètres du domicile familial.
"Islam des caves" et "Breizh Connection"
La grande passion des deux frères reste le foot. David, doté d'un bon pied gauche, joue défenseur central à l'AS Ménimur et voue un culte à l'Olympique de Marseille, un "virus" inoculé par le père. "Je les ai emmenés six ou sept fois au Vélodrome, raconte ce dernier. On partait de Vannes le vendredi soir avec un car de supporters. Je conduisais: 1 170 kilomètres, douze heures de route et retour après le match." A l'époque, David arbore en permanence le maillot de l'OM, même à Noël ou aux anniversaires. Pour un peu, il dormirait avec.
En 2002, l'univers des deux garçons se fissure avec le divorce des parents. Alors qu'ils restent au côté de leur mère, allée des Tulipes, on les aperçoit bientôt auprès de musulmans salafistes, adeptes d'un retour à la supposée religion "des origines". La petite troupe refait le monde de l'après-11 Septembre et s'interroge sur le sort qu'un musulman doit réserver aux "mécréants". Rapidement, les frères Drugeon se convertissent. A 13 ans, David se métamorphose en "Daoud". "Dans le groupe, un jeune adulte semblait avoir beaucoup d'influence sur eux, se rappelle une ancienne voisine. David le tenait par le bras, comme on le ferait avec un grand frère protecteur."
De fait, son comportement change du tout au tout. Au troisième trimestre de l'année scolaire 2004-2005, alors qu'il est en seconde au lycée Alain-René-Lesage, l'élève Drugeon décroche. Ses excellentes moyennes - 18 en initiation aux sciences de l'ingénieur, 17 en histoire-géo- s'effondrent. Il délaisse le stade de foot et lui préfère la mosquée, un bien grand mot pour une salle de prière insalubre, en sous-sol, à deux minutes à pied de chez lui. Dans cet "islam des caves", David/Daoud s'initie à une lecture littéraliste du Coran et apprend l'arabe. A la rentrée suivante, il s'inscrit tout de même en internat dans un lycée professionnel, à Rennes.
Son rêve: devenir architecte. Malgré de réelles capacités, l'expérience tourne court: trois mois plus tard, il est sommé de cesser de "faire sa prière au pied de l'escalier du dortoir", comme le rapporte un membre du personnel. "J'ai été convoqué avec lui par le proviseur, confirme son père. Nous lui avons donné le choix: les études ou la religion. Il a opté pour la religion..." De retour à Vannes, l'ado obtient finalement un BEP mécanique auto. Son frère aîné, lui, poursuit son apprentissage d'un islam rigoriste, mais de manière paisible.
Au fil du temps, David prend de l'assurance, et commence à attirer l'attention de la police. L'antenne rennaise de la DCRI (renseignement intérieur) a eu vent de cette agitation de cage d'escalier du côté de Vannes. Une demi-douzaine de personnes, radicalisées par un imam local, sont alors recensées. Rien de bien inquiétant, juge-t-on, au regard des 5 000 salafistes visés, à l'échelle nationale, par une fiche "sûreté de l'Etat".
"Le nom de David Drugeon revenait régulièrement dans les briefings, note un agent. Mais, entre nous, nous parlions de la "Breizh Connection" sur le ton de la boutade." Peu à peu, les signes de son activisme se multiplient. Entre 2008 et 2010, il effectue trois séjours en Egypte pour parfaire sa connaissance de l'arabe et des sciences islamiques, ce qui attire cette fois l'attention de la DGSE, le service de renseignement extérieur.
Des haltes répétées au Caire et à Alexandrie
A l'époque, les autorités s'inquiètent des phénomènes de radicalisation observés marginalement au retour de ces stages linguistiques. Une note du renseignement intérieur en fait état en 2006: "Par la diffusion d'un islam ultra-orthodoxe, certains individus, radicalisés d'autant plus après leur passage dans une école coranique, contribuent, à leur retour, au renforcement du communautarisme et au processus de dilution de la cohésion nationale. Les plus déterminés, susceptibles de rejoindre le djihad armé, représentent un réel danger pour la sécurité du pays."
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Comme dit dans le titre un petit gars bien de chez nous, qui en a rencontré d'autres .
@Makelloos c'est un peu perturbant, il ne faut pas stigmatiser les salafistes, mais à chaque djihadiste dont nous parlons sur ce site, il s'avère qu'à un moment ou un autre nos marionnettes américaines bien de chez nous pas musulmanes sont passés entre leurs mains. Tu crois que l'imam de Vannes, était en fait un américain déguisé en imam salafiste ?
Dernière édition:
VeraBien
VIB
Ah dur, le look de la mère...
Disons que cela repose une nouvelle fois la question de la porosité entre l'ultra-orthodoxie musulmane (car pour porter un niqab en France, faut quand même être bien persuadé que sa propre interprétation de règles dites religieuses prédomine sur les lois de la société dans laquelle on vit) et le terrorisme islamiste.
Moi-même parent, je compatis à la douleur de cette mère dont on vient d'annoncer la mort de son enfant. Mais je crains que son témoignage ne relance une nouvelle fois les amalgames.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Fervente catholique, elle aussi convertie . Dixit les journaux.
Pas trouvé de sources fiables, apparemment pour pas être emmer.dé dans son quartier, mais là j'ai un gros doute Vannes c'est pas non plus le califat .
Le gamin avait déjà des comportements déviants dès 13 ans ....
momojojo
VIB
Ces égoïste pauvre mère
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Je ne me prononce pas. Son fils faisait déjà n'importe quoi dès 13 ans si tu as lu le reportage .
Je ne juge pas, mais je n'ai pas non plus d'empathie.
momojojo
VIB
 13 an qui a pas fais des bêtise
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Et selon son frère ce n'est pas un terroriste ( lui aussi salafiste )
http://www.videomotion-tv.net/actu-...-pas-un-terroriste-selon-son-frere-cyril.html
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Non , pas au point d'avoir maille à partir avec la police .
momojojo
VIB
Pas compris
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Même réponse qu'à @momojojo , je ne compatis ni ne condamne . Des affaires assez récentes, ont prouvé que la parole n'est pas forcément sincère . Donc nous dirons que à l'instar du frère lui même salafiste si l'article dit vrai, la plupart réagirait de la même façon : le déni .
En attendant David "Daoud" est né à 13 ans , à fréquenter un imam radical et des salafistes .
Bizarrement les djihadistes de Toulouse ont un peu le même parcours .
Je souhaitais juste intervenir, car comme d'habitude le djihadiste était présenté comme un breton ben dchez nous ( je cite ), pas un barbu ( on choisit la photo ) , signe qu'il ne faut pas chercher du côté de l'Islam radical et dévoyé , mais du côté des US et de la bretonitude , ou peut être d'une cité difficile mon frère
PS : ca fait un moment que je ne me suis pas rasé
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Qu'à 13 ans on fasse des conneries ( j'ai 3 enfants ), mais on ne termine pas au poste sinon y a un souci non ?.Surtout que là le racisme policier est difficile à plaider
Qu'à 13 ans on ne commence pas forcément à parler de kafiroun , et à s'appeler David "Daoud" .
Et que le jeune homme n'habitait pas dans une téci pourrie abandonnée par la société avec des parents stigmatisés qui n'ont pas de boulot ( les deux ont un job )
Tu connais Vannes ?
momojojo
VIB
J'ai fais des betises et même avant 13an étais au poste le tester ces vrais ces chaud à cet âge ces que chez lui ou sinon entourageQu'à 13 ans on fait des conneries ( j'ai 3 enfants ), mais on ne termine pas au poste sinon y a un souci non ?.Surtout que là le racisme policier est difficile à plaider
Qu'à 13 ans on ne commence pas forcément à parler de kafiroun , et à s'appeler David "Daoud" .
Et que le jeune homme n'habitait pas dans une téci pourrie abandonné par la société .
Tu connais Vannes ?
Makelloos
VIB
c'est comme si tu demandes à un fou s'il a toutes ses capacités mentales
tu passeras pour le fou
VeraBien
VIB
Le frère dit : "pour nous, ce n'était pas un terroriste, juste quelqu'un qui voulait aider les gens". Sans dec ? En fabriquant des explosifs ? ça aide les gens, ça ?? J'hallucine...
Son frère David aurait mieux fait d'aider les gens en envoyant des colis alimentaires et de médicaments. Ou en ouvrant un blog pour dénoncer les crimes de Bachar, en créant une association vraiment humanitaire ou en faisant un sitting devant l'Onu ou le Parlement européen. Mais ce que ce mec a fait, en quoi ça a aidé concrètement les Afghans et les Syriens ? A rien, cela n'a fait qu'alimenter les guerres et le meurtre d'innocents.
Alors oui, du déni. Mais reste une question : à quel moment est-il possible qu'un gars (et son entourage très béni oui-oui) puisse basculer entre la compassion et l'aide envers les misères d'autrui à l'idée d'aller poser des bombes ou tuer des gens au hasard sur une plage, dans un métro ou une épicerie (car c'était ça le projet du groupe qu'avait rejoint David Drugeon) ?
Perso, j'arrive pas à comprendre.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Le gamin avait 13 ans que foutait il avec des salafistes et un imam radical ?
OK ses parents ont divorcé , traumatisme, mais hormis le père les 3 autres membres de la famille ont visiblement croisé une route qui ne leur convenait pas, faut arrêter de nous prendre pour des truffes du petit gars qui se converti vite fait bien fait par web 2.0 à Toulouse, comme à Vannes ou à Nice ou à Ales tu trouves toujours un bas de plafond radical qui prêche la bonne parole . Les boudhistes ont raison sur un point : la voie du milieu .
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Je me demandais si un jeune picard croise des salafistes et un imam radical et se rebaptise ibn jtibut, a une mère catho mais avec un niqab et finit par aller faire péter des innocents en Syrie , faut il y voir la marque du picard, de la France qui l'a rendu pas gentil , ou du salafisme ( les pas gentils , pas les quiétistes ) ?c'est comme si tu demandes à un fou s'il a toutes ses capacités mentales
tu passeras pour le fou
PS as tu retrouvé ta montre ?
Dernière édition:
VeraBien
VIB
Oui, l'explication de la radicalisation tout seul devant Youtube (même si elle existe aussi) n'est pas la seule
Makelloos
VIB
Je me demandais si un jeune picard croise des salafistes et un imam radical et se rebaptise ibn jtibut, a une mère catho mais avec un niqab et finit par aller faire péter des innocents en Syrie , faut il y voir la marque du picard, de la France qui l'a rendu pas gentil , ou du salafisme ( les pas gentils , pas les quiétistes ) ?
PS as tu retrouvé ta montre ?
je verrai la marque de l’obscurantisme salafiste et de la connerie française bien évidement.
la France est responsable de ses enfants, il faut arrêter l’angélisme, avec les intégristes qui utilisent des méthodes radicales quand la loi ne suffit pas il ne faut pas leur tendre l'autre joue, il faut leur parler avec le langage qu'ils comprennent. tu veux choisir une voie et tu es perdu, t'inquiète pas si tu es perdu je te ramène sur la bonne, même de force.
ça me fait rire, actuellement, un rassemblement des bons musulmans se déroulent en grande comité, on invite des intégristes notoires et pour faire passer la pillule, on invite Choumicha. za3ma, vous voyez, nous sommes des gens ouverts, on n'invite pas que les voilées.
qui a dit que certains musulmans intégristes non pas de l'humour?
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
C'est quoi la méthode radicale ???
Makelloos
VIB
leur donner le goût du bon fromage qui pue et le vin qui pique
demandez un acompte de vierges ici et toute de suite, par exemple
qu'ils apprennent à aimer la vie et non la mort quoi.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Heuh pas le vin , c'est en désaccord avec la convention de Genève tout ça tout ça , avec le principe fondamental de pouvoir pratiquer sa religion . Islamophobe tout ça . Les vierges pas mieux , avant le mariage nahda seul le concombre est autorisé .leur donner le goût du bon fromage qui pue et le vin qui pique
demandez un acompte de vierges ici et toute de suite, par exemple
qu'ils apprennent à aimer la vie et non la mort quoi.
Bromure, vittel , prozac plutôt non ?
VeraBien
VIB
le beau pere c'était qui ???? (Je prends en cours de route)Je me demandais si un jeune picard croise des salafistes et un imam radical et se rebaptise ibn jtibut, a une mère catho mais avec un niqab et finit par aller faire péter des innocents en Syrie , faut il y voir la marque du picard, de la France qui l'a rendu pas gentil , ou du salafisme ( les pas gentils , pas les quiétistes ) ?
PS as tu retrouvé ta montre ?
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
A ma connaissance personne n'a parlé de beau père
bizarreA ma connaissance personne n'a parlé de beau père