Le juif en nous

POURIM de los cristianos
Oui c ca, merci.
les juifs celebraient la victoire de la bataille de Oued el makhazine chaque annee alors que les musulmans ne le faisaient pas regulierement.
Peut etre une sorte de revanche contre les Portugais / espagnols qui les haissaient et les avoir chasse de l"Iberie.
Aussi une sorte de reconnaissance aux Saadyines et leur refus de s'aventurer sous l'empire Ottoman. A l'epoque du commerce d'Or sous Ahmed Eddahbi, les juifs ont excelle dans l'art de joaillerie (Ksar et Kasbah de l"oued Draa en temoignent encore).
 
Une chanson sur la Mimona

La Mimouna
Paroles et musique de Felix Abenhaim

C’est un jour de fête de l’amitié profonde
Quand les portes ouvertes , on reçoit tout le monde
C’est des invites qui viennent de partout
pour venir fêter la Minouna avec nous
pour se régaler a la Mimouna chez nous
Refrain: Nous avons un jour par an
Une raison d’être heureux
En offrant a tous les gens
Un accueil chaleureux
Nous disons trbho otsedo
En priant de bonne foi
De faire naître un jour nouveau
C’est ça la Mimouna
Nul ne peut se retenir ce jour de fête
Car ses bons gâteaux font oublier les diètes…
On déguste tous , la mofleta au miel
Et les confitures aux couleurs de l’arc-en-ciel
Pour ajouter sur, les bonbons au caramel
Refrain:Nous avons un jour par an….
Tout le monde chante et l’on voit des sourires
Qui diraient :“je t’aime” s’ils pouvaient te le dire
On remplit nos verres pour boire a l’amitié
On fait la promesse que c’est pour l’éternité
Et plus rien n’arrête ce beau jour de la gaieté
Nous avons un jour par an
Une raison d’être heureux
En offrant a tous les gens
Un accueil chaleureux
Nous disons trbho otsedo
Pour prier de bonne foi
Que ton monde soit plus beau
Un soir de Mimouna
Que tu gagnes le gros lot
Grâce a la mimouna



source: http://solyanidjar.superforum.fr/vi...de-f26/la-plus-belle-table-de-mimona-t978.htm
 

binouze

larabix berbericus
Ne prends pas tes désirs pour des réalités il reste encore entre 3000 à 5000 juifs au Maroc.
Et quand bien même ils seraient tous partis (et on peut comprendre pourquoi ils partent, quand on voit le niveau des tes commentaires, l'agressivité et l'ignorance qui en découle on ne peut pas reprocher à quelqu'un de ne pas vouloir subir cela au quotidien) ils emportent avec eux aux 4 coins du monde leurs traditions et leurs culture.

tu ne connais pas mes désirs,j aurais tant aimé que mes cousins restent dans leur pays.3000 à 5000 c est rien,en tous cas pas assez pour chauffer mimouna
 

tizniti

Soyons sérieux .
tu ne connais pas mes désirs,j aurais tant aimé que mes cousins restent dans leur pays.3000 à 5000 c est rien,en tous cas pas assez pour chauffer mimouna

Les tribus berbères étaient installées depuis très longtemps en Afrique du Nord. Les écrivains arabes font remonter leur origine à Goliath le Philistin et évoquent l’émigration des Canaanites. Des récits talmudiques et rabbiniques, dont les sources remontent au I° siècle de notre ère, font état, en effet, d’une migration volontaire des habitants de Canaan vers l’Afrique du Nord après la conquête de Josué. Procope, historien byzantin du VI° siècle, cite une inscription phénicienne à Tigisis (aujourd’hui, Aïn-El-Bordj, à 50 km au sud-est de Constantine) affirmant : " C’est nous qui avons pris la fuite devant ce bandit de Josué ". Ibn Khaldoun, au XIV° siècle, reprend cette affirmation : " Les Berbères sont les enfants de Canaan, fils de Cham, fils de Noé ". Il s’agit probablement de légendes qui ont été entretenues tout au long de la domination carthaginoise et rendues plausibles par la proximité de la langue punique et de l’hébreu.

Salluste parle des Numides (berbères nomades) et des Maures (berbères sédentaires). Il s'agit probablement de tribus éthiopiennes d'origine sémitique, arrivées en Afrique du Nord en vagues successives : d'abord les Louata et les Haouara, puis les Néfoussas et Djéraoua, enfin les Zénata qui refoulèrent les autres tribus.

Quoi qu’il en soit de leur véritable origine, certaines de ces tribus berbères ont probablement été judaïsées lors des multiples émigrations juives en Afrique du Nord. Dès 814 av J-C, des juifs auraient suivi les Phéniciens fondateurs de Carthage. Après la destruction du Premier Temple et surtout celle du second Temple par Titus en 7O, des dizaines de milliers de Juifs auraient été déportés ou auraient émigré vers la Cyrénaïque puis le Maghreb occidental. Plus de 30 000 colons juifs auraient été installés à Carthage par Titus. Enfin, une nouvelle vague d’immigrants juifs suivit l’échec de la révolte juive de Cyrénaïque (115-116 après J-C) puis la défaite de la Révolte de Bar-Kokhba (132-135). Les juifs auraient alors pratiqué un certain prosélytisme, convertissant les tribus berbères qui les accueillaient (et notamment les tribus nomades refoulées vers le désert saharien par la colonisation romaine). On en trouve notamment témoignage dans les écrits de Tertullien au III° siècle et de Saint Augustin au V° siècle, qui s’indignent de ces conversions berbères au judaïsme.

Beaucoup de berbères musulmans du Maroc sont en fait des juifs d'origine convertis à l'islam.

Source:

http://darmon.ifrance.com/origine.htm

http://darmon.ifrance.com/origine.htm
 

tizniti

Soyons sérieux .
Interférences culturelles judéo-berbères

L'origine cananéenne supposée, ou la judaïsation probable de certaines tribus, trouve un écho dans le folklore berbère, témoin ce court poème oral :

Maman

Pourquoi ne travailles-tu pas la laine le samedi ?

C'est ainsi, mon petit

Depuis longtemps, très longtemps...

Pourtant le fqih* dit que c'est le vendredi...

Ta ta ta !

Qu'est-ce qu'il en sait le fqih,

Des gens d'il y a dix mille ans ?

(Poème paru dans la revue Tifinagh,
no 2, février-mars 1994)

L'image du juif dans l'imaginaire berbère semble donc avoir été tout à fait positive, voire privilégiée, à telle enseigne que, dans les contes populaires, un rôle de choix lui est dévolu : c'est à lui que revient la tâche honorable de dénouer les situations compliquées. Autre témoignage : les vieillards du Sud marocain se souviennent des joutes poétiques avec des Imedyazen (poètes juifs). Les traces juives dans le folklore berbère se rencontrent jusque dans les rituels à caractère essentiellement musulman, tel le cérémonial de la fête de lachoura. Celle-ci, censée commémorer l'assassinat des fils dAli, gendre du Prophète, comporte des aspersions deau qui auraient pour objet de rappeler lépisode biblique du passage de la mer Rouge. Ces aspersions durent dix jours, la dixième nuit étant baptisée Id nyoudayen (fête des juifs) et donnant lieu à des réjouissances comportant port de masques et chants avec accent juif (sic).

Y a-t-il réciprocité et trouve-t-on des traces berbères encore vivantes dans l'imaginaire et le folklore des juifs maghrébins ? Cette question mérite investigation dans la mesure où sont encore en vie, principalement en Israël évidemment, des personnes âgées prêtes à évoquer les bribes de folklore berbère encore vivaces dans leur mémoire.

Il existe bel et bien une pratique traditionnelle propre, semble-t-il, aux seuls juifs du Maroc et inconnue dans les autres communautés juives, puisque ne figurant pas dans le calendrier canonique hébraïque. Il sagit dune journée supplémentaire, ajoutée à la fête de Pâque, qui dure ailleurs sept jours et au Maroc huit jours.

Source:

http://www.mfa.gov.il/MFAFR/MFAArchive/1990_1999/1999/2/Interferences culturelles judeo-berberes
 
Interférences culturelles judéo-berbères

L'origine cananéenne supposée, ou la judaïsation probable de certaines tribus, trouve un écho dans le folklore berbère, témoin ce court poème oral :

Maman

Pourquoi ne travailles-tu pas la laine le samedi ?

C'est ainsi, mon petit

Depuis longtemps, très longtemps...

Pourtant le fqih* dit que c'est le vendredi...

Ta ta ta !

Qu'est-ce qu'il en sait le fqih,

Des gens d'il y a dix mille ans ?

(Poème paru dans la revue Tifinagh,
no 2, février-mars 1994)

L'image du juif dans l'imaginaire berbère semble donc avoir été tout à fait positive, voire privilégiée, à telle enseigne que, dans les contes populaires, un rôle de choix lui est dévolu : c'est à lui que revient la tâche honorable de dénouer les situations compliquées. Autre témoignage : les vieillards du Sud marocain se souviennent des joutes poétiques avec des Imedyazen (poètes juifs). Les traces juives dans le folklore berbère se rencontrent jusque dans les rituels à caractère essentiellement musulman, tel le cérémonial de la fête de lachoura. Celle-ci, censée commémorer l'assassinat des fils dAli, gendre du Prophète, comporte des aspersions deau qui auraient pour objet de rappeler lépisode biblique du passage de la mer Rouge. Ces aspersions durent dix jours, la dixième nuit étant baptisée Id nyoudayen (fête des juifs) et donnant lieu à des réjouissances comportant port de masques et chants avec accent juif (sic).

Y a-t-il réciprocité et trouve-t-on des traces berbères encore vivantes dans l'imaginaire et le folklore des juifs maghrébins ? Cette question mérite investigation dans la mesure où sont encore en vie, principalement en Israël évidemment, des personnes âgées prêtes à évoquer les bribes de folklore berbère encore vivaces dans leur mémoire.

Il existe bel et bien une pratique traditionnelle propre, semble-t-il, aux seuls juifs du Maroc et inconnue dans les autres communautés juives, puisque ne figurant pas dans le calendrier canonique hébraïque. Il sagit dune journée supplémentaire, ajoutée à la fête de Pâque, qui dure ailleurs sept jours et au Maroc huit jours.

Source:

http://www.mfa.gov.il/MFAFR/MFAArchive/1990_1999/1999/2/Interferences culturelles judeo-berberes


Je suis berbere et un oncle maternel de ma mere a des origines juives dont les plus ages de ma famille en parlent encore. Alors c'est pas aussi mythique que ca peut paraitre....
 
Arabes, Amazighs et juifs tous sont marocains. Surtout au moment de leur presence en masse il n'y avait pas de communautarisme. Les juifs etaient partout cohabitaient avec les gens et possedaient des terres au Moyen Atlas, Daraa, Zagora et des commerces a Fes, Meknes, Casa, tetouan...
Certains commercant juifs assuraient le lien commercial en se deplacant a dos d'ane et de mulets dans les villages les plus lointains
 
tanja toi qui affirme n étre ni arabe ni juif,essaie de te mettre dans la téte que les arabes sont plus proches de juifs que toi ce sont leurs cousins,et cesse de faire cet antagonisme juif/arabes c est saoulant à la fin.

Quel antagonisme ????? :eek:

Décidément si pour toi dire que des origines très communes et très proches et même plus appartiennent aux peuples qui ont vécu tout autour de la méditarranée est de faire de l'antagonisme... c'est normal que tu comprennes tout de travers.

Moi ce je dis c'est que je n'en sais rien qui est mon proche cousin, cela peut être tout aussi bien un arabe, qu'un juif, qu'un viking, ou tous les trois en même temps !

Cela peut être un phénicien, un yéménite, un berbère ou encore un romain... kif kif.

Et je vais te dire que je m'en.... tappe.

Tel que je suis... je suis très bien !

D'ailleurs ce sont les mélanges qui font la meilleure race... :langue:
 
Beaucoup de berbères musulmans du Maroc sont en fait des juifs d'origine convertis à l'islam.

Source:

http://darmon.ifrance.com/origine.htm

http://darmon.ifrance.com/origine.htm

Beaucoup? ca reste superlatif, personne ne peut donner un chiffre, meme les historiens chevronnes n'ont pu donner les chiffres des premiers amazigh judaises...ton site avance qlq chiffres ..aussi juste des theses qui sont en grande partie non confirmees

On sait aussi que les conversions au seins des juifs sont minimes et des fois ils declaraient leur conversion pour conserver des biens mais pratiquent en discretion.
 
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