"le niveau de lecture des jeunes belges francophones est le plus médiocre de l'ue"

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Le niveau de lecture des jeunes Belges francophones est le plus médiocre de l'UE
BDO Publié le mardi 05 décembre 2017 à 10h57 - Mis à jour le mardi 05 décembre 2017 à 11h13

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BELGIQUELa dernière enquête Pirls (pour Progress in International Reading Literacy Study), réalisée en 2016 dans 61 pays ou régions, a été publiée ce mardi 5 décembre.
Elle évalue les performances en lecture des élèves en quatrième année de scolarité obligatoire (de quatrième primaire chez nous).
Comme on pouvait s'y attendre au vu des dernières enquêtes internationales, les élèves francophones belges présentent des résultats médiocres. Très médiocres même, puisqu'ils se classent en dernière position si on prend la liste des pays et régions de l'Union européenne. La moyenne globale au sein de l'Union est de 542. La Communauté française obtient une moyenne globale de 497. Les pays qui ont des résultats inférieurs aux nôtres sont des pays économiquement moins développés, hors OCDÉ ou hors Union européenne.
Inégalités entre élèves
En Communauté française, on observe que les filles obtiennent un résultat (506 points) significativement supérieur à celui des garçons (445). On remarque également que les élèves d'origine favorisée obtiennent un résultat significativement supérieur aux élèves d'origine défavorisée. Ainsi, si on prend les 25% des élèves francophones qui ont l'origine socioéconomique la plus favorisée, on remarque qu'ils sont dans la moyenne des pays de l'Union, avec un résultat moyen de 542 points. Les 25% des élèves ayant le moins de ressources à la maison ont un résultat moyen de 455 points.
Globalement, les résultats des élèves de la Communauté française sont en baisse de 9 points par rapport à l'enquête Pirls de 2011.
BdO
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…]
En Communauté française, on observe que les filles obtiennent un résultat (506 points) significativement supérieur à celui des garçons (445). On remarque également que les élèves d'origine favorisée obtiennent un résultat significativement supérieur aux élèves d'origine défavorisée. […]
On peut noter une corrélation, même si elle ne va pas plaire : le sexe est une classe sociale innée, et comme je l’ai déjà fait remarquer, dans les familles pauvres, les filles sont favorisées au détriment des garçons, qui eux sont « destinés » à ramener de l’argent au plus vite, et les études ça coute de l’argent, et c’est pour les filles qu’on dépense de l’argent, pas pour les garçons. C’est l’inverse dans les familles riches, c’est pour ça que le féminisme est un problème de riche et un fléau pour le reste de la société. Quand on pense que l’éducation des pays féministes crache en plus sur les garçons, on ne s’étonne pas de ce résultat. D’ailleurs le même constat a été fait aux États‑Unis.
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
On peut noter une corrélation, même si elle ne va pas plaire : le sexe est une classe sociale innée, et comme je l’ai déjà fait remarquer, dans les familles pauvres, les filles sont favorisées au détriment des garçons, qui eux sont « destinés » à ramener de l’argent au plus vite, et les études ça coute de l’argent, et c’est pour les filles qu’on dépense de l’argent, pas pour les garçons. C’est l’inverse dans les familles riches, c’est pour ça que le féminisme est un problème de riche et un fléau pour le reste de la société. Quand on pense que l’éducation des pays féministes crache en plus sur les garçons, on ne s’étonne pas de ce résultat. D’ailleurs le même constat a été fait aux États‑Unis.

Et dans les pays sous-developpes, c'est le contraire. Au Maroc, il y a plus de filles analphabetes que de garcons analphabetes... car il y a aussi plus de "petites bonnes" qui doivent ramener l'argent au plus vite...
 
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