Pour ses premiers pas en Terre sainte, dans la capitale jordanienne et sur la rive est du Jourdain où selon la tradition Jésus a reçu le baptême, le pape François, solennel, s'est livré à un plaidoyer pour la paix en Syrie et à « une juste solution du conflit israélo-palestinien ». Avec insistance, il a aussi salué le rôle politique et religieux de la Jordanie dans la région. Il a appelé au respect de « la diversité » et défendu la présence des chrétiens dans la région ainsi que la liberté religieuse.
« Profondément affecté par les souffrances et les tragédies actuelles, par les conflits du Moyen-Orient », François, qui à plusieurs reprises depuis son élection s'est risqué sur le terrain diplomatique a renouvelé son « appel le plus pressant pour la paix » en Syrie, pays « ravagé par une guerre qui a duré trop longtemps ».
Sortant du texte prévu, il a dénoncé avec force le commerce des armes, appelant « les criminels » qui les vendent à « la conversion ». « Qui se trouve derrière la vente d'armes qui alimente le conflit ? », a-t-il interrogé, reprenant une de ses critiques récurrentes.
« La fin du conflit, a-t-il rappelé, passe par le dialogue et la retenue, par la compassion à ceux qui souffrent, par la recherche d'une solution politique et le sens d'une responsabilité fraternelle ».
Lire : Le pape François en Terre sainte, entre religion et diplomatie
« L'URGENCE HUMANITAIRE » DES RÉFUGIÉS SYRIENS
S'adressant aux autorités jordaniennes puis devant des handicapés de toutes confessions et une poignée de réfugiés syriens, — principalement chrétiens, accueillis en Jordanie—, il a instamment demandé à la communauté internationale de « ne pas laisser le royaume hachémite seul » face à « l'urgence humanitaire » provoquée par ces déplacements de population. « Elle doit accroitre son aide et son soutien » à la Jordanie, a-t-il plaidé.
Avec le Liban, le pays fait depuis des mois face à un afflux massif de réfugiés, dont le nombre est désormais estimé à 1,4 million pour une population de 6,5 millions selon les organisations humanitaires. Une situation inédite depuis la vague de réfugiés irakiens de 2003 et source de tensions. Le roi Abdallah a de son côté demandé qu'une aide soit apportée pour « alléger le fardeau des réfugiés qui pèse sur les pays voisins de la Syrie ».
Assassinats et réfugiés créés par l'entité illégale non hébreu avec ses larbin(es) .
« Profondément affecté par les souffrances et les tragédies actuelles, par les conflits du Moyen-Orient », François, qui à plusieurs reprises depuis son élection s'est risqué sur le terrain diplomatique a renouvelé son « appel le plus pressant pour la paix » en Syrie, pays « ravagé par une guerre qui a duré trop longtemps ».
Sortant du texte prévu, il a dénoncé avec force le commerce des armes, appelant « les criminels » qui les vendent à « la conversion ». « Qui se trouve derrière la vente d'armes qui alimente le conflit ? », a-t-il interrogé, reprenant une de ses critiques récurrentes.
« La fin du conflit, a-t-il rappelé, passe par le dialogue et la retenue, par la compassion à ceux qui souffrent, par la recherche d'une solution politique et le sens d'une responsabilité fraternelle ».
Lire : Le pape François en Terre sainte, entre religion et diplomatie
« L'URGENCE HUMANITAIRE » DES RÉFUGIÉS SYRIENS
S'adressant aux autorités jordaniennes puis devant des handicapés de toutes confessions et une poignée de réfugiés syriens, — principalement chrétiens, accueillis en Jordanie—, il a instamment demandé à la communauté internationale de « ne pas laisser le royaume hachémite seul » face à « l'urgence humanitaire » provoquée par ces déplacements de population. « Elle doit accroitre son aide et son soutien » à la Jordanie, a-t-il plaidé.
Avec le Liban, le pays fait depuis des mois face à un afflux massif de réfugiés, dont le nombre est désormais estimé à 1,4 million pour une population de 6,5 millions selon les organisations humanitaires. Une situation inédite depuis la vague de réfugiés irakiens de 2003 et source de tensions. Le roi Abdallah a de son côté demandé qu'une aide soit apportée pour « alléger le fardeau des réfugiés qui pèse sur les pays voisins de la Syrie ».
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