BANJUL (Reuters) - Le Parlement gambien doit se prononcer lundi sur une proposition visant à abroger l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF), ce qui, en cas d'approbation, constituerait un rare pas en arrière dans les efforts visant à criminaliser cette pratique.
En Gambie l'interdiction des mutilations sexuelles, adoptée en 2015 sous l'ancien président Yahya Jammeh, s'est heurtée à des réticences dans ce pays en particulier depuis l'arrivée au pouvoir du président Adama Barrow en 2017.
En Gambie l'interdiction des mutilations sexuelles, adoptée en 2015 sous l'ancien président Yahya Jammeh, s'est heurtée à des réticences dans ce pays en particulier depuis l'arrivée au pouvoir du président Adama Barrow en 2017.