Le père, c’est le chef suprême, le dictateur éclairé, plus lui sera contestée sa position d’observateur omniscient, au plus son autorité auprès des enfants s’en fera ressentir. Ces derniers pour connaître leur limite, ont besoin d’un allié naturel admirablement joué par la maman et du jugement tranchant et définitif incarnés par la voix du père.
L’amour et la bienveillance d’un père se gagne par le mérite, il est , pour les plus faibles parmi la progéniture, le confident ultime, celui chez qui on va rechercher réconfort quand tout semble perdu; il est celui qui aide à franchir l'ultime étape qui sépare l'adolescence du monde des adultes; un contrepoids efficace à ces crises ingérables d'adultes enfermés dans un corps d'enfant.
Rôle ingrat, bizarrement envié et trop facilement délaissé par ceux devraient le remplir : le père n’est plus et comment s'en étonner, les familles implosent.
L’amour et la bienveillance d’un père se gagne par le mérite, il est , pour les plus faibles parmi la progéniture, le confident ultime, celui chez qui on va rechercher réconfort quand tout semble perdu; il est celui qui aide à franchir l'ultime étape qui sépare l'adolescence du monde des adultes; un contrepoids efficace à ces crises ingérables d'adultes enfermés dans un corps d'enfant.
Rôle ingrat, bizarrement envié et trop facilement délaissé par ceux devraient le remplir : le père n’est plus et comment s'en étonner, les familles implosent.