Le plan de lintervention militaire dans le Nord du Mali tel que voulu par la France vient dêtre dévoilé. Tout doit être largement engagé avant la fin du mois de mars, date du début de la saison des pluies écrit à ce sujet le quotidien français Le Figaro dans son édition de ce samedi
Lopération militaire destinée à reconquérir le nord du Mali occupé par des groupes islamistes liés à Al-Qaida se fera en trois étapes : un, stabiliser le sud du Mali et protéger Bamako dès la fin du mois de novembre ; deux, mettre en place la formation des armées africaines en janvier ; trois, amorcer la reconquête du nord début mars au plus tard selon le même journal citant lentourage du ministre français de la défense, Jean-Yves Le Drian.
Officiellement, ce sont les armées africaines qui mèneront lopération. Bien quétant désigné comme lennemi principal par AQMI, Paris, qui prétend rompre avec les habitudes passées de la Françafrique et ne veut pas se voir reprocher une nouvelle fois son passé colonial, refuse dêtre en première ligne, écrit Le Figaro qui soutient que la France se cache derrière lEurope, elle se pose en soutien des pays africains qui seront assistés dans la planification et la logistique et promet quil ny aura pas de troupes au sol».
La même source révèle que même si les autorités françaises communiquent plus discrètement sur les forces spéciales à pied duvre dans la région, dont la mission est indépendante du calendrier officiel mais elles se préparent à intervenir en amont pour fournir du renseignement et guider les forces africaines sur place.
Elles pourraient agir plus rapidement encore si les intérêts de la France ou la vie des otages venaient à être menacés. Le plan dintervention français est élaboré en tenant compte des propositions des pays de lOuest africain.
http://www.algerie1.com/actualite/le-plan-francais-dintervention-au-nord-du-mali/
Lopération militaire destinée à reconquérir le nord du Mali occupé par des groupes islamistes liés à Al-Qaida se fera en trois étapes : un, stabiliser le sud du Mali et protéger Bamako dès la fin du mois de novembre ; deux, mettre en place la formation des armées africaines en janvier ; trois, amorcer la reconquête du nord début mars au plus tard selon le même journal citant lentourage du ministre français de la défense, Jean-Yves Le Drian.
Officiellement, ce sont les armées africaines qui mèneront lopération. Bien quétant désigné comme lennemi principal par AQMI, Paris, qui prétend rompre avec les habitudes passées de la Françafrique et ne veut pas se voir reprocher une nouvelle fois son passé colonial, refuse dêtre en première ligne, écrit Le Figaro qui soutient que la France se cache derrière lEurope, elle se pose en soutien des pays africains qui seront assistés dans la planification et la logistique et promet quil ny aura pas de troupes au sol».
La même source révèle que même si les autorités françaises communiquent plus discrètement sur les forces spéciales à pied duvre dans la région, dont la mission est indépendante du calendrier officiel mais elles se préparent à intervenir en amont pour fournir du renseignement et guider les forces africaines sur place.
Elles pourraient agir plus rapidement encore si les intérêts de la France ou la vie des otages venaient à être menacés. Le plan dintervention français est élaboré en tenant compte des propositions des pays de lOuest africain.
http://www.algerie1.com/actualite/le-plan-francais-dintervention-au-nord-du-mali/