Quand dans un peuple, il n’y a plus de justice, que la corruption règne partout et que la luxure devient valeur que peut l’opprimé ?
En Occident , au cours des siècles qui ont vécu une telle siruation, ,c’est par la violence et le sang que les égoïstes et les tyrans ont été obligés de partager le pouvoir et les biens.
Qu’en est-il en Algérie ? Pays musulman, quand le peuple subit l’injustice il en appelle à Dieu pour le guider et lui inspirer la conduite à tenir. Durant la période coloniale, en attendant de fourbir ses armes, le peuple s’arma de patience jusqu’à la création du FLN, Front créé par des politiciens mais dont les moujahidines partaient au combat en criant « Allah ou akbar »
Depuis la colonisation par l’ALN des frontières, le FLN historique marginalisé et repris par de nouveaux militants opportunistes , devant les excès des militaires, les Algériens en sont revenus à se référer à la justice divine et cette fois en un nouveau Front , le Front Islamique pour le salut. La démarche dans la solution du problème n’est que d’ordre sémantique.
Le retour du FIS suggérée par BENFLIS candidat à la Présidence c’est une chance offerte aux Algériens et le retour à la case départ des années 1990 qui avait vu le Président CHADLI reconnaître la victoire électorale du parti musulman conservateur. Le FIS n’étant que l’émanation de la volonté des Algériens à aspirer à un plus de dignité et de justice. Contester ce choix n’est pour les non Algériens est une façon d’exprimer leur islamophobie et pour les nationaux le rejet épidermique propre aux aliénés.
Si ce n’est pas le FIS aujourd’hui, ce sera la confrontation nationale avec l’émergence d’autres mouvements djihadistes incontrôlables et la libyanisation de l’Algérie.
En Occident , au cours des siècles qui ont vécu une telle siruation, ,c’est par la violence et le sang que les égoïstes et les tyrans ont été obligés de partager le pouvoir et les biens.
Qu’en est-il en Algérie ? Pays musulman, quand le peuple subit l’injustice il en appelle à Dieu pour le guider et lui inspirer la conduite à tenir. Durant la période coloniale, en attendant de fourbir ses armes, le peuple s’arma de patience jusqu’à la création du FLN, Front créé par des politiciens mais dont les moujahidines partaient au combat en criant « Allah ou akbar »
Depuis la colonisation par l’ALN des frontières, le FLN historique marginalisé et repris par de nouveaux militants opportunistes , devant les excès des militaires, les Algériens en sont revenus à se référer à la justice divine et cette fois en un nouveau Front , le Front Islamique pour le salut. La démarche dans la solution du problème n’est que d’ordre sémantique.
Le retour du FIS suggérée par BENFLIS candidat à la Présidence c’est une chance offerte aux Algériens et le retour à la case départ des années 1990 qui avait vu le Président CHADLI reconnaître la victoire électorale du parti musulman conservateur. Le FIS n’étant que l’émanation de la volonté des Algériens à aspirer à un plus de dignité et de justice. Contester ce choix n’est pour les non Algériens est une façon d’exprimer leur islamophobie et pour les nationaux le rejet épidermique propre aux aliénés.
Si ce n’est pas le FIS aujourd’hui, ce sera la confrontation nationale avec l’émergence d’autres mouvements djihadistes incontrôlables et la libyanisation de l’Algérie.