Salam,chez les hommes c'est pas des larmes à la moindre contrariété ??
on est vraiment différent alors
je suis hyper sensible mais je ne lâche quasiment jamais de larmes, en fit je crois qu'il y a plusieurs type d'hyper sensibles^^
Le surdon va de pair avec lhypersensibilité
- Initiateur de la discussion Ancien-Membre
- Date de début
je suis hyper sensible mais je ne lâche quasiment jamais de larmes, en fit je crois qu'il y a plusieurs type d'hyper sensibles^^
ton hyper sensibilité se traduit comment en comportement?
Ba j'ai trop d'empathie et je me pose trop de questions, et avant j'étais assez susceptible et du coup impulsif ou alors je me braquais.
quand on me soule je parle plus le mutisme je suis pas une pleureuse non plus
quelqu un d'impulsive c 'es pas plus de la nervosité que de l'hyper sensibilité ?
Ba l'hypersensibilité c'est d'être trop sensibles aux stimulis, ça peut être par rapport à la colère, ou la tristesse, la joie, ou même un environnement et ça se traduit différemment selon chaque hyper-sensible (enfin il me semble), mais nous on à le cliché qu'hyper-sensible = trop sensible, qui pleure à la première remarque etc...
homme ou femme! quand l'hypersensibilité prend le dessus sur tout! ça devient problématique!
honnêtement! qui voudrait subir à longueur de temps quelqu'un qui pleures ou autre à longueur de temps?? personne!!!!
mnt user de sons hypersensibilité pour mener des actions précises afin d'aider les personnes dont on perçoit une faiblesse! là! ça devient intéressant voir même enrichissant!
de ce fait! être face à une personne qui nous comprends ça évite bien des confusions, des non dits! ou autre qui est source de conflit dans un couple
penser que quelqu un qui est sensible est quelqu un qui pleur tout c est qu on a pas compris ce que veux dire sensibilité sur les surdoué
ce n est pas une faiblesse, je dirais c est plutôt de la sensibilité intuitive
pour quelqu'un de futé! tu n'as pas remarqué que j'ai bien fait la distinction entre deux types probable d'hypersensibilité
Je ne sais pas du tout. Je ne connais pas grande chose sur ce sujet. Ça peut venir des deux a mon avis.
Je te donne le site ou j'ai trouvé l'article:
http://surdoues.monsite-orange.fr/index.html
J'ai l'impression de lire ma description...
Ce que tu décris, c'est dans le bouquin dont tu parles?
Mdr le passage qui dit que les problèmes psychologiques des autres le dérange!
En ce monde pour construire des choses, il faut barricader ses émotions : apprendre à les dompter, trop de sensibilité peut noyer certaines réalité, certaines responsabilités, certaines prises de conscience ...
Plus l'individu avance et plus je me dis que ce qui se trame dans nos têtes, bien au délà de nos actes, est decidement d'un determinisme... indescriptible.
Enfin c'est mon avis, après le sujet est tout de même bizarre lil
Plus l'individu avance et plus je me dis que ce qui se trame dans nos têtes, bien au délà de nos actes, est decidement d'un determinisme... indescriptible.
Enfin c'est mon avis, après le sujet est tout de même bizarre lil
Salam, c'est intéressant ce que tu dis, que les traumatismes vécus dans l'enfance pourraient être la (triste) cause d'une hypersensibilité sensitive.
Ce serait comme un don, un sixième sens, une sorte de pouvoir de super héros développé par des gens au départ banal puis qui ont vécu des choses qui ont fait que trop jeunes ils sont sortis de leur inconscience infantile, qu'ils ont du développer des systèmes de compréhension pour tenter de trouver des explications, des solutions à tout ce flot d'informations floues qui lui parvenaient, lui qui jusqu'ici était un simple enfant naïf.
Je me reconnais dans le profil "hypersensible intuitive", "(ex-)hypersensible sentimentale" et "surdouée" et j'ai moi même subit des traumatismes dans mon enfance tels que les violences psychologiques, verbales et physiques, cellule familiale éclatée avec parents absents physiquement et/ou moralement, atmosphère glauque (mère dépressive, précarité sociale, cercle familial très réduit, peu de contact avec "le monde extérieur" jusqu'à un certain âge), sentiment perpétuel d'abandon rejoué dans toutes mes relations (là aussi jusqu'à un certain âge où justement j'ai fait un gros travail sur moi-même pour surmonter mon hypersensibilité émotionnelle).
Bref, il n'y a pas de fumée sans feu, s'il y a un lien entre tout ça, je ne suis pas étonnée.
Même si je sens que j'ai un potentiel de personne "surdouée" et on me le dit souvent donc je pense que mon questionnement est légitime, bizarrement quand il m'arrive de faire sur le internet des tests pour connaître mon QI, je bloque à quasiment toutes les questions, je ne vais même pas au bout du test parce que je sais que j'égalerais à peine le QI d'une huître (lol). C'est assez déconcertant...
Y a-t-il d'autres personnes qui passeraient par là et qui seraient dans le même cas?
Y a-t-il d'autres personnes qui passeraient par là et qui seraient dans le même cas?
c'est sur ce site dédié aux surdoués.J'ai l'impression de lire ma description...
Ce que tu décris, c'est dans le bouquin dont tu parles?
Mdr le passage qui dit que les problèmes psychologiques des autres le dérange!
http://surdoues.monsite-orange.fr/index.html
L'hypersensibilité ne va pas uniquement de pair avec les pleurs et larmes, tus ais, certain(e)s peuvent développe des mecanismes d'autodefense, de repli sur soi, de rejet de l'autre... il y a tout un tas de réactions...
L'intelligence est si vaste et dépend de tellement de facteur qu au fond nous sommes tous surdoué dans un ou plusieurs domaine ! (Je parle évidement de personne n'ayant pas déficience mentale.)
Les génies sont des cas particuliers !
J'ai eu l'occasion de faire des test de QI ou j'ai eu de très bon résultat et d'autre ou je dépassait de peu la moyenne pourtant je me considère pas surdouée et je ne le suis pas.
Ça ne signifie rien pour moi, par contre je sais que j'ai un QE ultra développer
Salam, je pense qu'il y a des deux, de l'innée et de l'acquis, mais c'est vrai qu'avoir connu beaucoup de souffrance à du faire développer notre empathie, et je ne sais pas pour toi mais dans ce que disait l'article sur le manque d'amour et le besoin d'être aimé je l'ai beaucoup vécu pendant mon adolescence, quand les choses ont commencés à aller de plus en plus mal dans ma famille.
Il m'a également fallu beaucoup de temps pour me comprendre et en faire une force, maintenant tu as raison on peut le voir comme un don.
j'ai du mal lire lil
je pensais que tu faisais allusion à cela " qui pleures à longueur de temps"
Ah okj j'ai du lire en diagonale ton parrallèle lol
Serieusement, j'ai réagi plus globalement à ton premier point,
Mais pour y revenir, c'est vrai que d'un individu à l'autre les reactions sont si différentes ...
Wa aleykoum salem. Idem, manque d'amour d'attention durée toute la période prime-enfance/enfance/adolescence.
S'en suivaient des dépendances affectives amicales et amoureuses plus que pitoyables, bref j'étais une pauvre chose au bord de la dépression et puis un déclic: mon fils.
Aujourd'hui je suis une "super-maman", enfin je l'espère.
Je tire tellement de satisfaction personnelle à m'en occuper, c'est ma force mais pas ma dépendance je tiens à le préciser.
Au contraire, avoir mon enfant m'a permis de mieux gérer mes émotions et de me débarrasser de mes dépendances vis à vis des autres, al hamdoulilleh!
C'est une force quand on apprend à maîtriser la chose et à en faire un allié.
Par exemple dans mon cas je me sers de cette empathie pour me mettre dans la peau des gens lorsqu'on me demande conseil, dans la peau des gens concernés qui me demandent conseil aussi bien que dans la peau des autres protagonistes de la situation.
Ce qui permet parfois, même souvent d'atténuer les tensions et de dénouer des situations complexes.
le surdon c est la plus grosse arnaque qu on pu inventer les psychologue de ce siècle