"Révolution" ! C'est en tout cas le titre du dernier livre d'Emmanuel Macron. Dans cet ouvrage de 264 pages à paraître jeudi, tiré à 200.000 exemplaires, le candidat à l'élection présidentielle ébauche un programme, détaillant plusieurs mesures visant notamment l'assurance chômage, la fiscalité ou encore les dépenses publiques. Tour d'horizon des idées les plus marquantes.
> PROTECTION SOCIALE
- C'est peut-être la réforme la plus révolutionnaire de Macron : le financement de l'assurance chômage par l'impôt et non plus par des cotisations sociales. L'Etat en assumerait donc la gestion en lieu et place des partenaires sociaux.
- Le candidat compte aussi ouvrir les droits à l'assurance chômage aux salariés démissionnaires, pour leur offrir une requalification ou une formation, ainsi qu'aux indépendants, commerçants et artisans.
- Emmanuel Macron dit en revanche ne pas croire du tout à la dégressivité des allocations chômage, ni au "revenu universel".
- L'ancien ministre prône une réforme de la formation professionnelle, avec bilan de compétences, "obligation de sérieux et d'assiduité" pour les bénéficiaires et une palette d'options, des remises à niveau de quelques semaines aux formations longues d'un ou deux ans.
- En contrepartie, il réclame un renforcement des contrôles et des exigences en matière de recherche d'emploi et de formation : "Au bout d'un certain temps de chômage, qui ne se forme pas n'est pas indemnisé" estime-t-il. De même qu'un bénéficiaire qui refuserait une offre d'emploi "raisonnable" à l'issue de la formation ;
la suite sur http://www.capital.fr/a-la-une/poli...srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2
mam
> PROTECTION SOCIALE
- C'est peut-être la réforme la plus révolutionnaire de Macron : le financement de l'assurance chômage par l'impôt et non plus par des cotisations sociales. L'Etat en assumerait donc la gestion en lieu et place des partenaires sociaux.
- Le candidat compte aussi ouvrir les droits à l'assurance chômage aux salariés démissionnaires, pour leur offrir une requalification ou une formation, ainsi qu'aux indépendants, commerçants et artisans.
- Emmanuel Macron dit en revanche ne pas croire du tout à la dégressivité des allocations chômage, ni au "revenu universel".
- L'ancien ministre prône une réforme de la formation professionnelle, avec bilan de compétences, "obligation de sérieux et d'assiduité" pour les bénéficiaires et une palette d'options, des remises à niveau de quelques semaines aux formations longues d'un ou deux ans.
- En contrepartie, il réclame un renforcement des contrôles et des exigences en matière de recherche d'emploi et de formation : "Au bout d'un certain temps de chômage, qui ne se forme pas n'est pas indemnisé" estime-t-il. De même qu'un bénéficiaire qui refuserait une offre d'emploi "raisonnable" à l'issue de la formation ;
la suite sur http://www.capital.fr/a-la-une/poli...srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2
mam