Malgré mes 26 ans, j'en apprends, du moins je crois en apprendre, tous les jours.
A mes yeux, je trouve que l'Occident, du moins le message qu'il délivre apparait paradoxal:
Sous couvert d'incitation à la libération des moeurs, à la conformité sociétale (aller en boite le week-end za3ma, boire, se lacher, regarder la star ac, ecouter de la musique, ne pas apparaitre ringard...), l'Occident (j'entends par là sa classe élitiste) n'a que mépris pour le beauf (la beauf) inculte, dépourvu(e) de caractère propre, naturellemnt enclin à se soumettre à toutes les modes qu'on lui impose, acceptant son statut de soumis(e) social(e). A l'opposé, l'élite craint et éprouve le respect pour l'acharné(e) au travail, célébrant l'effort qu'il soit de nature intélectuelle ou même sportive.
Le polytechnicien, l'Enarque, l'athlète pour ne citer qu'eux suscite parfois la schyzophrénie chez le commun des mortels : haïs mais vénéré simultanemment, il provoque chez ce dernier la détestation de ses pairs qu'il juge sans intêret, banals et finit par effet de miroir par se détester lui-même.
A mes yeux, je trouve que l'Occident, du moins le message qu'il délivre apparait paradoxal:
Sous couvert d'incitation à la libération des moeurs, à la conformité sociétale (aller en boite le week-end za3ma, boire, se lacher, regarder la star ac, ecouter de la musique, ne pas apparaitre ringard...), l'Occident (j'entends par là sa classe élitiste) n'a que mépris pour le beauf (la beauf) inculte, dépourvu(e) de caractère propre, naturellemnt enclin à se soumettre à toutes les modes qu'on lui impose, acceptant son statut de soumis(e) social(e). A l'opposé, l'élite craint et éprouve le respect pour l'acharné(e) au travail, célébrant l'effort qu'il soit de nature intélectuelle ou même sportive.
Le polytechnicien, l'Enarque, l'athlète pour ne citer qu'eux suscite parfois la schyzophrénie chez le commun des mortels : haïs mais vénéré simultanemment, il provoque chez ce dernier la détestation de ses pairs qu'il juge sans intêret, banals et finit par effet de miroir par se détester lui-même.