Salam mes frères et soeurs,
Cela a trop duré, il faut en finir avec cette histoire
Nous sommes largement fournis en industrie militaire pour lancer une guerre et être autonome
Cela suffit d'être à la mercis des vents extérieures, reprenons l'initiative et montrons nous ferme pour une fois!
"Rabat et Washington ne partagent pas la même position sur ce qui est désormais appelée l «affaire Ross». Une divergence qui retarde la nomination dun nouveau médiateur au Sahara. Apparemment, les Etats-Unis tiennent à ce que leur enfant accomplisse sa mission.
« Les Etats-Unis soutiennent le processus onusien au Sahara et Christopher Ross en fait partie. » Les propos sont de Samuel Kaplan, lambassadeur américain à Rabat. Dans une longue interview parue dans lédition de ce lundi au quotidien arabophone Al Massae, le diplomate a clairement défendu le travail accompli par son compatriote en tant quenvoyé personnel de Ban Ki-moon au Sahara.
Kaplan a tenté de minimiser le rôle de son pays dans le règlement de ce conflit, esquivant une question sur la reprise des fonctions de Ross, avançant quil « nest pas au courant de cette décision. Laquelle appartient au secrétaire général et non aux Etats-Unis. Pour le moment Christopher Ross poursuit sa mission. » Et de rappeler que « les efforts de lONU ne pourraient être concluants quà la condition de soutenir lenvoyé onusien. »
Kaplan répond à El Khalfi
Des propos qui ne sont pas sans rappeler ceux de Wilima Burns. A lissue de ces entretiens, le 11 mai à Washington, avec le ministre des Affaires étrangères, Saad Dine El Othmani, le n°2 de la diplomatie américaine indiquait à la presse que « les Etats-Unis continuent dappuyer les efforts visant à trouver une solution pacifique, durable et mutuellement acceptable au conflit du Sahara occidental, ainsi quau processus de négociation des Nations unies dirigé par lenvoyé personnel du secrétaire général de lONU pour le Sahara occidental, lambassadeur Christopher Ross ».
Cette position américaine exprimée par son ambassadeur à Rabat sonne comme une réponse à la toute récente déclaration, jeudi 12 juillet, de Mustapha El Khalfi. Devant des journalistes, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement a réaffirmé qu« il ny a pas eu renoncement à la position du Maroc concernant le retrait de sa confiance à lenvoyé personnel du secrétaire général de lONU pour le Sahara ».
Le 17 mai le royaume a décidé de retirer sa confiance en Christopher Ross. Deux mois plus tard, rien na signalé de positif pour le Maroc. Pire encore, le 15 juin, Ban Ki-moon a nommé Wolfgang Weisbrod-Weber au poste du chef de la MINURSO à la place de lEgyptien Hany Abdelaziz dont le mandat sest terminé le 30 avril dernier. LAllemand était le chef de la mission des Nations-Unies chargée de lorganisation du référendum ayant conduit à l'indépendance du Timor oriental, en septembre 1999. Le Polisario plaide pour une transposition de ce modèle au Sahara."
Cela a trop duré, il faut en finir avec cette histoire
Nous sommes largement fournis en industrie militaire pour lancer une guerre et être autonome
Cela suffit d'être à la mercis des vents extérieures, reprenons l'initiative et montrons nous ferme pour une fois!
"Rabat et Washington ne partagent pas la même position sur ce qui est désormais appelée l «affaire Ross». Une divergence qui retarde la nomination dun nouveau médiateur au Sahara. Apparemment, les Etats-Unis tiennent à ce que leur enfant accomplisse sa mission.
« Les Etats-Unis soutiennent le processus onusien au Sahara et Christopher Ross en fait partie. » Les propos sont de Samuel Kaplan, lambassadeur américain à Rabat. Dans une longue interview parue dans lédition de ce lundi au quotidien arabophone Al Massae, le diplomate a clairement défendu le travail accompli par son compatriote en tant quenvoyé personnel de Ban Ki-moon au Sahara.
Kaplan a tenté de minimiser le rôle de son pays dans le règlement de ce conflit, esquivant une question sur la reprise des fonctions de Ross, avançant quil « nest pas au courant de cette décision. Laquelle appartient au secrétaire général et non aux Etats-Unis. Pour le moment Christopher Ross poursuit sa mission. » Et de rappeler que « les efforts de lONU ne pourraient être concluants quà la condition de soutenir lenvoyé onusien. »
Kaplan répond à El Khalfi
Des propos qui ne sont pas sans rappeler ceux de Wilima Burns. A lissue de ces entretiens, le 11 mai à Washington, avec le ministre des Affaires étrangères, Saad Dine El Othmani, le n°2 de la diplomatie américaine indiquait à la presse que « les Etats-Unis continuent dappuyer les efforts visant à trouver une solution pacifique, durable et mutuellement acceptable au conflit du Sahara occidental, ainsi quau processus de négociation des Nations unies dirigé par lenvoyé personnel du secrétaire général de lONU pour le Sahara occidental, lambassadeur Christopher Ross ».
Cette position américaine exprimée par son ambassadeur à Rabat sonne comme une réponse à la toute récente déclaration, jeudi 12 juillet, de Mustapha El Khalfi. Devant des journalistes, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement a réaffirmé qu« il ny a pas eu renoncement à la position du Maroc concernant le retrait de sa confiance à lenvoyé personnel du secrétaire général de lONU pour le Sahara ».
Le 17 mai le royaume a décidé de retirer sa confiance en Christopher Ross. Deux mois plus tard, rien na signalé de positif pour le Maroc. Pire encore, le 15 juin, Ban Ki-moon a nommé Wolfgang Weisbrod-Weber au poste du chef de la MINURSO à la place de lEgyptien Hany Abdelaziz dont le mandat sest terminé le 30 avril dernier. LAllemand était le chef de la mission des Nations-Unies chargée de lorganisation du référendum ayant conduit à l'indépendance du Timor oriental, en septembre 1999. Le Polisario plaide pour une transposition de ce modèle au Sahara."