Les ports tunisien et algérien menacent-ils Tanger Med ?

Je ne parlais que de la RH. je ne parle pas du reste.

bla ma tchayyar :D

bini w binek, certaines entreprises et meme certains departement de la focntion publique galerent grave pour embaucher des profils assez techniques, car la mode du hreg en france est redevenue d'actualité ces deux dernieres années ... mais je pense la, ça va faire le chemin du retour, à cause de la crise .....
n'est ce pas iloucha :langue:
 
Le jour où l'Algérie sera assez attractif pour gérer sur ton territoire la comptabilité de Lidl, on en reparlera :D

On te parle ici de vrai conseil, monsieur, une activité qui s'apparente à de la conquête spatiale aux yeux des voisins, effectivement. Dans ma boite (cabinet français, parisien, je précise), dans ce contexte morose, l'activité de conseil est tiré à la hausse par la grande croissance des activités en Egypte, au Maroc, et en Roumanie. Et dans notre bureau de Casa, pas un français, même les associés sont marocains. Oui je sais, je sais, c'est une activité intellectuelle et c'est autre chose que de taper sur de la roche au milieu du désert en espérant que le pétrole jaillisse :

mdrrrrrrrrrrrrrrrrrr
al 3aynou bil3yni
wa sayfou bi sayfi
wa lbadi2 adlam :D
(wa9ila j'ai, tout melangé)
 
Ecoute le monsieur demande en direct au vendeur combien coute les patates, il lui repond clairement 60 dinars, j'ai meme eu confirmation d'un pote algerien alors arrete...

Voici le reportage: http://www.dailymotion.com/relevanc...65s73_la-misre-en-algrie-pauvret-algeria_news

Et puis pour les patates, tout le monde sait que vous n'etes pas auto suffisant et que vous en amener du Canada (destination bizzare mais bon)

Tu ne va quand meme pas contredire ce qu'ecrit une algerienne:

En matière d’exportation, notre pays est également en mauvaise position.

Un forum sur la pomme de terre a été organisé, hier au siège d’Algex, à l’occasion de l’Année internationale de la pomme de terre. Cette rencontre, tenue à l’initiative du ministère de l’Agriculture et de Filaha, a été une occasion pour les participants d’évoquer la problématique de la pomme de terre en Algérie. Devant un important parterre de professionnels, Lefki Mohand Ameziane du Cnif s’est voulu très critique par rapport à la production ainsi qu’à l’exportation nationale de la pomme de terre par rapport aux autres pays du Maghreb. “L’Algérie est placée deuxième en matière de superficie des terres qui sont propres à la culture de la pomme de terre après l’Égypte et est malheureusement classée dernière, c’est-à-dire quatrième après le Maroc, la Tunisie et l’Égypte dans le rendement de la production de la pomme de terre, mais également se distingue par son exportation insignifiante qui la classe également dernière en la matière par rapport à ces trois pays du Maghreb.”
C’est du moins ce qu’a expliqué Lefki Mohand Ameziane qui a déploré cette situation qui traîne en longueur. Interrogé sur ce classement peu reluisant de notre pays dans la production de la pomme de terre, l’intervenant mettra cela sur le compte de “la bureaucratie et des vieux réflexes qui font que ne nous n’évoluons pas en la matière”.
Sollicité pour plus de précision, M. Lefki notera que “les gens gardent les réflexes des sociocommunistes et oublient que nous sommes en économie de marché qui requiert que nous renouvelions nos connaissances et que nous nous adaptions aux réalités et aux évolutions actuelles”. Cherif Omari, de l’INA d’El-Harrach, qui évoquera l’économie de la filière de la pomme de terre : production, commercialisation et régulation, relèvera de son côté de nombreuses insuffisances. Il s’agit notamment du retard dans le cadre de mise à niveau institutionnel, faible intégration de la pomme de terre dans l’industrie, forte dépendance de la sous-filière semence ainsi que la défaillance de la mise sur la marché. Pour sa part, M. Harouadi, ingénieur agronome, un des éminents spécialistes de la pomme de terre dans notre pays, qui évoquera la fécondation in vitro, regrettera que l’Algérie accuse un important retard en la matière. “Nous avions une longueur d’avance dans les années 1980 par rapport à nos voisins maghrébins, mais malheureusement, nous n’avions pas su mettre à profit notre position de l’époque à travers la fécondation in vitro”.
Enchaînant sur les avantages de la fécondation in vitro, M. Harouadi notera la puissance de la multiplication. En ce sens qu’un plant en une année produira 10 millions de plants. La fécondation in vitro permet également l’assainissement des viroses autrement dit un plant initialement virosé “deviendra sain après la fécondation in vitro”. De même que cette technique offre une banque génétique. Dans ce cadre, M. Harouadi déplorera l’absence de zones protégées de point de vue viral.
M. Aït Aoudia, industriel, évoquera dans son intervention par rapport aux transformations industrielles de la pomme de terre l’existence d’une multitude de problèmes par rapport “aux variétés de pommes de terre”. “Nous avons des problèmes par rapport au calibre de la pomme de terre, à sa variété et à son taux de sucre”, dira M. Aït Aoudia.
Quoiqu’il en soit la plupart des intervenants ont déploré l’insuffisant du développement de la production nationale.

NADIA Mellal Bouali.


pas que du canada , de la pologne aussi mais bon cette histoire va mal finir encore lol
 
je pense pas ,tanger et med et bien placé...,peut-etre le port de tunis mais legérement!!!

je suis ds le transport a ouma enfin j'étais j'ai arrté en début d'année pour passer à autre choses , on faisait beaucoup de maritime , tu verrais le nombre de container qui partent et qui viennent chaque jour de tanger ou casa c'est hallucinant et ceux ds tous les secteurs ,

automobiles , textiles , menuiserie etc...............
 
Oui oui :D

Moi je prefere mille fois la source de france 5, surtout que c'est du direct que ton Mekfouldji une source algerienne, et puis je t'ai dit j'ai demandé a des algeriens sur paltalk, qui vivent en algerie contrairement a toi, ils m'ont donné a peu prés le meme prix, pourtant l'un est d'Alger, l'autre de Sidi Bel Abbes...

Donc faut pas avoir honte.

Pour ce qui est de la propagande, la majorité des produits qui passent vers le Maroc sont des produits industriels et de l'essence, alors que justement du Maroc vous vient le shit et des produits agricoles.
Il ne faut pas oublié ce qu'a déclaré Bouteflika quand il était alors ministre des affaires etrangeres, sur les Camions qui allaient toutes les semaines s'approvisionner dans les Souk d'Oujda et de l'Oriental et qui vous revenaient plein de fruits, légumes, denrée alimentaires, et meme habits, sa c'est calmé depuis 5 ans mais sa y allait a profusion avant !
Enfin sa n'est pas le sujet, tu as encore comme d'habitude voulu dérivé...

Oui la bonne excuse,je connais des Algeriens,des Algeriens m'ont dit............Balivernes que tout cela!

Pendant ce temps,tout vous vient de l'Algerie voisine.
Le pain,la bouffe,les medicaments,l'essence,le cheptel,l'electromemnager....et j'en passe et j'en oublie.


Même le pain algérien se vend à Oujda !

Oujda, capitale de la contrebande ? Certainement, et encore plus aujourd’hui qu’hier puisque le fléau a pris une ampleur insoupçonnée. Déjà à une bonne centaine de kilomètres de la ville, les prémices de la contrebande sont visibles. Sur la route, toutes sortes de carburants (de l’essence sans plomb au diesel) vous sont proposées par des jeunes et des moins jeunes à travers des «stations- services» aussi mobiles qu’artisanales.

Le pouce pointé vers le bas par les vendeurs est un code que tout le monde reconnaît de loin, et pour les novices, il y a des entonnoirs de fortune, disposés sur la chaussée, qui prennent le relais de la symbolique. Les prix sont stables (à partir de 80 DH pour 30 litres d’essence ordinaire, mais plus on s’éloigne des frontières, plus les marges de transport augmentent le coût final, ce qui fait qu’à Berkane, les 30 litres de super atteignent 150 DH) et ne changent que quand l’Algérie décide de rendre «réellement» les frontières imperméables. C’était justement le cas ces derniers jours, à l’occasion du Sommet arabe. Résultat : l’approvisionnement était interrompu et les prix avaient allègrement dépassé le premier seuil de 100 DH les 30 litres.


Des climatiseursà3 000 DH !

En arrivant à Oujda, il n’y a pas que le carburant qui est proposé au vu et au su de tout le monde. Mais c’est le produit phare qui fait que 6 stations-services à peine sont en activité sur une trentaine répertoriée.

Hormis le carburant, donc, toutes sortes de produits sont disponibles dans les différents souks, avec une spécialisation pour certains. A souk El Fellah s’écoule le plus grand nombre de produits algériens. L’électroménager et l’électronique y sont vendus moitié moins cher par rapport à l’intérieur du pays. On y trouve aussi du sanitaire, des climatiseurs à partir de 3 000 DH et des pneumatiques à partir de 300 DH l’unité.

A souk Melilia, comme son nom l’indique, les articles viennent généralement de la ville occupée par l’Espagne. Il y a aussi souk Tanja, où les étalages comptent seulement 50% de produits nationaux, et souk Sebta. Mais le lieu où l’emprise de la contrebande est la plus criante est souk Beni D’rar, qui se trouve à une bonne vingtaine de kilomètres au nord d’Oujda. Dans ce village, commerces et entrepôts regorgent de produits en provenance de l’Algérie, dont on distingue les villages tout proches à vue d’œil.

Quelle est l’ampleur de la contrebande ? Avant même la fin de la question, la réponse de Driss Houat, président de la Chambre de commerce, d’industrie et de services d’Oujda et député de la ville fuse : «70% de l’économie de la région dépend de la contrebande contre 50 % en 1998, et nous estimons le chiffre d’affaires moyen de cette activité à 6 milliards de DH par an.

Dans l’Oriental, la contrebande est remarquable et touche à peu près tout. A tel enseigne que même les médicaments font, de plus en plus, partie de la «marchandise» exposée dans les souks et notamment à souk El Fellah. Et, comme ironise Zahreddine Taybi, directeur du journal régional Al Hadath Ach Charki, les destinataires des ordonnances, ce ne sont plus les pharmacies mais bien ledit souk, où les vendeurs de médicaments, habitude aidant, n’ont aucun mal à indiquer la posologie et la durée du traitement. Les pharmaciens, comme le dit l’un d’entre eux, Driss Bouchentouf, ex-président du Syndicat des pharmaciens de l’Oriental, expliquent qu’outre le manque à gagner qu’engendre le fléau, c’est la santé des patients qui est en jeu.

Mais le prix est irrésistible, surtout quand le pouvoir d’achat est bas. Exemple : un médicament comme Azantac, un anti-ulcéreux dont la boîte de 20 comprimés coûte 190 DH dans les pharmacies, est exposé à souk El Fellah à 110 DH. Mieux, le paquet compte 30 comprimés.

Mais, l’omniprésence de la contrebande dans la région, au-delà de la soif de gain qui l’entretient, s’explique également par la distorsion des taxes entre les deux pays, le poids de la subvention dans le prix des produits algériens et l’écart entre le taux de change officiel du dinar algérien et celui du marché parallèle.

Un exemple frappant : les produits céréaliers sont taxés à 90 % au Maroc contre seulement 5 % en Algérie (voir encadré). Il est donc facile de les importer de ce pays à des prix défiant toute concurrence. Un produit fortement subventionné en Algérie bénéficie du même avantage. L’exemple le plus frappant est celui du pain, vendu à 50 centimes seulement!

Pain rond ou baguette, le prix est le même, 50 centimes l’unité !

Par Mohamed El Maâroufi

Source : La vie éco
 
Oui la bonne excuse,je connais des Algeriens,des Algeriens m'ont dit............Balivernes que tout cela!

Pendant ce temps,tout vous vient de l'Algerie voisine.
Le pain,la bouffe,les medicaments,l'essence,le cheptel,l'electromemnager....et j'en passe et j'en oublie.

:D
tout nous vient d'algerie???? si ça peut vous faire plaisir wakha!!

personne ne nie le marché de la contrebande dans l'oriental, l'conomie d'oujda repose pour moitié sur ce circuit informel (pour le cheptel par contre vous pouvez faire plus d'effort, ils nous arrivent avec pleins de maladie vos hwalas)

mais vos marchandises ne depassent pas la region, ...
souk el fellah, si tu ne le sais pas encore, va etre rasé d'ici peu...

mais donnons donnons/
tu vas pas nier qu'on vous donne aussi de bons souvenirs!!, nos marchands ambulants de pasteques vous laissent prendre des photos avec, sans probleme :langue:
 

boudinar

ⴱⵓⴷⵉⵏⴰⵔ
VIB
je suis ds le transport a ouma enfin j'étais j'ai arrté en début d'année pour passer à autre choses , on faisait beaucoup de maritime , tu verrais le nombre de container qui partent et qui viennent chaque jour de tanger ou casa c'est hallucinant et ceux ds tous les secteurs ,

automobiles , textiles , menuiserie etc...............

MERCI pour l'info ouma,

je pense y a aucun port qui peut menacé tanger (pour plusieur raison)

lieu geographique(entre l'europ et l'afrique) (entre l'atlatique et medeterraneé)

lieu historique,ville plus civilisé parraport a alger ou tunis,

tanger la population est multilangue(espagnol,français ,anglais,arabe...)
 

Wighine

Aknari
Oui la bonne excuse,je connais des Algeriens,des Algeriens m'ont dit............Balivernes que tout cela!

Pendant ce temps,tout vous vient de l'Algerie voisine.
Le pain,la bouffe,les medicaments,l'essence,le cheptel,l'electromemnager....et j'en passe et j'en oublie.


Même le pain algérien se vend à Oujda !

Oujda, capitale de la contrebande ? Certainement, et encore plus aujourd’hui qu’hier puisque le fléau a pris une ampleur insoupçonnée. Déjà à une bonne centaine de kilomètres de la ville, les prémices de la contrebande sont visibles. Sur la route, toutes sortes de carburants (de l’essence sans plomb au diesel) vous sont proposées par des jeunes et des moins jeunes à travers des «stations- services» aussi mobiles qu’artisanales.

Le pouce pointé vers le bas par les vendeurs est un code que tout le monde reconnaît de loin, et pour les novices, il y a des entonnoirs de fortune, disposés sur la chaussée, qui prennent le relais de la symbolique. Les prix sont stables (à partir de 80 DH pour 30 litres d’essence ordinaire, mais plus on s’éloigne des frontières, plus les marges de transport augmentent le coût final, ce qui fait qu’à Berkane, les 30 litres de super atteignent 150 DH) et ne changent que quand l’Algérie décide de rendre «réellement» les frontières imperméables. C’était justement le cas ces derniers jours, à l’occasion du Sommet arabe. Résultat : l’approvisionnement était interrompu et les prix avaient allègrement dépassé le premier seuil de 100 DH les 30 litres.


Des climatiseursà3 000 DH !

En arrivant à Oujda, il n’y a pas que le carburant qui est proposé au vu et au su de tout le monde. Mais c’est le produit phare qui fait que 6 stations-services à peine sont en activité sur une trentaine répertoriée.

Hormis le carburant, donc, toutes sortes de produits sont disponibles dans les différents souks, avec une spécialisation pour certains. A souk El Fellah s’écoule le plus grand nombre de produits algériens. L’électroménager et l’électronique y sont vendus moitié moins cher par rapport à l’intérieur du pays. On y trouve aussi du sanitaire, des climatiseurs à partir de 3 000 DH et des pneumatiques à partir de 300 DH l’unité.

A souk Melilia, comme son nom l’indique, les articles viennent généralement de la ville occupée par l’Espagne. Il y a aussi souk Tanja, où les étalages comptent seulement 50% de produits nationaux, et souk Sebta. Mais le lieu où l’emprise de la contrebande est la plus criante est souk Beni D’rar, qui se trouve à une bonne vingtaine de kilomètres au nord d’Oujda. Dans ce village, commerces et entrepôts regorgent de produits en provenance de l’Algérie, dont on distingue les villages tout proches à vue d’œil.

Quelle est l’ampleur de la contrebande ? Avant même la fin de la question, la réponse de Driss Houat, président de la Chambre de commerce, d’industrie et de services d’Oujda et député de la ville fuse : «70% de l’économie de la région dépend de la contrebande contre 50 % en 1998, et nous estimons le chiffre d’affaires moyen de cette activité à 6 milliards de DH par an.

Dans l’Oriental, la contrebande est remarquable et touche à peu près tout. A tel enseigne que même les médicaments font, de plus en plus, partie de la «marchandise» exposée dans les souks et notamment à souk El Fellah. Et, comme ironise Zahreddine Taybi, directeur du journal régional Al Hadath Ach Charki, les destinataires des ordonnances, ce ne sont plus les pharmacies mais bien ledit souk, où les vendeurs de médicaments, habitude aidant, n’ont aucun mal à indiquer la posologie et la durée du traitement. Les pharmaciens, comme le dit l’un d’entre eux, Driss Bouchentouf, ex-président du Syndicat des pharmaciens de l’Oriental, expliquent qu’outre le manque à gagner qu’engendre le fléau, c’est la santé des patients qui est en jeu.

Mais le prix est irrésistible, surtout quand le pouvoir d’achat est bas. Exemple : un médicament comme Azantac, un anti-ulcéreux dont la boîte de 20 comprimés coûte 190 DH dans les pharmacies, est exposé à souk El Fellah à 110 DH. Mieux, le paquet compte 30 comprimés.

Mais, l’omniprésence de la contrebande dans la région, au-delà de la soif de gain qui l’entretient, s’explique également par la distorsion des taxes entre les deux pays, le poids de la subvention dans le prix des produits algériens et l’écart entre le taux de change officiel du dinar algérien et celui du marché parallèle.

Un exemple frappant : les produits céréaliers sont taxés à 90 % au Maroc contre seulement 5 % en Algérie (voir encadré). Il est donc facile de les importer de ce pays à des prix défiant toute concurrence. Un produit fortement subventionné en Algérie bénéficie du même avantage. L’exemple le plus frappant est celui du pain, vendu à 50 centimes seulement!

Pain rond ou baguette, le prix est le même, 50 centimes l’unité !

Par Mohamed El Maâroufi

Source : La vie éco

Aucune excuse, donne moi ton msn ou un mail en privé, jte donne le moyen de parler en direct a ces personnes.
Je suis pas comme toi moi pour inventer des choses...

Pour Oujda et la contrebande, vous prenez ce qui est pas cher chez nous et on prend ce qui est pas cher chez vous, sa a toujours été comme sa on apprend rien...
 
Haut