ahmed II
Sweet & Sour
Wooden Ali est un autre personnage haut en couleur, c'est tout un poème ce type-là. Il est assez discret mais une fois là, il n'a pas sa langue fourchue dans la poche. Les civilités y connaît pas; il débarque comme un bouledogue sans crier gare: «Au lieu de l'affirmer péremptoirement, tu devrais nous le montrer par des interventions pleines de savoir et de sagesse. Or c'est loin d'être le cas : l'image que j'ai de toi, au travers de tes posts, est celle d'un hâbleur aux connaissances incertaines. » Je ne ressens pas l'envie de vous brosser son portrait mais ce serait laisser planer des doutes quant à son intégrité et son bons sens. Je suis donc retourner pêcher quelques perles de sagesse qui brillent sur leur forum. Dans la section Culture, quelqu'un demande comment s'y prendre pour avoir de bonnes frites. Entendez une méthode scientifique. Whooden Ali s'y connaît, c'est un sceptique pur et dur: «Je te conseille la fondue belge. Tu trempes tes frites dans de la purée! »
Essayez-ça, vous me direz. Mais la frite, elle, trempée dans la purée, dans quoi a-t-elle été frite? Étant végétarien, je suis très sceptique. Dans les années 80, tout au Québec était cuisiné avec de la graisse de saindoux, même le pain. Encore aujourd'hui, il faut demander ce qu'ils mettent dans leur fameuse poutine, car bien souvent c'était du saindoux. Berk! Encore la semaine dernière, je suis entré dans un restaurant et, après vérification, leur poutine contenait de la graisse de saindoux. J'avais jamais entendu cet ingrédient, le saindoux, ailleurs, que des pâtissiers préparaient les croissants avec de la graisse de porc... Je préfère prendre des champignons magiques et vomir comme un chien que d'avaler ça! L'huile... Voici encore le conseil du PhD Smith (il ne parle pas beaucoup, bien qu'il participe avec entrain aux échanges: «En famille, les grands connaisseurs suggèrent un mélange d'huile animale (bœuf) et végétale. » Wooden Ali: «Les meilleures frites du monnnde, on les trouvent à Bruxelles, place Jourdan. Elles sont cuites en deux fois comme il se doit (une première fois dans une huile végétale, la deuxième dans de la graisse de bœuf (blanc de bœuf). Pour la santé ... On verra plus tard ! »
Ça me rappelle les discours de l'ex premier ministre du Québec, Jean Charest, sur les préoccupations immédiates au lieu de penser à l'avenir. Ne demandez pas de quel bord politique les sceptiques sont!
Essayez-ça, vous me direz. Mais la frite, elle, trempée dans la purée, dans quoi a-t-elle été frite? Étant végétarien, je suis très sceptique. Dans les années 80, tout au Québec était cuisiné avec de la graisse de saindoux, même le pain. Encore aujourd'hui, il faut demander ce qu'ils mettent dans leur fameuse poutine, car bien souvent c'était du saindoux. Berk! Encore la semaine dernière, je suis entré dans un restaurant et, après vérification, leur poutine contenait de la graisse de saindoux. J'avais jamais entendu cet ingrédient, le saindoux, ailleurs, que des pâtissiers préparaient les croissants avec de la graisse de porc... Je préfère prendre des champignons magiques et vomir comme un chien que d'avaler ça! L'huile... Voici encore le conseil du PhD Smith (il ne parle pas beaucoup, bien qu'il participe avec entrain aux échanges: «En famille, les grands connaisseurs suggèrent un mélange d'huile animale (bœuf) et végétale. » Wooden Ali: «Les meilleures frites du monnnde, on les trouvent à Bruxelles, place Jourdan. Elles sont cuites en deux fois comme il se doit (une première fois dans une huile végétale, la deuxième dans de la graisse de bœuf (blanc de bœuf). Pour la santé ... On verra plus tard ! »
Ça me rappelle les discours de l'ex premier ministre du Québec, Jean Charest, sur les préoccupations immédiates au lieu de penser à l'avenir. Ne demandez pas de quel bord politique les sceptiques sont!