L’importance du mariage en islam

Pareil

Just like me :D
VIB
ça serait bien aimable de ta part :mignon:

Voilà, c'est envoyé ;)

Note qu'il y a une réédition couleur, sans doute difficile encore d'occasion, mais ça doit valoir le coup je pense.
Mais même en noir et blanc, c'est toujours bon.
Autre bd que je te conseille : "le petit emmerdeur", de Walter Moers. C'est pour ainsi dire introuvable, mais si tu trouves un bouquiniste qui a des bd pas si courante, peut-être que...
 

BrainStorm

Et à part ça, pas d'amalgames ?
Bladinaute averti
Pour votre information, le mariage catholique n'interdit pas de se séparer en cas de force majeure (violence, adultère de l'autre). Il interdit par contre de le faire si c'est pour aller avec quelqu'un d'autre, donc en ayant une attitude de "consommateur".
Heu, pas du tout. Vous avez tiré ça d'où ?

Vous surfez sur du non-dit. Il est évident qu'un cas de force majeure exclut forcément les autres qui sont, de facto, des cas de force mineure. Mais il n'est nullement stipulé, quelque part, une quelconque attitude de "consommateur". Les motifs irrévocables de déclarer un mariage religieux nul sont :
- Le défaut de consentement ( pression des familles, contrainte physique, etc...)
- Un défaut dans la forme ( la personne qui marie doit être autorisé à le faire )
- L'immaturité
- Troubles mentaux empêchant le discernement
- L'occultation d'un défaut de sa personne (??)
- L'impossiblité de procréer, le refus d'une union charnelle ou l'impuissance.

Toutes les religions abrahamiques interdisent le papillonnage.
 
Pour votre information, le mariage catholique n'interdit pas de se séparer en cas de force majeure (violence, adultère de l'autre). Il interdit par contre de le faire si c'est pour aller avec quelqu'un d'autre, donc en ayant une attitude de "consommateur".

tu peux citer tes sources ?
tres rares sont les raisons pour annuler un mariage dans le catholicisme, et le violence n'en fait pas parti que je sache
 
Heu, il faut vous renseigner : le divorce n'est pas interdit par l'église. C'est se remarier religieusement après un divorce qui n'est pas autorisé.

http://www.elledivorce.com/html/accueil/la-position-de-l-eglise-catholique-face-au-divorce.php5

le divorce civil n'es tpas interdit, mais il n'existe pas de divorce religieux.
le divorce n'exist epas dans l'Eglise, c'est une annulation qui s ebas ele plus souvent sur l'incapacité de fonder une famille
 
la violence du conjoint ne fait pas annuler le mariage, mais la séparation de corps n'est pas un péché dans ce cas là.
Non mais elle condamne d'office le conjoint qui l'a demandée à l'impossibilité de refaire sa vie officiellement, et de fait ça condamne à l'hypocrisie ou au célibat forcé. Cette rigidité dogmatique encourage indirectement la malhonnêteté.
 
Tu dis des bêtises. Tu n'y connais rien au catholicisme.
je ne sais pas de quelle confession religieuse tu es ?
Mais pour info, voici La position de l'église catholique face au divorce;
Comment le divorce est-il perçu par l'Eglise catholique ? Quelles conséquences sur la vie religieuse ? Quelles solutions pour ne pas se sentir exclu de la communauté chrétienne ?
Pour les catholiques, le mariage à l'Eglise n'est pas un simple contrat juridique, il crée un lien sacré entre les époux, ce lien engage pour toute la vie.
« Ce que Dieu a uni, l'homme ne doit pas le séparer » dit l'Evangile. Autrement dit, les liens du mariage religieux ne peuvent pas être rompus.
L'Eglise accepte malgré tout qu'un couple marié religieusement soit amené à se séparer ou même à divorcer. Le fait de vivre séparé de son conjoint n'est pas un péché ni un motif d'exclusion.

Par contre, l'Eglise ne permet pas le remariage religieux d'un époux divorcé puisqu' il est impossible de rompre le lien sacré du mariage pour célébrer un second mariage. Cette position a pour conséquence directe de priver du mariage religieux le chrétien baptisé qui souhaite épouser une personne divorcée.

Mais c'est à l'égard des divorcés remariés civilement que l'Eglise adopte une position plus sévère : l'accès à la communion leur est refusé. « Heureux les invités au repas du Seigneur » , dit le prêtre à l'assemblée de chrétiens. Cette invitation ne s'adresse pas aux chrétiens divorcés remariés civilement ; eux, n'ont pas le droit de s'approcher de l'autel.
Certes, ces chrétiens conservent leur place dans la communauté catholique, ils ont le droit d'animer les célébrations, d'être parrain et marraine, de bénéficier d'obsèques religieuses mais leur participation à la vie de l'Eglise se trouve malgré tout réduite.
[..]
.
 
Haut