L'invraisemblance de la vie après la mort

les phenoménes paranormaux , sont hors de la normalité ,cela ne veut pas dire que c'est imaginaire , mais qu'on n'en a pas l'explication rationnelle
elle echappe a l'analyse ,
c'est tout , faut pas mepriser les choses et les faits quon ne comprend pas
faut les examiner et si on a pas d'expliction , dire on ne sait pas ,ya pas de honte
on ne sait pas tout heureusement
 
les phenoménes paranormaux , sont hors de la normalité ,cela ne veut pas dire que c'est imaginaire , mais qu'on n'en a pas l'explication rationnelle
elle echappe a l'analyse ,
c'est tout , faut pas mepriser les choses et les faits quon ne comprend pas
faut les examiner et si on a pas d'expliction , dire on ne sait pas ,ya pas de honte
on ne sait pas tout heureusement

Non mais même d'un point de vue rationnel (rationnel dans le sens que l'ont le définie à notre époque...) l'homme à la plaque à vue une plaque sous sont lit d'opération durant un EMI, en revenant dans sont corps, il le dit au médecin ce dernier vérifie mais il n'y à rien ! il y à un drap ! en enlevant le drap la plaque est là...or le sujet était dans un état grave de blessure par balle en pleine poitrine, il n'a jamais vue cette plaque et n'en douté même pas l'existence.

Encore mieux le cas d'aveugle ayant vue durant leur EMI des gens et choses qu'ils n'ont jamais vue (étant aveugle c'est normal) mais confirmé par le personnel médical !

Bref l'idée d'une hallucination du cerveau est totalement indéfendable et encore plus avec le cas P.Reynolds.
 
1) Concernant les débats entre croyants et non-croyants il y en a qui n'auront apparemment jamais de fin et sur lesquels il n'y a pas de progrès, par exemple la question de l'existence de Dieu. Il est autant impossible aujourd'hui qu'hier de démontrer que Dieu existe ou qu'il n'existe pas, les deux camps ont de bons arguments et la solution la plus rationnelle reste l'agnosticisme sur ce sujet.

Par contre il y a un sujet sur lequel semble-t-il il existe un progrès, du moins des avancées encore insatisfaisantes mais intéressantes, c'est la question de la vie après la mort.

Autrefois les hommes croyaient (s'ils étaient croyants, la grande majorité) qu'il existait l'âme d'un côté et le corps de l'autre, l'âme donnant ses ordres au corps, et qu'après la mort l'âme pouvait survivre à la destruction du corps, et rien ne pouvait permettre de le démontrer ni de le réfuter.

Mais aujourd'hui les choses sont différentes. Les études toutes récentes sur le fonctionnement du cerveau montrent que tout ce qu'un corps et qu'une pensée peuvent faire est commandé par une région du cerveau (qui est un organe physique) et que si on détruit cette région alors le corps ou la pensée ne peuvent plus faire ce qu'ils faisaient, par exemple bouger un bras ou reconnaître des visages familiers.
Tous les travaux en neurosciences tendent à prouver que l'hypothèse de l'âme est inutile et qu'on ne peut lui trouver aucun rôle dans le fonctionnement de l'être humain.
Dans ce cas l'hypothèse de l'âme et donc de quelque chose qui survit après la mort paraît assez invraisemblable. L'âme apparaît de plus en plus comme un concept inutile, comme un double imaginaire du cerveau qui ne sert à rien, un peu comme si on imaginait qu'en plus du moteur, du volant et d'un système de vitesses pour faire avancer une voiture il faudrait quelque chose d'immatériel pour commander à la voiture! Quand un mécanicien se penche sur le fonctionnement de la voiture et conclut que toutes les fonctions de la voiture sont assurées par des pièces matérielles il paraît idiot de rajouter un principe invérifiable immatériel qui ne sert à rien...

Donc la probabilité de l'existence de l'âme paraît aujour'hui de plus en plus faible, et par là même la probabilité de la vie après la mort que son existence permettait d'imaginer.

Je remets le poste initial de Florent, qui avait attiré mon attention.
J'avoue que j'ai eu du mal à lire la suite, tant on s'écarte parfois du sujet. Ce n'est pas intéressant pour autant, mais c'est tout de même désagréable de rester sur sa fin.

Je vais commencer par reformuler ce qu'a dit Florent pour être sûr de bien avoir compris.
Florent, reprends moi, si je trahis ton message d'origine.
 
Reformulation
1) L'âme.
1.1) L'homme a inventé le concept d'âme.
1.2) Ce concept offre notamment la possibilité (il ne prouve rien toutefois) de prétendre qu'il y a une "vie" après la mort.

2) Les EMI ne sont que des témoignages. On se doit donc de les confronter à une analyse scientifique s on aspire à en déduire quelque chose de plus solide/convaincant.
Cela est d'autant plus vrai que la plupart des personnes qui ont vécu une EMI étaient sûrement au courant de ce qu'était une EMI ou du moins influencé par leurs connaissances même partiel sur le sujet (lecture de la bible, on dit que l'on voit un long tunnel, ...).
2.1) Leur nombre important n'est pas une preuve en soi (cf. hallucinations de masse). 2.3) On aurait (a ?) des preuves scientifiques que ces hommes étaient réellement morts (encéphalogramme plat si j'ai compris) au moment de leur EMI.
2.4) Toutefois, même si la science n'a aucune réponse/preuve actuellement, on peut espérer qu'elle aura un jour des réponses. Par exemple activité neuronale indétectable qui perdurait quelques instants, autre vecteur de l'information/de ce qui nous fait ressentir/imaginer des choses.

Conclusion de Florent
L'interprétation que l'ont fait des EMI (l'âme vit/ressent alors que le cerveau est mort) voire le concept même d'âme (l'âme est ce "quelque chose" qui permet de ressentir/imaginer par le biais du cerveau mais sans lequel le cerveau ne servirait à rien => cf. allusion à la personne nécessaire pour piloter la voiture) ne sont que des spéculations car elles ne sont étayées par aucune preuve.

Pire, si séduisant soit le concept d'âme (côté rassurant que tout ne s'arrête pas à la mort pour nous, de ne pas être que de la matière, que nos décisions ont une existantes propres et ne sont pas que la conséquence des interactions complexe entre notre corps et son environnement) il se substitue trop facilement à une réponse scientifique, qui, bien que partielle en l'état actuel de nos connaissances, donne tout lieu de croire (cf. découvertes récentes des neuro-sciences) que la matière est suffisamment complexe pour contenir en-elle même toutes les réponses.
 
Alors, l'âme est-il un concept inutile, voire carrément nuisible car il pourrait freiner une approche plus scinetifique de la vie/de la mort ?
Peut-on/doit-on s'en passer, même si certaines conclusions peuvent être dérangeantes, comme par exemple que le fait d'être mort représente bien notre fin personnelle ?

Pour tenter de répondre à cette question, on cherchera :
1) à quelle questions ce concept cherche-t-il à apprter une réponse
2) quelles pourraient être des réponses scientifiques (mais si elles ne sont toutes ne sont pas "encore" vérifiables") qui rendraient superflues le concept d'âme.

Plutôt que d'y répondre moi-même tout de suite, j'attends les réactions des uns et des autres.
 
Non mais même d'un point de vue rationnel (rationnel dans le sens que l'ont le définie à notre époque...) l'homme à la plaque à vue une plaque sous sont lit d'opération durant un EMI, en revenant dans sont corps, il le dit au médecin ce dernier vérifie mais il n'y à rien ! il y à un drap ! en enlevant le drap la plaque est là...or le sujet était dans un état grave de blessure par balle en pleine poitrine, il n'a jamais vue cette plaque et n'en douté même pas l'existence.

Encore mieux le cas d'aveugle ayant vue durant leur EMI des gens et choses qu'ils n'ont jamais vue (étant aveugle c'est normal) mais confirmé par le personnel médical !

breakbeat, a-t-on des preuves de ce que tu avances ?
Je ne connais pas bien le sujet. A part quelques lectures sur le net ou dans dans sciences et vies qui affirmaient que rien n'était prouvé.
Si je me souviens bien des expériences scientifiques étaient menées pour tenter d'affirmer/infirmer l'hypothèse de ces EMI (surtout le fait d'avoir accès à des informations sur notre monde alors qu'on est censé être mort => le fantôme qui nous voit en sortant de son corps) mais jusqu'à présent rien n'en était ressorti.
 
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