Le ministère iranien des Affaires étrangères a indiqué que l’Iran ne reconnaîtra
jamais Israël comme condition préalable à la normalisation de ses relations
avec l’Allemagne, a rapporté samedi la chaîne Press TV.
« Les relations entre l’Iran et l’Allemagne sont fondées sur le respect et les interest
communs, et aucune condition préalable ne serait acceptable à cet égard »,
a déclaré le porte-parole du ministère, Bahram Qasemi.
Le ministre allemand de l’Economie, Sigmar Gabriel, qui effectuera une visite en
Iran dimanche, a indiqué plus tôt que la République islamique devait reconnaître
l’Etat hébreu avant que Berlin ne normalise ses relations avec Téhéran.
L’Iran ne peut avoir de relations normales et amicales avec l’Allemagne
qu’à partir du moment « où il reconnaît le droit à l’existence d’Israël »,
a ainsi souligné M. Gabriel dans une interview accordée à l’hebdomadaire
allemand Der Spiegel.
« L’Iran considère la défense des droits du peuple palestinien comme un
principe de sa politique extérieure et n’abandonnera en aucune
circonstance la cause des Palestiniens », a martelé M.
Qasemi, cité par la chaîne iranienne.
Donc, selon lui, la position du responsable allemand n’est « pas pertinente ».
Et d’ajouter que l’Iran ne permettra à quiconque de s’ingérer dans ses
affaires intérieures.
Après l’entrée en vigueur en janvier dernier de l’accord de Vienne sur
le programme nucléaire iranien, Téhéran s’efforce de restaurer
ses relations avec les pays européens qui avaient été affectées par
les sanctions économiques et financières internationales.
jamais Israël comme condition préalable à la normalisation de ses relations
avec l’Allemagne, a rapporté samedi la chaîne Press TV.
« Les relations entre l’Iran et l’Allemagne sont fondées sur le respect et les interest
communs, et aucune condition préalable ne serait acceptable à cet égard »,
a déclaré le porte-parole du ministère, Bahram Qasemi.
Le ministre allemand de l’Economie, Sigmar Gabriel, qui effectuera une visite en
Iran dimanche, a indiqué plus tôt que la République islamique devait reconnaître
l’Etat hébreu avant que Berlin ne normalise ses relations avec Téhéran.
L’Iran ne peut avoir de relations normales et amicales avec l’Allemagne
qu’à partir du moment « où il reconnaît le droit à l’existence d’Israël »,
a ainsi souligné M. Gabriel dans une interview accordée à l’hebdomadaire
allemand Der Spiegel.
« L’Iran considère la défense des droits du peuple palestinien comme un
principe de sa politique extérieure et n’abandonnera en aucune
circonstance la cause des Palestiniens », a martelé M.
Qasemi, cité par la chaîne iranienne.
Donc, selon lui, la position du responsable allemand n’est « pas pertinente ».
Et d’ajouter que l’Iran ne permettra à quiconque de s’ingérer dans ses
affaires intérieures.
Après l’entrée en vigueur en janvier dernier de l’accord de Vienne sur
le programme nucléaire iranien, Téhéran s’efforce de restaurer
ses relations avec les pays européens qui avaient été affectées par
les sanctions économiques et financières internationales.