Lobby or not lobby ?

Lobby or not lobby ?


Le vote, à l’unanimité, par le Conseil Municipal de la Ville de Paris donnant le nom de Ben Gourion à une esplanade confirme l’accord de tous ces partis politiques français quand il s’agit du sionisme. Certains de ces partis qui ont voulu « honorer » le purificateur ethnique Ben Gourion appuient ou dirigent des organisations de « soutien à la Palestine ». Nous pensons aux Communistes et à certains Verts. Ils ont même poussé l’hypocrisie et l’indécence jusqu’à manifester en signe d’opposition lors de l’inauguration de l’esplanade par Bertrand Delanoë et Shimon Perez, le dirigeant d'Israël (à qui les socialistes français ont offert la bombe atomique en secret en 1956, introduisant le nucléaire au Moyen-Orient). Il est vrai qu’une inauguration sur la voie publique, c’est plus voyant qu’un vote unanime dans la Salle des délibérations de l’Hôtel de Ville de Paris.

Interrogeons-nous sur ces « amis » du peuple palestinien. Ces gens condamnent, le plus souvent du bout des lèvres, les effets les plus scandaleux de la politique israélienne (colonisation en Cisjordanie, agressions contre le Liban et contre Gaza, emprisonnement de résistants palestiniens, etc.) mais se refusent à en voir la cause. Ils réduisent le drame de la Palestine à une sorte de conflit frontalier entre Israël et ses voisins. Ils évacuent ainsi la cause fondamentale qui est une idéologie bien précise, le sionisme, idéologie raciste d’apartheid et de domination. Cette idéologie n’est pas que « régionale » mais agit internationalement, grâce à ces groupes de pression que l’on appelle lobbies. Et ce lobby sioniste est particulièrement puissant en France, depuis de nombreuses années. Il est parvenu à s’imposer et gouverne de fait toute la classe politique française représentée dans les institutions. Nous parlerons une autre fois des faux antisionistes tels le NPA de Olivier Besancenot et autres officines, soit disant « hors système », mais qui ne sont là que pour dévoyer le combat antisioniste.

Comment le lobby sioniste exerce t’il sa mainmise sur la classe politique ?
- tout d’abord par la culpabilisation permanente des prétendues élites et de l’opinion (rappel constant des persécutions subies en Europe par la communauté juive en minimisant les autres persécutions) ;

- par le chantage : l’accusation d‘antisémitisme est portée à tous ceux qui osent dénoncer le sionisme et Israël ;

- par une mentalité coloniale toujours vivante en France et une islamophobie soigneusement entretenue qui rejoignent le sionisme dans ses bases doctrinales ;

- enfin par de puissants intérêts financiers qui permettent de relier au lobby et de tenir un grand nombre de personnes (affairisme, perspectives de carrière, etc.).

(...)


Le Président, Yahia Gouasmi.

Pour lire la suite :

http://www.partiantisioniste.com/communications/lobby-or-not-lobby-0394.html
 
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