Assalam Alaykoum,
Et si la *sentence tombe sur eux, nous extrairons pour eux un oscillateur *«Dhabba», de la terre, qui leur dira que les gens n'étaient pas certains de nos révélations. (27:82)
Et le jour où nous amènerons de chaque communauté un groupe de ceux qui rejettent nos révélations, c’est alors qu’ils regretteront. (27:83)
Et lorsqu’ils viendront, Il leur dira: «Avez-vous traité Mes révélations de mensonges sans même les avoir cernées de savoir, ou que faisiez-vous?» (27:84)
Et la *sentence tombera sur eux pour avoir été injustes, et ils ne pourront rien répondre. (27:85)
*27:82-85 Si on tient compte du verset 26:4 où Dieu dit qu’il est exclu qu’Il envoie un signe trop convainquant, nous nous devons d’exclure que ce soit une créature polyglotte qui sorte de la terre pour dire aux gens qu’auparavant ils n’étaient pas certains de Ses révélations." En effet, contrairement à toute créature vivante dite "Dabba" qui est définie en 24:45, comme étant créée à partir de l’eau et ce, sans aucune exception, force est de constater qu’ici, il est exclu que ce soit une créature, étant donné qu’il est bien précisé qu’il s’agit plutôt d’une extraction directe de la terre. Sachant qu’il ne peut y avoir de contradiction dans la parole de Dieu, il est par conséquent nécessaire de déduire qu’il manque tout simplement un point sur la lettre "D" de "Dabba" pour obtenir le mot "Dhabba", qui correspond ainsi à une toute autre racine, et qui renvoie à la notion d’osciller comme cela ressort des versets 4:142-143, décrivant comment les hypocrites oscillent entre les croyants et les mécréants. En effet, depuis que le microprocesseur est devenu à la portée des gens, l’oscillation entre le zéro et le un, offerte par cette trouvaille, permet à l’ordinateur de nous parler dans toutes les langues, pour nous dire, qu’auparavant, on ne pouvait pas être certains des révélations de Dieu, comme l’on peut l’être aujourd'hui et ce, au prix de quelques clics, permettant d’encercler toute information par plusieurs versets du Quran, comme exigé par Dieu, en 27:84. Pour enfoncer le clou, l’on peut ajouter que sans la puce en silicone, qui est à la base du microprocesseur, il était hors de question de mettre à la disposition de tout un chacun, la possibilité de vérifier l’authenticité du Quran au moyen du logiciel Num19.exe téléchargeable gratuitement, sachant que les 22 très longs nombres de quelque 39000 chiffres, entre autres, ressortant du miracle 19 prophétisé en 74:30-37, ne pouvaient en aucun cas être traités manuellement.
Pour information il faut savoir que les toutes premières copies du Quran ne comportaient ni points distinguant certaines lettres ni signes diacritiques.
Pour ce qui est de la première sentence qui est tombée en 27:82, c’est pour leur mécréance sans autre preuve que l’écrit.
Par contre, la deuxième sentence prévue en 27:85, tombera sur ceux qui ont rejeté la preuve représentée par le miracle 19, sans l’avoir cernée, malgré qu’elle leur avait été servie à domicile via la "Dhabba".
Et si la *sentence tombe sur eux, nous extrairons pour eux un oscillateur *«Dhabba», de la terre, qui leur dira que les gens n'étaient pas certains de nos révélations. (27:82)
Et le jour où nous amènerons de chaque communauté un groupe de ceux qui rejettent nos révélations, c’est alors qu’ils regretteront. (27:83)
Et lorsqu’ils viendront, Il leur dira: «Avez-vous traité Mes révélations de mensonges sans même les avoir cernées de savoir, ou que faisiez-vous?» (27:84)
Et la *sentence tombera sur eux pour avoir été injustes, et ils ne pourront rien répondre. (27:85)
*27:82-85 Si on tient compte du verset 26:4 où Dieu dit qu’il est exclu qu’Il envoie un signe trop convainquant, nous nous devons d’exclure que ce soit une créature polyglotte qui sorte de la terre pour dire aux gens qu’auparavant ils n’étaient pas certains de Ses révélations." En effet, contrairement à toute créature vivante dite "Dabba" qui est définie en 24:45, comme étant créée à partir de l’eau et ce, sans aucune exception, force est de constater qu’ici, il est exclu que ce soit une créature, étant donné qu’il est bien précisé qu’il s’agit plutôt d’une extraction directe de la terre. Sachant qu’il ne peut y avoir de contradiction dans la parole de Dieu, il est par conséquent nécessaire de déduire qu’il manque tout simplement un point sur la lettre "D" de "Dabba" pour obtenir le mot "Dhabba", qui correspond ainsi à une toute autre racine, et qui renvoie à la notion d’osciller comme cela ressort des versets 4:142-143, décrivant comment les hypocrites oscillent entre les croyants et les mécréants. En effet, depuis que le microprocesseur est devenu à la portée des gens, l’oscillation entre le zéro et le un, offerte par cette trouvaille, permet à l’ordinateur de nous parler dans toutes les langues, pour nous dire, qu’auparavant, on ne pouvait pas être certains des révélations de Dieu, comme l’on peut l’être aujourd'hui et ce, au prix de quelques clics, permettant d’encercler toute information par plusieurs versets du Quran, comme exigé par Dieu, en 27:84. Pour enfoncer le clou, l’on peut ajouter que sans la puce en silicone, qui est à la base du microprocesseur, il était hors de question de mettre à la disposition de tout un chacun, la possibilité de vérifier l’authenticité du Quran au moyen du logiciel Num19.exe téléchargeable gratuitement, sachant que les 22 très longs nombres de quelque 39000 chiffres, entre autres, ressortant du miracle 19 prophétisé en 74:30-37, ne pouvaient en aucun cas être traités manuellement.
Pour information il faut savoir que les toutes premières copies du Quran ne comportaient ni points distinguant certaines lettres ni signes diacritiques.
Pour ce qui est de la première sentence qui est tombée en 27:82, c’est pour leur mécréance sans autre preuve que l’écrit.
Par contre, la deuxième sentence prévue en 27:85, tombera sur ceux qui ont rejeté la preuve représentée par le miracle 19, sans l’avoir cernée, malgré qu’elle leur avait été servie à domicile via la "Dhabba".
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