Madagascar veut imposer la castration aux violeurs d’enfants mais Amnesty (c'est à dire les USA) proteste !

Violences sexuelles : Madagascar veut imposer la castration aux violeurs d’enfants, Amnesty International proteste​


Madagascar a voté pour imposer des peines de castration chirurgicale ou chimique aux violeurs de mineurs condamnés, une mesure jugée « cruelle, inhumaine et dégradante » par Amnesty International

Amnesty International a appelé Antananarivo à « abroger » ce texte, affirmant que la castration chimique ou chirurgicale « constitue un traitement cruel, inhumain et dégradant » et « ne résoudra pas » la question des viols d’enfants. Cette mesure n’est par ailleurs, toujours selon l’ONG, « pas compatible avec les dispositions constitutionnelles malgaches contre la torture et les mauvais traitements, ainsi qu’avec les normes régionales et internationales relatives aux droits humains ».


Jessica Lolonirina Nivoseheno, du mouvement « Women Break the Silence », estime qu’il existe une « culture du viol » dans l’île, où beaucoup de cas « se règlent en famille et à l’amiable », et que les mesures de castration pourraient se montrer « dissuasives ».


Dans le monde, seuls le Kazakhstan et la Pologne (depuis 2010) appliquent cette mesure. En 2018 en France, Laurent Wauquiez (LR) avait affirmé vouloir obliger « les prédateurs sexuels » à subir ce procédé ou à rester en prison s’ils refusent de s’y soumettre.

 

l’ambassadrice de l’UE expulsée après sa prise de position contre la castration des violeurs​


Ce qui a fait déborder le vase, c’est sans nul doute la dernière conférence de presse du 26 février où l’ambassadrice de l’Union européenne Isabelle Delattre a rappelé que la loi autorisant la castration chirurgicale, qui venait d’être validée par la Haute cour constitutionnelle du pays, était contraire aux traités internationaux. Le même jour, elle se disait « régulièrement frustrée » – en tant que partenaire qui a contribué à améliorer le réseau routier de l’île – de voir que le fonds d’entretien routier n’avait pas les moyens d’entretenir ce réseau.
Dans la foulée de cette prise de position, la nouvelle cheffe de la diplomatie malgache Rafaravavitafika Rasata avait envoyé une missive au Haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères. La ministre y aurait exprimé « son mécontentement au sujet de la conférence de presse [durant laquelle l’ambassadrice Isabelle Delattre avait émis des doutes sur l’efficacité de la castration chirurgicale comme solution pour éradiquer les viols]».

À Bruxelles, l’UE a pris acte qu’il y avait rupture de confiance rendant le fonctionnement de l’ambassade malgache « impossible ».

La délégation de l’Union européenne a confirmé à RFI dans la matinée que le départ de l’ambassadrice était quasiment acté. Ce sont désormais les modalités qui restent à préciser. Elle devrait donc quitter son poste durant l’hiver austral (en juillet/août), mais la procédure de recrutement pour lui trouver un successeur devrait prendre plus de temps.

« Notre volonté est de garder de bonnes relations avec Madagascar et c’est pour cela qu’on se plie à la demande », confirme une source diplomatique de la délégation. « Mais son départ dans ces conditions aura forcément des conséquences, politiques et financières », prévient-elle.

Côté chancelleries étrangères, on prend acte. « Est-ce à dire qu’on attend simplement des ambassades qu’elles signent des chèques et ferment leur bouche ? » ose gronder un diplomate.

 

1HundredEyes

Vive la Palestine
VIB

Violences sexuelles : Madagascar veut imposer la castration aux violeurs d’enfants, Amnesty International proteste​


Madagascar a voté pour imposer des peines de castration chirurgicale ou chimique aux violeurs de mineurs condamnés, une mesure jugée « cruelle, inhumaine et dégradante » par Amnesty International

Amnesty International a appelé Antananarivo à « abroger » ce texte, affirmant que la castration chimique ou chirurgicale « constitue un traitement cruel, inhumain et dégradant » et « ne résoudra pas » la question des viols d’enfants. Cette mesure n’est par ailleurs, toujours selon l’ONG, « pas compatible avec les dispositions constitutionnelles malgaches contre la torture et les mauvais traitements, ainsi qu’avec les normes régionales et internationales relatives aux droits humains ».


Jessica Lolonirina Nivoseheno, du mouvement « Women Break the Silence », estime qu’il existe une « culture du viol » dans l’île, où beaucoup de cas « se règlent en famille et à l’amiable », et que les mesures de castration pourraient se montrer « dissuasives ».


Dans le monde, seuls le Kazakhstan et la Pologne (depuis 2010) appliquent cette mesure. En 2018 en France, Laurent Wauquiez (LR) avait affirmé vouloir obliger « les prédateurs sexuels » à subir ce procédé ou à rester en prison s’ils refusent de s’y soumettre.

C'est tellement évident et à généraliser sur tous les violeurs. Pour les cas graves et avérés.
Case prison, puis à la fin de sa peine, si il veut sortir doit se faire castrer.
Il faut savoir que les recidives sont quasi-systematiques.
 

mioulo

VIB
Je me souviens du président philipin qui voulait faire un nettoyage et tuer les pédos, devinez qui a protesté, les mêmes mdr normal les phillippines c'est leur terrain de jeu

Que font ces ambassadeurs dans les pays africains, faut que les africains les expulsent tous, ces gens ne sont sur place que pour comploter afin de voler des ressources ou de violer des gosses.
 
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