Mali: arrivée de jihadistes étrangers

leur argent sa vient d'ou?c'est par la voie halal?
ce sont des hommes d'affaires?des fonctionnaires?
ou est qu'il ont obtenue les millions d'euro pour acheter ces armes?


ses groupes sont financé meme ça tu le sais pas loool

il croi les mecs ils gagnent de l'argent en vendant des barretes de shit a l'entrée du desert
 
Les "djihajistes" au Mali, en Afghanistan, en Irak sont des terroristes, et ceux qui sont intervenus en Lybie et actuellement en Syrie sont de bons "djihajistes" ou comme aiment les appeller les médias et les politiques des "rebelles"?

Donc si je shématise, les "djihajistes" qui servent les intérêts de l'Occident sont des gentils insurgés qu'il faut soutenir, ceux qui menacent leur intérêts sont d'horribles terroristes qu'il faut combattre et éliminer.

Cette hiérarchisation et cette hypocrisie est insuportable.
 

SynthaxError

Un chleuh dans la kasbah
VIB
Les "djihajistes" au Mali, en Afghanistan, en Irak sont des terroristes, et ceux qui sont intervenus en Lybie et actuellement en Syrie sont de bons "djihajistes" ou comme aiment les appeller les médias et les politiques des "rebelles"?

Donc si je shématise, les "djihajistes" qui servent les intérêts de l'Occident sont des gentils insurgés qu'il faut soutenir, ceux qui menacent leur intérêts sont d'horribles terroristes qu'il faut combattre et éliminer.

Cette hiérarchisation et cette hypocrisie est insuportable.

Non, ils sont tous **** et terroristes.

Je les mets dans le même panier. Bien que je ne mélange pas les vrais rebelles des infiltrés terroristes.

Qui est au Mali du Nord????

Il faut laisser faire? Qu'en pensent les maliens? Les autorités du Mali?

Il faut remercier l'Algérie pour leur jolie cadeau "envoyé" au nord Mali. Le régime algérien à peur d'être renversé à son tour, avec un afflût de terro manipulés par les puissances occidentales vers l'Algérie. Ils ont alors je pense subtilement détourner le problème vers le Mali avec différents groupes qui veulent se partager le gateau. Des dirigeants de quelque uns de ces groupes sont des types du Polisario... Vraiment louche.
 
Non, ils sont tous **** et terroristes.

Je les mets dans le même panier. Bien que je ne mélange pas les vrais rebelles des infiltrés terroristes.



Il faut remercier l'Algérie pour leur jolie cadeau "envoyé" au nord Mali.

L'Algérie a ses propres problèmes.

A-t-on des nouvelles des otages algériens enlevés et conservés dans cette région?
 
Non, ils sont tous **** et terroristes.

Je les mets dans le même panier. Bien que je ne mélange pas les vrais rebelles des infiltrés terroristes.



Il faut remercier l'Algérie pour leur jolie cadeau "envoyé" au nord Mali. Le régime algérien à peur d'être renversé à son tour, avec un afflût de terro manipulés par les puissances occidentales vers l'Algérie. Ils ont alors je pense subtilement détourner le problème vers le Mali avec différents groupes qui veulent se partager le gateau. Des dirigeants de quelque uns de ces groupes sont des types du Polisario... Vraiment louche.

Ce qui est compliqué c'est de différencier l'extrémiste fanatique du résistant, selon où le conflit se déroule la définition n'est pas la même.
A tel point que les mots perdent leur sens, islamistes, djihajistes, rebelles, insurgés, résistants......

Je ne pense pas qu'il faille mettre toutes personnes qu'on qualifie aujourd'hui d'"islamistes" dans le même panier.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Intervention militaire au Mali : Alger ne veut pas de troupes étrangères sur son sol

Samir Allam

Le désaccord entre Alger et Paris sur le groupe Ansar Dine reste entier. Pour la France, ce groupe touareg qui revendique l’application de la charia au Nord‑Mali ne s’est toujours pas démarqué des mouvements terroristes. « La position française est qu’il doit y avoir un dialogue politique au Mali si on veut une solution durable à cette crise. Ce dialogue doit se nouer entre les autorités maliennes et les individus et groupes non terroristes […] Pour Ansar Dine, je n’ai pas vu de prise de position en ce sens de leur part. Il me semble en avoir vu de la part du MNLA – "autodétermination sans séparatisme" », a déclaré, ce vendredi 26 octobre, le porte‑parole du ministère des Affaires étrangères au cours d’un point de presse à Paris.

Le porte‑parole du Quai d’Orsay a confirmé indirectement la persistance de divergences avec Alger sur la question malienne. « Ce que je relève, c’est que l’Algérie a participé à des efforts de règlement de précédentes crises dans le nord du Mali, en 2006 notamment. Si vous voulez une interprétation de la position algérienne, je vous renvoie aux autorités algériennes. Je peux vous dire quelle est la position française, je peux vous parler de nos contacts, je peux constater des faits, comme des déclarations officielles à la suite d’adoption de texte, mais je ne peux pas faire de supputations sur la position des autorités algériennes », a‑t‑il expliqué.


Intervention militaire : pas d’engagement de l’ANP, pas de troupes sur le sol algérien

En fait, en plus de l’intervention militaire qui pourrait embraser la région, le désaccord porte aussi sur le rôle des différents groupes touareg. Alger soupçonne Paris de chercher à disqualifier Ansar Dine en faveur du MNLA dans la perspective d’une reconfiguration prochaine de l’Azawad, après le départ des groupes terroristes installés dans le Nord‑Mali. Les Algériens, qui se méfient du MNLA, estiment aussi que ce mouvement n’est pas représentatif sur le terrain. Pour preuve : ses troupes ont été rapidement chassées du Nord‑Mali par les mouvements islamistes après la déroute de l’armée malienne au nord du pays.

L’enjeu dépasse donc la simple opposition de principe des Algériens à une intervention militaire à leurs frontières. Il concerne la gestion de la question sensible des touareg, avec le risque de déstabilisation du sud du pays. Paris n’a pas confirmé un accord tacite d’Alger en faveur d’une intervention militaire, comme rapporté par plusieurs médias ces derniers jours. Les Algériens n’ont pas non plus commenté ces informations pour les démentir ou les confirmer. Mais la position d’Alger semble avoir évolué. « Une chose est sûre : il n’y aura pas d'engagement de l'ANP ; ni de stationnement de troupes étrangères sur le territoire national », résume une source algérienne qui a requis l’anonymat. Reste à savoir si l’Algérie va autoriser le survol de son territoire par des avions étrangers qui prendront part à l’opération militaire. Sur ce point, Alger ne semble pas avoir tranché.

TSA
 

Drianke

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Danger au Mali : le polisario renforce les terroristes islamistes


Depuis quelques semaines, des informations de plus en plus concordantes font état d’un renforcement humain des terroristes islamistes qui sévissent dans la bande sahélo-saharienne et tout particulièrement au Mali, où ils ont investi sa partie septentrionale.

C’est ainsi que des centaines de jihadistes, venant des camps du polisario de Tindouf, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, ont déboulé récemment au Nord du Mali, occupé par des islamistes armés, pour renforcer les rangs des terroristes islamistes d’AQMI et du MUJAO et se battre à leur côté dans la perspective de l'envoi dans la région d'une force armée étrangère.

De plus, afin de renforcer ses rangs, le groupe islamiste Ansar Dine, contrôlant de larges zones du nord Mali, a tenu des discussions pour réactiver son accord avec ses ex-alliés touaregs séparatistes du MNLA.

Face à cette nouvelle donne, de nombreux pays s’interrogent sur le rôle de l’Algérie dans le pourrissement de la situation au Mali et dans le climat d’insécurité dangereux qui menace la sécurité et la stabilité de la région générés par les actes terroristes.

Ces pays n’ont pas hésité à mettre en relief la responsabilité du polisario et de l’Algérie dans cette escalade de la violence, tant à travers son mépris du droit international que dans son laxisme dans le contrôle de son territoire et des camps du polisario de Tindouf que dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale.

L’Europe et les pays de la région subissent de plein fouet les méfaits de la drogue en provenance de la région sahélo-saharienne, via l’Algérie en raison de la porosité chronique de ses frontières méridionale et orientale.

Le Mali en premier lieu où le trafic de stupéfiants et le kidnapping sont devenus la principale source d’approvisionnement des organisations terroristes, notamment le MUJAO, dernier-né de la poudrière malienne.

Un immobilisme algérien qui exaspère certains pays voisins, qui craignent une contagion des violences sur leur territoire et que le Sahel ne devienne un terreau fertile pour le terrorisme.

En effet, les pays européens, France en tête, et les Etats-Unis craignent la création dans le nord du Mali d'un sanctuaire pour les islamistes radicaux d'Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).

Une menace qui va bien au-delà du continent africain et ce, avec la complicité flagrante de l’Algérie et la mise à disposition aux groupes terroristes d’AQMI et du MUJAO de nombreux combattants séparatistes sahraouis issus des camps de Tindouf situés en plein territoire algérien.

Aujourd’hui, la communauté internationale appelle l’Algérie à prendre sérieusement ses responsabilités et à assumer ses obligations afin d’assurer la sécurité sur son territoire, d’y éliminer toute présence terroriste et subversive, de surveiller de manière efficiente ses frontières et de mettre un terme aux liaisons dangereuses entre les séparatistes du polisario et les terroristes islamistes qui sévissent dans la région.


http://www.leral.net/Danger-au-Mali-le-polisario-renforce-les-terroristes-islamistes_a61286.html
 

Drianke

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Intervention au Nord-Mali : Sékouba Konaté en mission pour l’UA à Bamako à la fin du mois



C’est en tant que haut représentant de l’Union africaine que le général guinéen Sekouba Konaté dirigera à Bamako, du 29 octobre au 8 novembre, une délégation de responsables militaires pour finaliser avec l’armée malienne un plan de reconquête du Nord-Mali.

Une délégation de l’Union africaine doit se rendre au Mali, du 29 octobre au 8 novembre, pour une série de réunions avec les responsables militaires maliens et des pays de la sous-région. Cette délégation sera emmenée par le général Sekouba Konaté, haut représentant de l’Union africaine pour l’opérationnalisation de la Force africaine en attente (FAA) et son assistant spécial, l’ambassadeur Sylla Naby Laye. À leurs côtés, les responsables militaires de l’UA : le général Jaotody Jean de Matah (chef de l’Unité de planification et des opérations), les colonels Mor Mbow (logistique), Christophe Touko (opérations de police), Fortuné Niakelele (opérations), Émile Diouf (logistique) ainsi que le lieutenant-colonel Seth Fianyah (formation) et le commandant Josef Adu Gyamfi (aviation). Pendant 10 jours, ces hauts gradés vont travailler avec leurs homologues maliens à la mise en place d’un plan de reconquête du nord Mali.

Accélération des préparatifs

Le 5 novembre, une grande réunion de planification rassemblera la délégation de l’UA et les ministres de la défense de la Cedeao, d’Algérie et de la Mauritanie, ainsi que leurs chefs d’état-major. Dans sa résolution 2071 adoptée le 12 octobre, le Conseil de sécurité des Nations unies a demandé aux pays de la Cedeao et de l’UA d’apporter une assistance militaire au Mali. Un rapport d’avancement des opérations en cours devrait être présenté par le secrétaire général des nations Unies, Ban Ki Moon, au Conseil de sécurité d’ici à la fin novembre. La communauté internationale souhaite accélérer les préparatifs de l’intervention de reconquête du Nord-Mali qui ne pourra, selon les spécialistes, pas avoir lieu avant le début de l’année prochaine.
 

Drianke

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Le CJA, nouveau mouvement armé dans le nord du Mali

Le Congrès pour la justice dans l'Azawad (CJA) vient de voir le jour dans le nord du Mali. Il se veut être un mouvement politico-armé des Touaregs de la tribu des Kel Ansar qu'on retrouve essentiellement au nord-ouest du Mali.A la tête du Congrès pour la justice dans l'Azawad (CJA), on retrouve deux hommes, de la tribu touarègue des Kel Ansar. Le premier, le colonel Abass Ag Mohamed Ahmad, déserteur de l'armée malienne qui a regagné un moment le HCUA, le MNLA avant d'intégrer aujourd’hui le CJA.

Deuxième homme fort du Congrès pour la justice dans l'Azawad, Hama Ag Mahmoud, ancien ministre malien. Au début de la rébellion de 2012 dans le Nord, il apparaît dans les rangs du très médiatique Mouvement national de libération de l'Azawad de l'époque, MNLA, qu'il a quitté depuis. « Au MNLA, je me suis fourvoyé », a-t-il expliqué à RFI au cours d'un entretien téléphonique.

Assurer la sécurité des populations de la région de Tombouctou et de Taoudeni
Il justifie la création du nouveau mouvement armé par la nécessité d'assurer la sécurité des populations de la région de Tombouctou et de Taoudeni . L'Etat n'a pas les moyens d'assurer leur sécurité, poursuit-il. Mais pas question de prendre les armes ne contre le gouvernement. Le CJA veut pouvoir intégrer le processus de paix d'Alger.

Selon les observateurs, dans le nord du Mali, d'autres groupes armés constitués sur une base tribale ou communautaire, pourraient voir encore voir le jour, question d'avoir un poids dans le processus de paix , et pour avoir une place de choix, lors de l'installation prochaine des autorités intérimaires.

RFI
 

Drianke

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Nord du Mali : des observateurs recommandent une base allemande

La chancelière allemande est à Bamako depuis hier soir pour une visite officielle. Au cours d'un point de presse tenu à l'aéroport, le Président IBK et la chancelière allemande ont abordé les questions liées à la migration illégale, la sécurité, le processus de paix mais aussi le développement. Sur le plan sécuritaire, certains observateurs pensent que l'Allemagne devrait installer «une base légère» au Nord du Mali pour lutter directement contre les terroristes.

La chancelière allemande aura aujourd'hui plusieurs rencontres avec le contingent allemand de l’EUTM, les chefs religieux du Mali et les représentants de la coopération Allemande au Mali, avant de quitter Bamako ce soir pour Niamey au Niger. Selon elle « l'Allemagne souhaite promouvoir un développement qui permettra aux Maliens de prendre en charge leur propre destin ».

Angela Merkel au micro de nos confrères de l'ORTM :

« Nous aidons certes, mais nous contribuons aussi à ce que les Maliens prennent en charge leur propre destin. Et nous souhaitons promouvoir ce développement, la même chose pour la formation des agents de la police pour combattre les passeurs, pour combattre les trafics de drogue, que ça soit la migration illégale, que ça soit d'autres trafics. Eucap au Mali est d'ailleurs dirigé par un représentant allemand. Je pense que c'est un travail qui est beaucoup apprécié au Mali et sur la demande de la France, nous avons envoyé 650 militaires allemands à la Minusma dans le Nord. Et sur la situation sécuritaire qui est encore mauvaise, nous souhaitons contribuer à ce qu'elle s'améliore. Nous savons parfaitement que les militaires seuls ne créeront pas la paix. Voilà pourquoi nous accordons une très grande importance à la mise en œuvre des accords de paix ».

Pour certains observateurs, dans le cadre de la coopération sécuritaire, l'Allemagne devrait mettre en place «une base légère» au Nord du Mali. Selon ces analystes « ne pas être présent militairement au nord du Mali pour lutter directement contre les terroristes peut constituer un handicap dans le processus ».

Serge Daniel est journaliste-écrivain, spécialiste des questions sécuritaires. Il est joint au téléphone par Mouhamadou Touré :

« Ce qui est important aujourd'hui surtout dans la mission de l'ONU du Mali, c'est qu'il faut de l'aérien. Vous savez que les Hollandais sont en train de se retirer. Ensuite il faut lutter contre les trafiquants de drogue. Donc ce que le Mali peut attendre, c'est le renforcement de cette coopération militaire au sein de la MINUSMA. ...................

http://www.studiotamani.org/index.p...-observateurs-recommandent-une-base-allemande
 
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