Le Maroc élu à la présidence à l'unanimité
Quelques jours après les précieux points que le Maroc a gagné dans le dernier classement du rapport du «Doing Business 2012» de la Banque mondiale, le Royaume confirme encore une fois l'amélioration sa place dans le concert international. En effet, si le Doing Business a mis en avant l'amélioration du climat des affaires dans le pays, notamment à travers la lutte contre la corruption, le concert international reconnaît cet essor en venant nombreux à la quatrième «Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption», organisée dans la ville de Marrakech, sous le haut patronage de S.M. le Roi. Rendez-vous qui a démarré hier et qui se poursuit jusqu'au 28 octobre.
Le Maroc a eu non seulement le privilège d'organiser cet événement d'envergure internationale, mais les participants lui ont aussi confié la présidence de la Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption. Responsabilité qui court à partir de cette quatrième édition jusqu'à la prochaine. C'est le ministre de la Modernisation des services publics, Mohamed Saad Alami, qui a été élu, à l'unanimité, à ce poste, ayant été le seul candidat après le retrait du candidat des pays de l'Union européenne, groupe qui a décidé d'opter pour le poste de rapporteur.
Il faut le souligner, les représentants des différents pays ont salué l'organisation au Maroc de ce sommet destiné à la lutte contre la corruption. D'ailleurs, les documents qui ont circulé au cours des travaux de ce rendez-vous international l'ont amplement relaté. on peut ainsi lire que, «en accueillant la 4e session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations unies contre la corruption, le Royaume du Maroc prouve son attachement aux valeurs universelles fondamentales fondées sur la transparence, l'intégrité, l'équité et les droits de l'Homme». les participants ont estimé que le Maroc a choisi avec détermination de construire une démocratie de droit et poursuit de façon constante le processus de consolidation des institutions solides d'un État moderne, fondé sur la participation, le pluralisme et la bonne gouvernance, ainsi que la mise en place des bases d'une société solidaire.
Par ailleurs, maintenant que le Maroc a eu la présidence de la Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption, il doit s'atteler à laisser sa marque à la tête de cette instance onusienne. La feuille de route est déjà claire dans ce sens. C'est ce qui ressort de la lecture du discours royal lu lors de cette conférence par le Conseiller de S.M. le Roi, Abdellatif Mennouni.
Quelques jours après les précieux points que le Maroc a gagné dans le dernier classement du rapport du «Doing Business 2012» de la Banque mondiale, le Royaume confirme encore une fois l'amélioration sa place dans le concert international. En effet, si le Doing Business a mis en avant l'amélioration du climat des affaires dans le pays, notamment à travers la lutte contre la corruption, le concert international reconnaît cet essor en venant nombreux à la quatrième «Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption», organisée dans la ville de Marrakech, sous le haut patronage de S.M. le Roi. Rendez-vous qui a démarré hier et qui se poursuit jusqu'au 28 octobre.
Le Maroc a eu non seulement le privilège d'organiser cet événement d'envergure internationale, mais les participants lui ont aussi confié la présidence de la Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption. Responsabilité qui court à partir de cette quatrième édition jusqu'à la prochaine. C'est le ministre de la Modernisation des services publics, Mohamed Saad Alami, qui a été élu, à l'unanimité, à ce poste, ayant été le seul candidat après le retrait du candidat des pays de l'Union européenne, groupe qui a décidé d'opter pour le poste de rapporteur.
Il faut le souligner, les représentants des différents pays ont salué l'organisation au Maroc de ce sommet destiné à la lutte contre la corruption. D'ailleurs, les documents qui ont circulé au cours des travaux de ce rendez-vous international l'ont amplement relaté. on peut ainsi lire que, «en accueillant la 4e session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations unies contre la corruption, le Royaume du Maroc prouve son attachement aux valeurs universelles fondamentales fondées sur la transparence, l'intégrité, l'équité et les droits de l'Homme». les participants ont estimé que le Maroc a choisi avec détermination de construire une démocratie de droit et poursuit de façon constante le processus de consolidation des institutions solides d'un État moderne, fondé sur la participation, le pluralisme et la bonne gouvernance, ainsi que la mise en place des bases d'une société solidaire.
Par ailleurs, maintenant que le Maroc a eu la présidence de la Conférence de l'ONU sur la lutte contre la corruption, il doit s'atteler à laisser sa marque à la tête de cette instance onusienne. La feuille de route est déjà claire dans ce sens. C'est ce qui ressort de la lecture du discours royal lu lors de cette conférence par le Conseiller de S.M. le Roi, Abdellatif Mennouni.