Amine
En mode pause
Un documentaire Marrakech ciné stories, sintéresse au combat que mènent les petites salles de cinéma pour reconquérir un public devenu rare.
Les images de la place Djemaa el fna de la mosquée koutoubia des rues marrakchies défilent sur la voix dEva Bertoin : plus dun million dhabitants et presque autant de touristes .tous me donnent limpression de déambuler dans un décor plus proche de la science fiction que de la réalité. Jusquau jour où jai pousse la porte du Colisée et découvert un autre Marrakech.Le Colisée, lune des premières salles de cinéma de la ville impériale, est la trame de fond de Marrakech ciné stories, le documentaire de 52 minutes de la réalisatrice qui sera diffuse sur la chaine câblée ciné cinéma et par la suite, sur 2M au Maroc et TV5 Monde.
Un film quEva dédie à son mari qui na jamais ménage ses efforts pour le développement culturel du royaume. Son épouse a repris le flambeau et défend les petites structures a lheure où les multiplexes et autres megaramas sinstallent dans les grandes villes. Ce combat darrière garde, un peu perdu davance, est également celui dune famille passionnes face aux mastodontes de la production et de la distribution. Le documentaire pointe du doigt accusateur sur le piratage. Dans les rues de la ville, les vendeurs proposent le film du mois à 10 dirhams, deux fois moins que le prix de la séance. Un fléau que lequel les autorités semblent fermer les yeux
Source: Jeune Afrique
Les images de la place Djemaa el fna de la mosquée koutoubia des rues marrakchies défilent sur la voix dEva Bertoin : plus dun million dhabitants et presque autant de touristes .tous me donnent limpression de déambuler dans un décor plus proche de la science fiction que de la réalité. Jusquau jour où jai pousse la porte du Colisée et découvert un autre Marrakech.Le Colisée, lune des premières salles de cinéma de la ville impériale, est la trame de fond de Marrakech ciné stories, le documentaire de 52 minutes de la réalisatrice qui sera diffuse sur la chaine câblée ciné cinéma et par la suite, sur 2M au Maroc et TV5 Monde.
Un film quEva dédie à son mari qui na jamais ménage ses efforts pour le développement culturel du royaume. Son épouse a repris le flambeau et défend les petites structures a lheure où les multiplexes et autres megaramas sinstallent dans les grandes villes. Ce combat darrière garde, un peu perdu davance, est également celui dune famille passionnes face aux mastodontes de la production et de la distribution. Le documentaire pointe du doigt accusateur sur le piratage. Dans les rues de la ville, les vendeurs proposent le film du mois à 10 dirhams, deux fois moins que le prix de la séance. Un fléau que lequel les autorités semblent fermer les yeux
Source: Jeune Afrique