Une étude de plus, pour étiqueter un soi disant trouble mental chez l’enfant. On ne parle pas d’éducation « gustative » par les parents, pourtant ça devrait être souligner. Un tout petit qui n’est pas habitué à manger de tout, est tout sauf capricieux, il ne connait pas, il ne mange pas, ça ne devrait pas être un trouble, mais une méconnaissance d’autre chose. Quelle idée de voir des comportements déviants, là où le simple bon sens, devrait empêcher ces « troubles mentaux ». Ce sont les géniteurs qu’on devrait éduquer à devenir de bons parents, mais comme me disait un éducateur canin de mes amis, « il est plus difficile de dresser les maîtres que les animaux », à moins que d’autres paramètres entrent en jeu? Et vous, quel est votre avis?
Quel parent n’a pas eu à subir les caprices alimentaires de son enfant ? Mais pour des médecins américains ce comportement a priori normal et passager pourrait entraîner des complications pour la santé de certains enfants, même lorsqu’il est modéré ! A quand les médicaments ?
Si tous les enfants se montrent plus ou moins difficiles à table, ce comportement, même modéré, pourrait s’avérer dangereux pour leur santé. C’est la conclusion très sérieuse d’une étude américaine qui s’est penché sur « la sélectivité alimentaire » de 917 enfants entre 2 et 6 ans.Au cours de cette étude, les enfants ont été soumis à des entretiens diagnostics révélant leurs comportements alimentaires, sociaux et psychologiques. Deux degrés pathologiques de sélectivité alimentaire se sont distingués : les formes « sévère » et « modérée », respectivement 3% et 18% des enfants interrogés. Parmi-eux, tous présentent des symptômes psychiatriques déclarés ou potentiels (anxiété, dépression, hyperactivité, déficit d’attention…). En revanche la forme sévère de la sélectivité alimentaire est liée à des symptômes plus graves. « Les repas de certains enfants sont devenus si limités ou sélectifs qu’ils commencent à causer des problèmes » s’alarme un des auteurs de l’étude, Nancy Zucker du Duke Center for Eating Disorder.
Ces découvertes, pensent les auteurs de l’étude, vont permettre aux soignants de savoir à quel moment un trouble de l’alimentation doit être pris en charge…/…
Suite de l’article http://www.lanutrition.fr/les-news/...l-de-l-enfant-la-selectivite-alimentaire.html
Quel parent n’a pas eu à subir les caprices alimentaires de son enfant ? Mais pour des médecins américains ce comportement a priori normal et passager pourrait entraîner des complications pour la santé de certains enfants, même lorsqu’il est modéré ! A quand les médicaments ?
Si tous les enfants se montrent plus ou moins difficiles à table, ce comportement, même modéré, pourrait s’avérer dangereux pour leur santé. C’est la conclusion très sérieuse d’une étude américaine qui s’est penché sur « la sélectivité alimentaire » de 917 enfants entre 2 et 6 ans.Au cours de cette étude, les enfants ont été soumis à des entretiens diagnostics révélant leurs comportements alimentaires, sociaux et psychologiques. Deux degrés pathologiques de sélectivité alimentaire se sont distingués : les formes « sévère » et « modérée », respectivement 3% et 18% des enfants interrogés. Parmi-eux, tous présentent des symptômes psychiatriques déclarés ou potentiels (anxiété, dépression, hyperactivité, déficit d’attention…). En revanche la forme sévère de la sélectivité alimentaire est liée à des symptômes plus graves. « Les repas de certains enfants sont devenus si limités ou sélectifs qu’ils commencent à causer des problèmes » s’alarme un des auteurs de l’étude, Nancy Zucker du Duke Center for Eating Disorder.
Ces découvertes, pensent les auteurs de l’étude, vont permettre aux soignants de savoir à quel moment un trouble de l’alimentation doit être pris en charge…/…
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