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AncienBladinaute
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Valentigney: mort dans un fourgon de police, la famille veut savoir!
Jeudi après midi Abdelkader Boukrourou est mort dans un fourgon de police. La famille veut comprendre. Lire demain en page région l'article de Sam BONJEAN.
"Nous avons reçu des témoignages qui nous interpellent , rapportent Samira et Abdelkader Boukrourou, sur et frère de Mohamed, mort jeudi après-midi dans un fourgon de police à Valentigney, dans des conditions encore nébuleuses (notre édition dhier).
La famille a pu reconstituer une partie du film des événements. Et connaître lorigine de lintervention des forces de lordre. Comme le résume Abdelkader: «Mon frère ne voulait pas des médicaments génériques que lui donnait le pharmacien.Le ton est monté et Mohamed a fini par dire quil allait porter plainte. Quelques minutes plus tard, un équipage composé de quatre fonctionnaires se rend effectivement sur place et trouve Mohamed Boukrourou assis sur une chaise, dans lofficine. "Il était calme. Le pharmacien nous la confirmé", insiste Samira. «Les policiers ont alors voulu faire sortir de force mon frère et lui passer les menottes. Il a refusé.Ce nétait tout de même pas un criminel.Cest vrai quil sest sans doute débattu», fait valoir la sur, qui évoque alors des témoignages beaucoup plus accusateurs: «On nous a dit que Mohamed hurlait à la mort.Que le fourgon remuait dans tous les sens. Des accusations particulièrement graves auxquelles Thérèse Brunisso, la procureure de la République, répond: "Dans mon bureau, la famille a effectivement fait état de ces témoignages.Les personnes en question doivent être entendues, durant ce week-end, par les enquêteurs de la PJ. Cest intégré dans lenquête..
http://www.estrepublicain.fr/franchecomte/actu/art_1224877.php
Jeudi après midi Abdelkader Boukrourou est mort dans un fourgon de police. La famille veut comprendre. Lire demain en page région l'article de Sam BONJEAN.
"Nous avons reçu des témoignages qui nous interpellent , rapportent Samira et Abdelkader Boukrourou, sur et frère de Mohamed, mort jeudi après-midi dans un fourgon de police à Valentigney, dans des conditions encore nébuleuses (notre édition dhier).
La famille a pu reconstituer une partie du film des événements. Et connaître lorigine de lintervention des forces de lordre. Comme le résume Abdelkader: «Mon frère ne voulait pas des médicaments génériques que lui donnait le pharmacien.Le ton est monté et Mohamed a fini par dire quil allait porter plainte. Quelques minutes plus tard, un équipage composé de quatre fonctionnaires se rend effectivement sur place et trouve Mohamed Boukrourou assis sur une chaise, dans lofficine. "Il était calme. Le pharmacien nous la confirmé", insiste Samira. «Les policiers ont alors voulu faire sortir de force mon frère et lui passer les menottes. Il a refusé.Ce nétait tout de même pas un criminel.Cest vrai quil sest sans doute débattu», fait valoir la sur, qui évoque alors des témoignages beaucoup plus accusateurs: «On nous a dit que Mohamed hurlait à la mort.Que le fourgon remuait dans tous les sens. Des accusations particulièrement graves auxquelles Thérèse Brunisso, la procureure de la République, répond: "Dans mon bureau, la famille a effectivement fait état de ces témoignages.Les personnes en question doivent être entendues, durant ce week-end, par les enquêteurs de la PJ. Cest intégré dans lenquête..
http://www.estrepublicain.fr/franchecomte/actu/art_1224877.php