Fin du suspense pour le renouvellement des instances dirigeantes du "parti du Cheval" !
Après un processus électoral à rebondissements, c’est finalement le maire de Casablanca, Mohamed Sajid, qui a été élu à la tête de l’Union constitutionnelle (UC).
C’est en cette matinée du samedi 25 avril que s’est joué l’épilogue du feuilleton à rebondissements du cinquième Congrès de l’Union constitutionnelle (UC).
Finalement, c’est Mohamed Sajid qui a remporté haut la main les élections pour le poste de Secrétaire général en raflant 90% des voix des congressistes.
L’élection du maire de Casablanca à la tête du parti du Cheval était plus que prévisible après le retrait du SG sortant Mohamed Abied, mais aussi du président du groupe parlementaire du parti Driss Radi, qui étaient aussi en lice.
L’arrivée d’un maire de la métropole économique qui a fait ses armes dans la gestion locale à la tête d’un parti qui figure dans le Top 5 des formations politiques est, selon des observateurs, de bon augure pour l’avenir du parti fondé par Maâti Bouabid au début des années 80 et qui a su se défaire de son étiquette de «parti de l’administration».
L’UC a réalisé des scores électoraux honorables lors des trois dernières législatives, même si le parti est dans le camp de l’opposition depuis le gouvernement de l’alternance.
Brahim Taougar
Diapo. Mohamed Sajid, nouveau SG de l’Union constitutionnelle | www.le360.ma
Après un processus électoral à rebondissements, c’est finalement le maire de Casablanca, Mohamed Sajid, qui a été élu à la tête de l’Union constitutionnelle (UC).
C’est en cette matinée du samedi 25 avril que s’est joué l’épilogue du feuilleton à rebondissements du cinquième Congrès de l’Union constitutionnelle (UC).
Finalement, c’est Mohamed Sajid qui a remporté haut la main les élections pour le poste de Secrétaire général en raflant 90% des voix des congressistes.
L’élection du maire de Casablanca à la tête du parti du Cheval était plus que prévisible après le retrait du SG sortant Mohamed Abied, mais aussi du président du groupe parlementaire du parti Driss Radi, qui étaient aussi en lice.
L’arrivée d’un maire de la métropole économique qui a fait ses armes dans la gestion locale à la tête d’un parti qui figure dans le Top 5 des formations politiques est, selon des observateurs, de bon augure pour l’avenir du parti fondé par Maâti Bouabid au début des années 80 et qui a su se défaire de son étiquette de «parti de l’administration».
L’UC a réalisé des scores électoraux honorables lors des trois dernières législatives, même si le parti est dans le camp de l’opposition depuis le gouvernement de l’alternance.
Brahim Taougar
Diapo. Mohamed Sajid, nouveau SG de l’Union constitutionnelle | www.le360.ma
