Je pense en avoir parlé un jour ici mais il y a prescription.
J'ai écrit un roman qui commençait par: "Elle l'avait tellement sucé qu'il avait le gland fripé comme les doigts d'un nageur".
Heureux de ma phrase, qui à mon humble avis vaut largement toute la "production" d'Alexandre Jardin, j'arrêtais mon roman à l'instant même.
Un roman avec une phrase quoi.
Nouveau concept.
Un truc de ouf.
De malade.
Copyright patin couffin. J'allais me faire des burnes en or. Je me voyais déjà avec Bill Gates manger des escargots place Jemaa el Fna. Délires de milliardaires quoi.
J'attendais des éditeurs une avance de 100 000 euros pour écrire le tome 2 dans l'année. Aussi court.
Je prévoyais vers 2025 d'inventer le roman avec un mot. Actuellement le monde n'est pas encore prêt. Les génies ont toujours de l'avance mais t’inquiète Suzette: je gère.
Mais, conscient de la décadence de l'Occident, incapable d'innover ( ces 10 dernières années, quoi de vraiment surprenant en France niveau "fulgurances"artistiques à part Chalghoumy ?) je me doutais à l'avance de la réponse négative des éditeurs:
"Monsieur,
Notre politique éditoriale ne nous permet pas encore de publier des romans d'une seule phrase. Mais songez que nous y penserons lorsque le papier sera devenu une denrée rare.
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de futures turluttes passionnées etc."
La décence, une éducation catholique sérieuse, ainsi que le règlement quasi-salafiste du forum m'interdisent de citer ma réponse: "Vous êtes méchants. Très."
J'ai écrit un roman qui commençait par: "Elle l'avait tellement sucé qu'il avait le gland fripé comme les doigts d'un nageur".
Heureux de ma phrase, qui à mon humble avis vaut largement toute la "production" d'Alexandre Jardin, j'arrêtais mon roman à l'instant même.
Un roman avec une phrase quoi.
Nouveau concept.
Un truc de ouf.
De malade.
Copyright patin couffin. J'allais me faire des burnes en or. Je me voyais déjà avec Bill Gates manger des escargots place Jemaa el Fna. Délires de milliardaires quoi.
J'attendais des éditeurs une avance de 100 000 euros pour écrire le tome 2 dans l'année. Aussi court.
Je prévoyais vers 2025 d'inventer le roman avec un mot. Actuellement le monde n'est pas encore prêt. Les génies ont toujours de l'avance mais t’inquiète Suzette: je gère.
Mais, conscient de la décadence de l'Occident, incapable d'innover ( ces 10 dernières années, quoi de vraiment surprenant en France niveau "fulgurances"artistiques à part Chalghoumy ?) je me doutais à l'avance de la réponse négative des éditeurs:
"Monsieur,
Notre politique éditoriale ne nous permet pas encore de publier des romans d'une seule phrase. Mais songez que nous y penserons lorsque le papier sera devenu une denrée rare.
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de futures turluttes passionnées etc."
La décence, une éducation catholique sérieuse, ainsi que le règlement quasi-salafiste du forum m'interdisent de citer ma réponse: "Vous êtes méchants. Très."