salam
Combien de trous encore faudra-t-il boucher pour éviter les catastrophes dans la ville de Casablanca ?
Combien de trous encore faudra-t-il boucher pour éviter les catastrophes dans la ville de Casablanca ? Dans notre édition du 1er juin dernier, nous avions mis laccent sur les innombrables crevasses qui jonchent les rues et artères de la métropole et qui menacent la sécurité des citoyens parfois (lire article).
Une sonnette dalarme prémonitoire... malheureusement. Dans la nuit du 17 juin, un jeune homme de 28 ans, qui roulait à moto sur le bd Ibnou Sina (Hay Hassani), est tombé sur un de ces fameux trous pour se retrouver projeté à des dizaines de mètres. Résultat : de multiples fractures et une hémorragie abdominale qui a entraîné le décès du jeune homme, 90 minutes après laccident. On aurait pu invoquer la cause, habituelle, concernant les accidents de motos, comme le non-port du casque.
Mais pas dans ce cas-là. Le jeune homme nétait ni ivre, ni mal protégé, il a tout simplement été victime de la négligence du Conseil de la ville. Il sappelait Mohamed Amine Mehdi.
Comble de lironie, le trou en question a été rempli à la hâte avec de la terre juste après laccident, en attendant quil fasse de nouvelles victimes. Faut-il attendre que des citoyens meurent pour que lon répare la voirie ? Combien de victimes comptera-t-on encore avant un sursaut salvateur ?
La Vie éco
Combien de trous encore faudra-t-il boucher pour éviter les catastrophes dans la ville de Casablanca ?
Combien de trous encore faudra-t-il boucher pour éviter les catastrophes dans la ville de Casablanca ? Dans notre édition du 1er juin dernier, nous avions mis laccent sur les innombrables crevasses qui jonchent les rues et artères de la métropole et qui menacent la sécurité des citoyens parfois (lire article).
Une sonnette dalarme prémonitoire... malheureusement. Dans la nuit du 17 juin, un jeune homme de 28 ans, qui roulait à moto sur le bd Ibnou Sina (Hay Hassani), est tombé sur un de ces fameux trous pour se retrouver projeté à des dizaines de mètres. Résultat : de multiples fractures et une hémorragie abdominale qui a entraîné le décès du jeune homme, 90 minutes après laccident. On aurait pu invoquer la cause, habituelle, concernant les accidents de motos, comme le non-port du casque.
Mais pas dans ce cas-là. Le jeune homme nétait ni ivre, ni mal protégé, il a tout simplement été victime de la négligence du Conseil de la ville. Il sappelait Mohamed Amine Mehdi.
Comble de lironie, le trou en question a été rempli à la hâte avec de la terre juste après laccident, en attendant quil fasse de nouvelles victimes. Faut-il attendre que des citoyens meurent pour que lon répare la voirie ? Combien de victimes comptera-t-on encore avant un sursaut salvateur ?
La Vie éco