Moubarak et Ben Ali dans le coma

Salam
Detrompe toi Pinky, Adel Imam était un des grands supporters de Moubarak!!! il a toujours supporté à toutes les occasions publiquement!!
HS: Sais tu que l'acteur assis à côté de lui est son beau frère?


Oui Ikkar j'étais déçue du soutien d'Adel Imam à Mou! mais je trouve que cette comédie illustre super bien pépère et elle date des années 2000 à peu près! Il évoque meme son départ pour l'Arabie Saoudite lol!

Oui son beau frère est décédé depuis quelques années. Allah yerhamou!
 
Ben Ali, Moubarak: et de deux! Au suivant?


Le tsunami démocratique qui a emporté Ben Ali et Hosni Moubarak pourrait-il s’étendre
d’un phénomène plus large qui pourrait s’étendre à des pays comme Cuba, le Gabon, la Birmanie, la Chine ou la Corée du Nord ?


sondage

Le tsunami démocratique pourrait-il s'étendre au-delà du monde arabe? Le tsunami démocratique pourrait-il s'étendre au-delà du monde arabe?
Oui
Non
Sans avis
la korée du nord ca va etre dure les gens n'ont aucune information du monde exterieur et c'est sans doute le regime le plus repressif au monde
 
A

AncienMembre

Non connecté
le Yemen mais aussi la Lybie meme si ils sont assez clame pour l'instant , je pense qu'ils preparent qq chose en cachette .

Corée du Nord peut être mais pas par le peuple mais plutot grace à une aide de l'éxterieur .

La chine , je pense que c'est JAMAIS .

Tu as raison! ;)
Pas maaaal! :D
 
le Yemen mais aussi la Lybie meme si ils sont assez clame pour l'instant , je pense qu'ils preparent qq chose en cachette .

Corée du Nord peut être mais pas par le peuple mais plutot grace à une aide de l'éxterieur .

La chine , je pense que c'est JAMAIS .

Si si en Chine, ils commencent à se révolter! Ils s'inspirent même de la révolution du Jasmin

http://chine.aujourdhuilemonde.com/d...-revolte-arabe

C'est le monde arabe qui exporte désormais en Chine!
 
La nuit où le peuple a pris la « Stasi égyptienne »


Des Egyptiens racontent leur entrée par effraction dans le bâtiment de la sécurité d'Etat, lieu de torture et de stockage d'archives.

(Du Caire) Mira a 22 ans. Il est essoufflé quand il arrive à 20 heures dans une université du centre du Caire, samedi. Il revient juste de Nasr City, quartier nord de la capitale, où il a participé à un moment incroyable de l'histoire de son pays : l'entrée par effraction dans les locaux les plus honnis par le peuple égyptien, les plus symboliques de la terreur du régime passé.

Le bâtiment d'Amn el Dawla (sécurité d'Etat), où des milliers d'Egyptiens ont disparu sans jamais refaire surface, où la torture était devenue une pratique routinière depuis des années, a finalement été pénétré par des citoyens venus faire la lumière sur ces années de plomb.

« Des montagnes de papier déchiquetés, du sol au plafond »
Alerté par un ami du parti Liberté et Justice, affilié aux Frères musulmans, Mira s'est joint au groupe d'activistes et d'étudiants réunis par ces circonstances exceptionnelles. Il raconte avec délectation, encore étonné :

« J'ai entendu dire par un ami qu'on pouvait rentrer à l'intérieur, alors je m'y suis précipité. On a pu rentrer par derrière. L'armée était là, mais elle n'avait pas encore reçu d'ordre, donc elle est restée inactive. Il y avait des gens de tous les partis, de toutes les organisations. Des barbus, des socialistes.

Les gens criaient : “La seule chose que vous pouvez casser, ce sont les portes ! Tout doit rester intact.” Il y avait vraiment la volonté de préserver ces archives. J'étais sidéré de découvrir des montagnes de papier déchiquetés, du sol au plafond, dans toutes les pièces. Ils n'ont même pas eu le temps de nettoyer les lieux ». (Voir la vidéo)



http://www.youtube.com/watch?v=XJgOXp5bT2E&feature=player_embedded


Un programme de destruction des archives

Le site du journal Al-Masri al-Youm a révélé samedi deux documents confirmant que les dirigeants de la sécurité d'Etat avaient un programme de destruction des archives :

•le premier document indique qu'il avait été explicitement ordonné de passer les papiers au broyeur, et non de les brûler. A Alexandrie, vendredi dernier, c'est la fumée sortant de bâtiments de la sécurité d'Etat qui avait alerté des activistes et entraîné des émeutes ;
•le deuxième document cité par le quotidien égyptien fait état d'une réunion au sommet entre responsables de la sécurité d'Etat, le 21 février dernier, pendant laquelle il a été décidé de couler des murs de béton dans les locaux d'Aman el Doura pour condamner des cellules et des pièces jugées trop compromettantes.
« On a vu des souterrains », poursuit Mira. « Des galeries entières sous le bâtiment. On n'a pas osé y aller, c'était trop effrayant. »
 
suite

En direct des archives via Twitter

Mira explique :

« A chaque fois qu'on découvrait quelque chose de nouveau, je balançais l'info sur Twitter. Je n'ai pas arrêté de tweeter ! On a trouvé les papiers avec les signatures des 22 personnes inculpées par le régime dans les attentats contre les églises, début janvier. Ça ressemblait beaucoup à des signatures extirpées sous la menace. »


Le blog Egyptian Chronicles, devenu célèbre depuis le début des manifestations en Egypte, confirme :

« D'après ceux qui ont pu lire les documents trouvés, le régime serait incriminé dans l'organisation des attentats contre les deux églises.

Des dossiers sur Hosni Moubarak et sa femme eux-mêmes ont été trouvés, ce qui laisse songeur sur la loyauté de la sécurité d'Etat envers le président déchu. Mais aussi sur el Baradei, le journaliste d'Al Jazeera Ahmed Mansour et Khaled Said, le jeune manifestant tué à Alexandrie par la police il y a un an. »


« J'ai vu des gens des Frères musulmans récupérer le dossier qui les concernait », poursuit Mira. « J'aurais préféré qu'on rassemble tous ces documents, mais c'était la pagaille. »

« Ils avaient tous mes e-mails et textos personnels »

Esra Abdel Fattah, célèbre activiste qui a participé à la création du mouvement du 6 avril et qui aujourd'hui travaille pour l'ONG Egyptian Democratic Academy, raconte qu'elle a pu récupérer son dossier personnel :

« J'ai été impressionnée, ils avaient imprimé tous mes e-mails personnels et textos, listé tous mes appels. Je le garde précieusement, j'ai bien l'intention de l'utiliser pour faire passer quelques personnes devant un tribunal prochainement. »


A ce jour, aucune ONG n'a initié de regroupement de toutes ces archives. Mais l'organisation WikiLeaks a offert de donner une nouvelle vie aux montagnes de papier passées au broyeur. Elle a déclaré qu'elle avait les moyens techniques de le faire
------------------
Source:
http://www.rue89.com/2011/03/07/la-nuit-ou-le-peuple-a-pris-la-stasi-egyptienne-193714
 
Ben Ali, Moubarak, Kadhafi : Où seront-ils jugés ?

En Tunisie
L’ancien Président et sa femme - sous le coup d’un mandat d’arrêt international - pourraient être extradés


En Egypte, un premier procès s’est ouvert au Caire. Interdit de sortie du territoire, Hosni Moubarak s’est retiré sur les rives de la mer rouge, à Charm-el-Cheikh. Sur décision du ministère de la justice, les avoirs de l’ancien raïs et ceux de sa famille ont aussi été gelés, et le tribunal du Caire vient de rejeter leur appel.

En Libye, la crise
 
L’ex-président Moubarak en résidence surveillée en Egypte

L’ancien président égyptien Hosni Moubarak et sa proche famille sont en résidence surveillée en Egypte, a déclaré lundi l’armée égyptienne, démentant des informations selon lesquelles il serait parti en Arabie saoudite pour un traitement médical. L’ancien président et ses proches “sont en résidence surveillée à l’intérieur de l’Egypte”, a précisé le Conseil suprême des forces armées, l’instance qui dirige le pays, dans un communiqué posté sur sa page officielle sur Facebook, sans mentionner d’endroit précis
 
Ben Ali condamné à cinq ans de prison

mercredi 30 novembre 2011, par La Rédaction

Un tribunal militaire tunisien a condamné, mercredi, l’ancien président Zine Ben Ali à cinq ans de prison pour des faits de torture commis en 1991. Ben Ali a quitté le pouvoir le 14 janvier à l’issue d’une révolte populaire et a fui en Arabie saoudite avec sa famille proche. Sa femme et lui ont déjà été condamnés par contumace à de longues peines de prison ferme pour corruption. Il s’agissait du premier procès impliquant la vieille garde de Ben Ali depuis le renversement du régime. Le tribunal militaire de Tunis a condamné l’ancien ministre de l’Intérieur Abdallah Kallel et son ministre de la Sécurité, Mohammed Ali Ganzoui, à quatre ans de prison chacun.

Le procès concernait la torture en 1991 de 17 officiers accusés de préparer un coup d’État. Plusieurs responsables des forces de sécurité doivent encore être jugés pour le meurtre de civils durant la révolution et des procès pour corruption attendent également ceux ayant entouré Ben Ali durant ses 23 années au pouvoir.

(Mercredi, 30 novembre 2011 - Avec les agences de presse)

http://www.aloufok.net/spip.php?article5995
 
Haut