Makelloos
VIB
Les remaniements sont synonymes de promotion pour Najat Vallaud-Belkacem depuis le début de ce quinquennat. A 36 ans, elle prend la tête du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche dans la nouvelle équipe de Manuel Valls, en remplacement de Benoît Hamon.
Après avoir été successivement chargée du droit des femmes puis d'un ministère élargi à la ville, à la jeunesse et aux sports, Mme Vallaud-Belkacem devient la numéro 4 dans l'ordre protocolaire du gouvernement.
Elle a commencé sa carrière politique à seulement 26 ans comme conseillère régionale en Rhône-Alpes. Elle a ensuite intégré l'équipe de Ségolène Royal dont elle est restée proche pendant plusieurs années, avant d'entrer au gouvernement comme porte-parole.
Au crédit de son action ministérielle, une loi égalité hommes-femmes, une proposition de loi de lutte contre la prostitution et feu les ABCD de l'égalité en coproduction avec Vincent Peillon, mais qu'elle avait fortement soutenue. Au point d'être perçue par les détracteurs de ce dispositif pédagogique (lobbies traditionnalistes, religieux), comme la promotrice d'une prétendue « théorie du genre ». C'est d'ailleurs à travers ce dernier dossier qu'elle a cotoyé de plus près le monde de l'éducation nationale.
http://www.lemonde.fr/politique/art...-de-l-education-nationale_4477175_823448.html
Après avoir été successivement chargée du droit des femmes puis d'un ministère élargi à la ville, à la jeunesse et aux sports, Mme Vallaud-Belkacem devient la numéro 4 dans l'ordre protocolaire du gouvernement.
Elle a commencé sa carrière politique à seulement 26 ans comme conseillère régionale en Rhône-Alpes. Elle a ensuite intégré l'équipe de Ségolène Royal dont elle est restée proche pendant plusieurs années, avant d'entrer au gouvernement comme porte-parole.
Au crédit de son action ministérielle, une loi égalité hommes-femmes, une proposition de loi de lutte contre la prostitution et feu les ABCD de l'égalité en coproduction avec Vincent Peillon, mais qu'elle avait fortement soutenue. Au point d'être perçue par les détracteurs de ce dispositif pédagogique (lobbies traditionnalistes, religieux), comme la promotrice d'une prétendue « théorie du genre ». C'est d'ailleurs à travers ce dernier dossier qu'elle a cotoyé de plus près le monde de l'éducation nationale.
http://www.lemonde.fr/politique/art...-de-l-education-nationale_4477175_823448.html