Makelloos
VIB
«La petite immigrée devenue ministre»
«A cet instant, je pense aux enseignants qui m’ont aidée à grandir et qui ont contribué à changer le cours de mon destin, comme des millions d’autres, et qui ne comptent ni leur temps ni leur énergie», a commencé Najat Vallaud-Belkacem, la première femme ministre de l’Education nationale, «des années après, ils m’ont envoyé des messages pour me dire qu’ils réjouissaient de ce que l’école de la République avait fait de moi, la petite immigrée devenue ministre».
"Ceux qui s'expriment ne me connaissent pas bien, mais c'est bien, ils vont avoir le temps d'apprendre à me connaître", a dit la ministre, calme et souriante comme à son accoutumée et qui pourra s'appuyer sur son art de la communication pour dénouer les conflits. "Je suis une femme de dialogue (et) ma porte est ouverte".
Exprimant son "aversion profonde" pour les "polémiques stériles" et les "instrumentalisations insupportables de l'école", elle a assuré qu'elles "n'auront pas de place dans le ministère". lors de la passation de pouvoir avec Benoît Hamon.
«A cet instant, je pense aux enseignants qui m’ont aidée à grandir et qui ont contribué à changer le cours de mon destin, comme des millions d’autres, et qui ne comptent ni leur temps ni leur énergie», a commencé Najat Vallaud-Belkacem, la première femme ministre de l’Education nationale, «des années après, ils m’ont envoyé des messages pour me dire qu’ils réjouissaient de ce que l’école de la République avait fait de moi, la petite immigrée devenue ministre».
"Ceux qui s'expriment ne me connaissent pas bien, mais c'est bien, ils vont avoir le temps d'apprendre à me connaître", a dit la ministre, calme et souriante comme à son accoutumée et qui pourra s'appuyer sur son art de la communication pour dénouer les conflits. "Je suis une femme de dialogue (et) ma porte est ouverte".
Exprimant son "aversion profonde" pour les "polémiques stériles" et les "instrumentalisations insupportables de l'école", elle a assuré qu'elles "n'auront pas de place dans le ministère". lors de la passation de pouvoir avec Benoît Hamon.