L'ultra médiatique télésophe Onfray se dit etre un fervent Nietzschéen quand on lui demande sur quoi il base sa pensée.
L'auteur de la généalogie de la morale est certes un crack, mais sa pensée est limitée comme pour tout le monde il serait donc stupide d'en faire un modèle .
Voici un court passage qui ravirait notre télésophe et autres béat du philosophe allemand qui nous décrit dans ce dit passage sa vision délirante sur certains aspects des femmes qu'adoreraient les féministes et autres fanatique de la chimère de l'égalité, par contre le reste du texte est criant de vérité:
Friedrich Nietzsche écrit dans “Au-delà
du bien et du mal” :
"Se tromper sur le rapport de l’homme et de la femme, n’y pas voir un rapport d’antagonisme fondamental et nier la nécessité même de cette tension éternellement hostile, rêver pour l’homme et pour la femme de droits égaux, d’éducation semblable, de mêmes prétentions et de mêmes obligations est un signe
infaillible de platitude d’esprit, et un penseur atteint de platitude dans ce domaine critique qui est celui de l’instinct peut être considéré comme suspect d’une manière générale ; plus même, il s’est trahi et découvert : ses vues seront sans doute trop courtes pour tout ce qui concerne les questions fondamentales de la vie, y compris celles de la vie future, et il sera lui-même incapable de la moindre profondeur. Un
homme profond, par son esprit et par ses désirs, et à qui est donnée aussi cette profondeur de la bienveillance, capable de rigueur et de dureté, ce qui la fait facilement confondre avec celles-ci, ne peut raisonner sur la femme qu’en oriental : il ne peut voir en elle qu’un bien, une propriété privée, un être fait pour la domesticité et s’accomplissant dans le service, il ne peut en un mot que s’en remettre sur ce point
à l’incroyable sagesse de l’Orient, à la supériorité de son instinct, comme l’ont fait un jour les Grecs, ces plus grands élèves et héritiers de l’Orient, qui, comme on le sait, d’Homère à Périclès, c’est-à-dire à mesure que leur puissance et leur civilisation se développaient, n’ont fait que témoigner de plus en plus de rigueur envers la femme,autrement dit n’ont fait que s’orientaliser. Combien cela était nécessaire, logique et
même humainement souhaitable ! Et quel sujet de méditations pour notre temps !”
L'auteur de la généalogie de la morale est certes un crack, mais sa pensée est limitée comme pour tout le monde il serait donc stupide d'en faire un modèle .
Voici un court passage qui ravirait notre télésophe et autres béat du philosophe allemand qui nous décrit dans ce dit passage sa vision délirante sur certains aspects des femmes qu'adoreraient les féministes et autres fanatique de la chimère de l'égalité, par contre le reste du texte est criant de vérité:
Friedrich Nietzsche écrit dans “Au-delà
du bien et du mal” :
"Se tromper sur le rapport de l’homme et de la femme, n’y pas voir un rapport d’antagonisme fondamental et nier la nécessité même de cette tension éternellement hostile, rêver pour l’homme et pour la femme de droits égaux, d’éducation semblable, de mêmes prétentions et de mêmes obligations est un signe
infaillible de platitude d’esprit, et un penseur atteint de platitude dans ce domaine critique qui est celui de l’instinct peut être considéré comme suspect d’une manière générale ; plus même, il s’est trahi et découvert : ses vues seront sans doute trop courtes pour tout ce qui concerne les questions fondamentales de la vie, y compris celles de la vie future, et il sera lui-même incapable de la moindre profondeur. Un
homme profond, par son esprit et par ses désirs, et à qui est donnée aussi cette profondeur de la bienveillance, capable de rigueur et de dureté, ce qui la fait facilement confondre avec celles-ci, ne peut raisonner sur la femme qu’en oriental : il ne peut voir en elle qu’un bien, une propriété privée, un être fait pour la domesticité et s’accomplissant dans le service, il ne peut en un mot que s’en remettre sur ce point
à l’incroyable sagesse de l’Orient, à la supériorité de son instinct, comme l’ont fait un jour les Grecs, ces plus grands élèves et héritiers de l’Orient, qui, comme on le sait, d’Homère à Périclès, c’est-à-dire à mesure que leur puissance et leur civilisation se développaient, n’ont fait que témoigner de plus en plus de rigueur envers la femme,autrement dit n’ont fait que s’orientaliser. Combien cela était nécessaire, logique et
même humainement souhaitable ! Et quel sujet de méditations pour notre temps !”