amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
On dénombre au Maroc 12 millions de comptes, toutes catégories confondues, avec un dépôt moyen de 54 245 DH. Si Casablanca et Rabat accaparent le plus gros des dépôts, ce sont les petites localités notamment au Nord qui abritent les comptes les plus garnis.
Où trouve-t-on les plus gros comptes bancaires ? Casablanca et Rabat viennent immédiatement à l’esprit, mais a-t-on une idée précise sur le nombre de comptes qui y sont ouverts ou sur les volumes de liquidités qui y sont stockés ? Et au delà de ces deux locomotives économiques, que sait-on des fonds nichés dans les autres villes ? Des données détaillées sur tous les comptes bancaires ouverts au Maroc, obtenues par La Vie éco, permettent de répondre à ces questions et pour le moins les surprises ne manquent pas.
D’abord, il en ressort qu’en terme global, toutes catégories de clientèles et tous types de comptes confondus, près de 12 millions de comptes étaient ouverts auprès des établissements de la place à fin 2011 dans tout le Maroc, abritant un montant total de 649 milliards de DH. Au niveau national, un compte bancaire est donc doté en moyenne de 54 245 DH.
Dans ce total, ce qui revient aux particuliers est abrité essentiellement dans des comptes sur carnet, des dépôts à terme et des comptes chèque. S’agissant des premiers instruments destinés à la petite épargne (leur encours est limité par la réglementation à 400 000 DH), on dénombre près de 3,2 millions de comptes accueillant 85 milliards de DH, hors banque postale. Sans surprise, Casablanca accapare la part du lion dans ce total avec un encours de comptes sur carnet de près de 22 milliards de DH, soit plus du quart du total. Vient ensuite, loin derrière, le total épargné par les Rbatis qui se monte à 6,2 milliards de DH. Suivent les comptes sur carnet de la ville de Fès qui atteignent 4 milliards de DH. Tanger et Marrakech totalisent 3 milliards de DH chacune. Kénitra, Khouribga, Meknès, Nador, Oujda ou encore Salé accueillent quant à elles autour de 2 milliards de DH chacune. Et à mesure que l’on descend dans le classement, l’on recense des dizaines de localités dont l’encours des comptes sur carnet dépasse à peine 10 millions de DH, ce qui renseigne bien sur le chemin qui reste à parcourir en termes de bancarisation à l’échelle nationale
La suite : http://www.lavieeco.com/news/economie/ou-se-trouvent-les-gros-comptes-bancaires-23827.html
Où trouve-t-on les plus gros comptes bancaires ? Casablanca et Rabat viennent immédiatement à l’esprit, mais a-t-on une idée précise sur le nombre de comptes qui y sont ouverts ou sur les volumes de liquidités qui y sont stockés ? Et au delà de ces deux locomotives économiques, que sait-on des fonds nichés dans les autres villes ? Des données détaillées sur tous les comptes bancaires ouverts au Maroc, obtenues par La Vie éco, permettent de répondre à ces questions et pour le moins les surprises ne manquent pas.
D’abord, il en ressort qu’en terme global, toutes catégories de clientèles et tous types de comptes confondus, près de 12 millions de comptes étaient ouverts auprès des établissements de la place à fin 2011 dans tout le Maroc, abritant un montant total de 649 milliards de DH. Au niveau national, un compte bancaire est donc doté en moyenne de 54 245 DH.
Dans ce total, ce qui revient aux particuliers est abrité essentiellement dans des comptes sur carnet, des dépôts à terme et des comptes chèque. S’agissant des premiers instruments destinés à la petite épargne (leur encours est limité par la réglementation à 400 000 DH), on dénombre près de 3,2 millions de comptes accueillant 85 milliards de DH, hors banque postale. Sans surprise, Casablanca accapare la part du lion dans ce total avec un encours de comptes sur carnet de près de 22 milliards de DH, soit plus du quart du total. Vient ensuite, loin derrière, le total épargné par les Rbatis qui se monte à 6,2 milliards de DH. Suivent les comptes sur carnet de la ville de Fès qui atteignent 4 milliards de DH. Tanger et Marrakech totalisent 3 milliards de DH chacune. Kénitra, Khouribga, Meknès, Nador, Oujda ou encore Salé accueillent quant à elles autour de 2 milliards de DH chacune. Et à mesure que l’on descend dans le classement, l’on recense des dizaines de localités dont l’encours des comptes sur carnet dépasse à peine 10 millions de DH, ce qui renseigne bien sur le chemin qui reste à parcourir en termes de bancarisation à l’échelle nationale
La suite : http://www.lavieeco.com/news/economie/ou-se-trouvent-les-gros-comptes-bancaires-23827.html