Peut etre traiter les homosexuels

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Il n'y a aucune étude sérieuse qui a été mené à ce niveau ... C'est juste une volonté perverse que ont les hétésexuels de vouloir forcer les gens à avoir la même sexualité que eux. Le conformise sécurise les personnes et eur donne l'impression d'être sur le bon chemin ...

A mon avis,c'est plus compliqué. Il y a une contradiction entre un phénomène naturel(l'homosexualité) et la loi religieuse qui le considère comme un péché.D'autre part,les hétérosexuels sont NATURELLEMENT majoritaire (>90%).Donc,ils considèrent,à tort,que c'est la minorité homosexuelle qui est perverse...Ils ont l'impression que les homo. sont responsables de leur orientation sexuelle.
 
Ne detournons pas le sujet aux injures stp:
Bien qu’un continuum étendu existe entre l’hétérosexualité, la bisexualité et l’homosexualité exclusive, il est généralement accepté que, dans notre société, les personnes, qui se déclarent homosexuelles représentent 3 à 4% de la population masculine et 1 à 2% de la population féminine.

Quant aux causes de l’homosexualité, de nombreuses explications, sociologiques ou physiologiques, ont été proposées. Aussi devient-il évident qu’aucun facteur ne peut, à lui seul, expliquer cette orientation sexuelle. Même s’il est reconnu que les origines de l’homosexualité sont, dans la majorité des cas, «environnementales», ce type de facteur ne peut être considéré comme exclusif. Pour une minorité d’homosexuels, une cause dominante, médicale, est de plus en plus évidente.

Il existe, au sein de la communauté chrétienne, une résistance importante et un grand embarras face à cette possible dimension physiologique de l’homosexualité. L’article suivant cherche à examiner l’homosexualité dans une perspective chrétienne et médicale, bien que certains arguments soient aussi pertinents pour l’homosexualité acquise, principalement par des causes sociologiques ou psychologiques.

Dr Calum MacKELLAR

Alors,quelles sont les "causes" de l'HETEROSEXUALITE!
 
A mon avis,c'est plus compliqué. Il y a une contradiction entre un phénomène naturel(l'homosexualité) et la loi religieuse qui le considère comme un péché.D'autre part,les hétérosexuels sont NATURELLEMENT majoritaire (>90%).Donc,ils considèrent,à tort,que c'est la minorité homosexuelle qui est perverse...Ils ont l'impression que les homo. sont responsables de leur orientation sexuelle.

Peut ertre aussi une hypthese car même l'homme hetero eprouvent plus de plaisir à la ******* avec leur partenaire femmes ................;mais c'est pour cela qur c'est normal
 
SS
L’histoire troublée du désir de la profession médicale de traiter l’homosexualité comme une maladie est illustrée par l’exemple de l’Association psychiatrique américaine (APA). Après quelques hésitations, les membres de l’association ont décidé, le 15 décembre 1973, par un vote, de modifier la liste des maladies mentales de 1968, qui incluait l’homosexualité. Sur les 15 membres, 13 ont voté pour effacer l’homosexualité de cette liste.

Il a été alors proposé que l’homosexualité soit considérée seulement comme une orientation sexuelle perturbée, qui n’affecterait pas tous les homosexuels, mais seulement ceux qui seraient insatisfaits de leur situation (et se considéreraient eux-mêmes comme «malades»).

La communauté gay a crié victoire, tandis qu’un grand nombre de psychanalystes et de psychiatres refusaient d’accepter la décision de l’APA et ont demandé son annulation. Un référendum a été proposé en avril 1974. Après un lobbying intensif du mouvement Gay Rights, 58% des 10 000 votants ont confirmé la décision de l’APA d’exclure l’homosexualité de sa liste des désordres mentaux.

Etant donné qu’un scrutin démocratique n’est pas vraiment l’équivalent d’un résultat scientifique8, un grand nombre de défenseurs de l’homosexualité en tant que désordre ont persisté à influencer le monde médical dans la recherche d’un traitement. Pour certains, si l’homosexualité n’était plus une maladie, elle constituait encore une «déviance» ou un «fonctionnement défectueux» chez le patient. Cependant, la ligne étroite entre déviance et maladie n’est pas caractérisée9 et on en revient à redéfinir les limites de la sexualité considérée comme «normale».

De plus en plus d’articles paraissent aujourd’hui dans la presse médicale et démontrent l’existence de causes médicales différentes dans l’orientation homosexuelle. Pour une critique récente de ces propositions, on peut se référer à l’article du Dr J. Bancroft10, qui classe les recherches médicales sous quatre titres: les mécanismes hormonaux, la structure du cerveau, le fonctionnement neuropsychologique et les facteurs génétiques.

Il conclut que le phénomène d’orientation sexuelle est toujours la conséquence d’un processus d’un développement multifactoriel. Aussi, les composantes biologiques devraient-elles être considérées en même temps que des facteurs psychologiques complexes.

Si ce n'était pas un phénomène naturel,pourquoi existerait-il chez les animaux?
 
Les façons de surmonter ces tendances varient pour chaque individu. Il y a cependant plusieurs règles à respecter. Tout d'abord, il faut évidemment renoncer au mode de vie homosexuel, ce qui demande des efforts et de la discipline. Les efforts seront d'ailleurs d'autant plus grands que la dépendance est plus forte. Ensuite, les associations ont un rôle énorme. Il importe donc d'éviter la compagnie d'anciens partenaires qui pratiquent encore, ou la fréquentation de clubs homosexuels. Au contraire, il est bon de chercher le soutien d'associations d'anciens homosexuels qui incitent d'autres à s'en sortir, comme l'International Healing Foundation fondée par Richard Cohen, ou les associations Exodus Europe

2 remarques:"qui pratiquent encore"! les homos comme les hétéros ne passent pas leurs journées à copuler.
D'où vient cet intérêt particulier pour l'homosexualité?
 
Richard Cohen lui-même distingue quatre étapes dans la réorientation sexuelle [5, chap. 4] :
la transition durant laquelle on coupe avec les anciennes habitudes pour former un nouveau réseau de soutien ;
la reconstruction durant laquelle on renforce l'assurance en soi, la communication, la résolution des problèmes pour identifier les pensées, blessures et besoins ;
la guérison des blessures homo-émotionnelles en en identifiant les racines, en commençant le processus de l'affliction, du pardon, de la prise de responsabilité, tout en renormalisant les relations avec le même sexe ;
la guérison des blessures hétéro-émotionnelles, par le même processus.

Tout les spécialistes s'accordent par ailleurs à dire que le soutien spirituel est d'une grande aide dans ce processus de reconversion.


Nous présentons ici une approche parmi d'autres, celle du Dr. Steven A. Richfield (extraits)[*]


"Le traitement de l'homosexualité est une thérapie très exigeante. Sur le plan techinque, le patient présente typiquement plusieurs résistances, conscientes ou non, au fait de grandir. On peut déceler des peurs de l'hétérosexualité qui se manifestent par une grande activité sexuelle, un comportement auto-destructeur ou suicidaire, une certaine passivité, un rejet du problème, un besoin de se justifier, ou autres.

Le thérapeute doit être préparé à ce genre de blocages et à bien d'autres obstacles, et s'appuyer sur la facette de la personnalité du patient qui le pousse au changement. Un tel travail requiert que le patient se sente en sécurité, compris, et convaincu qu'un changement est possible. Si ces conditions ne sont pas satisfaites, le patient ne sentira pas que le thérapeute est "de son côté" et le résultat de la thérapie en sera sérieusement compromis.

Au cours de ces dernières années que j'ai passées à soigner des homosexuels, j'ai appris énormément de choses sur eux -- sur leur état de contradiction interne et leurs efforts pour cacher leurs vies secrètes ; sur leurs sensibilités interpersonnelles ; et surtout, sur leur sens profond de leur sentiment d'infériorité masculine.

A mon sens, ce complexe d'infériorité masculine est un état amené par des années et des années de blessures de l'estime d'un garçon. J'ai appris par expérience que le premier but à se fixer dans une thérapie effectuée sur de tels patients est de travailler à réparer ces dommages et a reconstruire une estime complète de la masculinité du patient. Cette évolution vers un "état phallique" crée un contexte plus sain dans lequel ces hommes peuvent surmonter leurs peurs et appréhender le fait de grandir avec plus de sérénité, car ils peuvent se rendre compte directement des changements dans leur comportement. La thérapie donne au patient une seconde chance de suivre un modèle masculin en la personne du thérapeute, ce qui est crucial pour le résultat du traitement.

Nous allons maintenant énumérer les circonstances spécifiques qui favorisent la consolidation de l'identité masculine. Nous indiquerons au passage les résistances qui font inévitablement surface et exigent des interventions spécifiques pour être efficacement traitées.

Les succès du patient dans ses efforts sont directement liés à son acceptation et à sa reconnaissancedes différents facteurs qui entravé et continuent d'entraver la réalisation de son identité masculine. De ce fait, le thérapeute invite le patient à replonger dans les épisodes marquants de son enfance, à établir des liens entre ces épisodes et des états émotionnels présents et passés, et à mettre un nom sur les phénomènes dégagés. Une fois cette étape accomplie, le terrain est préparé pour guider le patient vers une "masculinisation". Cette planification implique l'exploitation de l'histoire personnelle du patient pour expliquer comment les situations de l'enfance lui ont donné un sentiment d'exclusion du "club masculin" et l'ont porté à croire qu'il n'était "pas à la hauteur".

La persistance de telles convictions l'ont mené à adopter une attitude de soumission et d'auto-exclusion. La soumission est devenu un moyen d'entrer temporairement, bien que de façon humilliante, dans le monde masculin, et l'auto-exclusion a été adoptée pour se prémunir contre des atteintes supplémentaires à la fragile virilité du garçon.

Le thérapeute peut se référer à des tentatives manquées d'affirmation de la masculinité vécues à l'enfance lorsque le patient évoque les échecs et les déceptions qu'il vit quotidiennement. Un discours commun au patient et au thérapeute, qui incorporera les termes utilisés par le patient, les circonstances précises de la dégradation de l'identité masculine, ainsi que les commentaires du thérapeute, fournissent au patient des moyens de mettre des mots sur des sentiments contradictoires qui refont surface.

Donne ta biblio une bonne fois qu'on en finisse.
 
D"abord est ce que cela vaut le coup
QuelleS sont le causes de leur devenir ainsi
y'a t ils que des causes physiques ou aussi psy
certains accepteront de se faire soigner si la cause est psychologique ou physique
cerfains ne sont pas allés vers l'homo suite à des fortes deceptions heteros
on va dicuter librement de toutes vos experiences, les analyser et voir si l'on peut trouver une solution "spectaculaire"


chacun dis ce qu'il a vu, ,entendu, lu......................
Faites des recherches et on va avancer


SVP pas de religion haram halal c'est un plus haut niveau de discussion et pas des jugement,des injures ou l'ironie ..........................;on leur INTERDIT l'homo et peu etre il leu faut des alternatives: soins ou autres



A vos claviers Merci



Ce qui m'importe c"est pas les hs et discussion adulte dans la chartre

ya plusieur theorie comme par exemple kil on un cerveau dhomme au lieu de celui dune femem dou lenvi de ce travestire daimer des homme etc en gros c sa ensuite ya aussi le mal etre leducation a vie ki fai ke voila car a lorigine on es tous conçu pour etre heteros rien dautre le reste c une suite devenement de la vie de lentourage
 
ya plusieur theorie comme par exemple kil on un cerveau dhomme au lieu de celui dune femem dou lenvi de ce travestire daimer des homme etc en gros c sa ensuite ya aussi le mal etre leducation a vie ki fai ke voila car a lorigine on es tous conçu pour etre heteros rien dautre le reste c une suite devenement de la vie de lentourage

Je ne suis pas certain qu'il y'a de telle diference entre les cerveaux homme ou femme.....
C'est l'education qui fait en sorte que l'ecart se creuse avec chacun ses preocupation
Offrir une poupée à un petit garçon....c pas si anodin
 
on va dicuter librement de toutes vos experiences, les analyser et voir si l'on peut trouver une solution "spectaculaire"


un jeune qui est enrain de se chercher on peu l'aider une femme qui a une grande deception avec un mec aboli les homme et devient homos un jeune a frequenté que des homos detoignent sur lui...............................;;;; rt dans ce groupe on peut esayer sz sauvez quelques uns non?

mdrrrrrr :D désole cher Lfmrime, mais tu m'as trop fait rire sur ce post :D
Juste pour information, à la base, l'homosexualité était considéré comme une maladie, mais depuis plus d'une décennie des études sont venues prétendre le contraire. Elle a été retiré de la nomenclature des maladies mais elle laisse une porte ouverte pour toute personne sentant le besoin d'être suivi. Donc médicalement ce n'est plus une maladie
 
mdrrrrrr :D désole cher Lfmrime, mais tu m'as trop fait rire sur ce post :D
Juste pour information, à la base, l'homosexualité était considéré comme une maladie, mais depuis plus d'une décennie des études sont venues prétendre le contraire. Elle a été retiré de la nomenclature des maladies mais elle laisse une porte ouverte pour toute personne sentant le besoin d'être suivi. Donc médicalement ce n'est plus une maladie

oui un très psy parle de homo qui le vivent mal et les autres qui le vivent très bien veulent guerrir et ce groupe il le classe dans la faux homosexualité qu'on peu guerrir dit il?
Pourquoi pas soulager la souffrance de ces jeunes qui souffrent de cette situation

Le medicament lui même ne suffit absolument pas c'est une grand prise en charge psychologique psychiatrique et psychanatiques avec des tendance religieuse pour passer le caop ou d'autre methodes et on ne perd rien à essayer...beaucoup de gens sont entrain de se recherchern faut les recuperer avant de chosir exuse moi le terme le mauvais camp: wallah a3llam
 
oui un très psy parle de homo qui le vivent mal et les autres qui le vivent très bien veulent guerrir et ce groupe il le classe dans la faux homosexualité qu'on peu guerrir dit il?
Pourquoi pas soulager la souffrance de ces jeunes qui souffrent de cette situation

Le medicament lui même ne suffit absolument pas c'est une grand prise en charge psychologique psychiatrique et psychanatiques avec des tendance religieuse pour passer le caop ou d'autre methodes et on ne perd rien à essayer...beaucoup de gens sont entrain de se recherchern faut les recuperer avant de chosir exuse moi le terme le mauvais camp: wallah a3llam

Mais qui te dit qu'ils souffrent :D? Plus sérieusement, tu ne peux plus parler de maladie étant donné qu'elle n'est plus répertorie dans la nomenclature. Dire le contraire c'est se positionné en infraction avec la médecine. T'imagines dire à un patient venez je vais vous délivrer du mal qui vous ronge la santé ou encore vous devez suivre une thérapie pour guérir de votre malaise :eek:. La seule "thérapie" qui peut être envisageable, c'est, celle souhaitée par un homosexuel s'il en sent le besoin.
 
Je ne suis pas certain qu'il y'a de telle diference entre les cerveaux homme ou femme.....
C'est l'education qui fait en sorte que l'ecart se creuse avec chacun ses preocupation
Offrir une poupée à un petit garçon....c pas si anodin

Ce n'est pas parce qu'on donne une poupée à un garçon qu'il deviendra homosexuel,par contre beaucoup d'homo racontent qu'ils étaient plus interessés par les poupées de leurs soeurs que par les voiturettes de leurs frères.Un couturier parisien célèbre...
 
oui un très psy parle de homo qui le vivent mal et les autres qui le vivent très bien veulent guerrir et ce groupe il le classe dans la faux homosexualité qu'on peu guerrir dit il?
Pourquoi pas soulager la souffrance de ces jeunes qui souffrent de cette situation

Le medicament lui même ne suffit absolument pas c'est une grand prise en charge psychologique psychiatrique et psychanatiques avec des tendance religieuse pour passer le caop ou d'autre methodes et on ne perd rien à essayer...beaucoup de gens sont entrain de se recherchern faut les recuperer avant de chosir exuse moi le terme le mauvais camp: wallah a3llam

Le plus simple,c'est pas qu'ils voient ça avec leur médecin?
 
Ce n'est pas parce qu'on donne une poupée à un garçon qu'il deviendra homosexuel,par contre beaucoup d'homo racontent qu'ils étaient plus interessés par les poupées de leurs soeurs que par les voiturettes de leurs frères.Un couturier parisien célèbre...
justement je profites de ce post pour dire que je suis traumatisée.

dans me petite enfance, mon frére me piquait mes poupées (qui fermaient les yeux en posistion couchée et faisaient pipi dans le noir)

il kiffait me les prendre pour jouer avec. je m'explique: il les coupaient en rondelles pour comprendre le mécanisme.

aujourd'hui il n'est pas homo
mais moi je suis triste :(


désolée du HS, je sors,
ps :coucou Lfmrime;)
 
justement je profites de ce post pour dire que je suis traumatisée.

dans me petite enfance, mon frére me piquait mes poupées (qui fermaient les yeux en posistion couchée et faisaient pipi dans le noir)

il kiffait me les prendre pour jouer avec. je m'explique: il les coupaient en rondelles pour comprendre le mécanisme.

aujourd'hui il n'est pas homo
mais moi je suis triste :(


désolée du HS, je sors,
ps :coucou Lfmrime;)


ce n'est pas un hs au contraire peuvent aider à comprendre certaines choses
 
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