polygamie

Salam,

Je voudrais savoir si la loi concernant l’aval de la première épouse est toujours d'actualité....j'ai ma belle sœur qui me confirme que cette loi n'existe plus , qu'il fallait juste l'aval du juge...et elle ne sait plus quoi faire:(
 
Salam,

Je voudrais savoir si la loi concernant l’aval de la première épouse est toujours d'actualité....j'ai ma belle sœur qui me confirme que cette loi n'existe plus , qu'il fallait juste l'aval du juge...et elle ne sait plus quoi faire:(

Personne pour m'éclairer...merci d'avance.
 
Merci ,mais ce n'est pas ce que je cherche ,ma belle sœur vit au Maroc...donc je voulais connaitre ses droits par rapport à sa situation labas.

au maroc tu fais ce que tu veux; le juge qui mettra un mari bigame en prison sur plainte de sa premiere femme pas d accord n est pas encore né, et meme pas encore concu par sa mere
 
B

belgika

Non connecté
En 2004, le code de la famille a été réformé par Notre Majesté Mohammed VI. La Moudwana
impose depuis des conditions au mariage multiple. Le mari doit notamment obtenir une
autorisation écrite de sa première femme pour en prendre une seconde. De plus, il doit prouver
qu’il peut subvenir aux besoins financiers de ses deux épouses et leur garantir le logement et
une pension alimentaire.
Une arme à double tranchant
Grâce à ces nouvelles mesures, certaines femmes se libèrent du joug marital. En refusant de
signer une permission à leur époux, elles obtiennent le divorce. Ainsi, Fatiha a partagé 8 ans de
sa vie avec un homme dont elle s’est séparée en 2005. Il voulait prendre une deuxième
épouse, mais elle a refusé de signer. Elle a ainsi déclenché la procédure de divorce pour
discorde, le chikak, qui lui a permis de rompre les liens du mariage. « Même si le foyer où nous
résidions n’était pas assez grand, pour lui, avoir plusieurs femmes ne signifie qu’un supplément
de virilité » raconte-t-elle. Elle considère que « les femmes ne veulent plus être des objets entre
les mains des hommes. » Cependant, quatre ans après la mise en place de la Moudwana, le
bilan est loin d’être satisfaisant ! Les femmes subissent encore de très nombreuses pressions.
Certains juges se servent ainsi du Chikak comme d’une menace. Les femmes qui n’ont pas
les moyens de s’assumer matériellement ne peuvent pas se permettre de divorcer, elles se
voient contrainte d’accepter la deuxième épouse. Et Saïda Drissi remarque : « Quand on
connait la situation de ces femmes, ce n’est pas ce que l’on appelle avoir le choix ! » Toutes
n’ont effectivement pas les moyens, financiers ou culturels, de prendre un avocat, ou de se
défendre face aux arguments de la justice : l’analphabétisme touche encore près d’une femme
sur deux dans le pays. Nombreuses sont celles qui renoncent à leurs droits si elles refusent la
deuxième épouse. Elles abandonnent logement, pension alimentaire et parfois même enfants,
pour pouvoir quitter une situation qui ne leur convient pas. « Le Code de la famille maintient la
polygamie, la répudiation, l’incapacité des mères à exercer la tutelle légale sur leurs enfants


Bonjour voiçi ce que j'ai trouvé concernant la polygamie , apparement l'époux doit obtenir une signature de sa première épouse selon le Code de Famille réformé

lien http://www.yopdf.com/polygamie-au-maroc-pdf.html#a1
 
et pourquoi va t il le mettre en prison; il na pas commis un pehé

Si l adoul marie le mari sans verifier le consentement de la premiere epouse, ou si le mari ment a l adoul sur cela
etc...
ou consentement de l epouse obtenu par viloence, mensonge tromperie pression etc...

il y a normalement delit penal

mais comme je le dis , tout le monde s en fout et le juge qui condamnera n est pas necore né;

au Maroc; le code de la famille a pour objet de limiter voire interdire la polygamie
mais

la paix sociale et religieuse est la priorite

alors qaund il y a des problemes l urgence est de fermer les yeux pour ne rien voir
 
En 2004, le code de la famille a été réformé par Notre Majesté Mohammed VI. La Moudwana
impose depuis des conditions au mariage multiple. Le mari doit notamment obtenir une
autorisation écrite de sa première femme pour en prendre une seconde. De plus, il doit prouver
qu’il peut subvenir aux besoins financiers de ses deux épouses et leur garantir le logement et
une pension alimentaire.
Une arme à double tranchant
Grâce à ces nouvelles mesures, certaines femmes se libèrent du joug marital. En refusant de
signer une permission à leur époux, elles obtiennent le divorce. Ainsi, Fatiha a partagé 8 ans de
sa vie avec un homme dont elle s’est séparée en 2005. Il voulait prendre une deuxième
épouse, mais elle a refusé de signer. Elle a ainsi déclenché la procédure de divorce pour
discorde, le chikak, qui lui a permis de rompre les liens du mariage. « Même si le foyer où nous
résidions n’était pas assez grand, pour lui, avoir plusieurs femmes ne signifie qu’un supplément
de virilité » raconte-t-elle. Elle considère que « les femmes ne veulent plus être des objets entre
les mains des hommes. » Cependant, quatre ans après la mise en place de la Moudwana, le
bilan est loin d’être satisfaisant ! Les femmes subissent encore de très nombreuses pressions.
Certains juges se servent ainsi du Chikak comme d’une menace. Les femmes qui n’ont pas
les moyens de s’assumer matériellement ne peuvent pas se permettre de divorcer, elles se
voient contrainte d’accepter la deuxième épouse. Et Saïda Drissi remarque : « Quand on
connait la situation de ces femmes, ce n’est pas ce que l’on appelle avoir le choix ! » Toutes
n’ont effectivement pas les moyens, financiers ou culturels, de prendre un avocat, ou de se
défendre face aux arguments de la justice : l’analphabétisme touche encore près d’une femme
sur deux dans le pays. Nombreuses sont celles qui renoncent à leurs droits si elles refusent la
deuxième épouse. Elles abandonnent logement, pension alimentaire et parfois même enfants,
pour pouvoir quitter une situation qui ne leur convient pas. « Le Code de la famille maintient la
polygamie, la répudiation, l’incapacité des mères à exercer la tutelle légale sur leurs enfants


Bonjour voiçi ce que j'ai trouvé concernant la polygamie , apparement l'époux doit obtenir une signature de sa première épouse selon le Code de Famille réformé

lien http://www.yopdf.com/polygamie-au-maroc-pdf.html#a1

merci beaucoup...Ben ,c'est ce que je craignais...Le mari doit obtenir une
autorisation écrite de sa première femme pour en prendre une seconde...mais comme le dis foukadz "tout le monde s'en fout"...puisque de toute façon le juge qui condamnera le non respect de la moudawana n'est pas encore né...c'est triste:(

Si l adoul marie le mari sans verifier le consentement de la premiere epouse, ou si le mari ment a l adoul sur cela
etc...
ou consentement de l epouse obtenu par viloence, mensonge tromperie pression etc...

il y a normalement delit penal

mais comme je le dis , tout le monde s en fout et le juge qui condamnera n est pas necore né;

au Maroc; le code de la famille a pour objet de limiter voire interdire la polygamie
mais

la paix sociale et religieuse est la priorite

alors qaund il y a des problemes l urgence est de fermer les yeux pour ne rien voir
 
et pourquoi va t il le mettre en prison; il na pas commis un pehé

Je suis tout à fait consciente que ce n'est pas un péché...mais Dieu l'a permis à une seul condition d'être équitable envers elle mais il nous a signalé en même temps que cela était impossible donc la polygamie n'est permise qu'à des conditions extrêmes enfin,allahoua3lam....connaissant le mari de ma belle sœur je sais qu'il ne le sera pas...malheureusement.:(
 
Je suis tout à fait consciente que ce n'est pas un péché...mais Dieu l'a permis à une seul condition d'être équitable envers elle mais il nous a signalé en même temps que cela était impossible donc la polygamie n'est permise qu'à des conditions extrêmes enfin,allahoua3lam....connaissant le mari de ma belle sœur je sais qu'il ne le sera pas...malheureusement.:(


faut arretter avec cette théorie de la permission de la polygamie qu'en cas de stérilité, ou de premier épouse unijambiste ou muni d'un oeil crevé

si le gars veux épouser deux bombes, il a le droit
ne rendez pas illicite ce qui est licite
 
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