Khoulood
Chauvophobe
Ibn Abbâs a dit : « Quand les souffrances du Prophète devinrent plus vives, il s’écrira : « Qu’on m’apporte de quoi écrire afin que je vous mette par écrit ce qui vous préservera de l’erreur après moi ! – ’Umar dit alors :l’homme [le Prophète] est en train de délirer ; nous avons le Livre de Dieu qui nous suffit. »
Les avis à ce moment furent partagés et la discussion devint bruyante. « Retirez-vous, laissez-moi, reprit alors le Prophète, il ne convient pas qu’on se dispute en ma présence ! » Ibn Abbâs sortit en disant : « C’est mal, aussi mal que possible, de faire obstacle au Prophète quand il désire écrire. »
[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 1» (El Bokhâri; Titre : «De la science» ; Chapitre XXXIX : «De la mise par écrit de la tradition»; hadith n°4 ; (page 56)]
D’après Sa’îd ben Djobaïr, Ibn Abbâs dit : «Le jeudi, ah ! Ce qu’est le jeudi !» et il se mit à pleurer si fort, que ses larmes mouillaient les cailloux du sol."
Selon Ibn Abbâs cité par Çahîh Muslim, lorsque le Saint prophète agonisait sur son lit de mort, `Omar Ibn al-Khattâb et d'autres Compagnons étaient présents. Le Saint Prophète demanda : «Apportez-moi du papier et de l'encre pour que je vous écrive quelque chose (comme testament) grâce auquel vous ne serez pas égarés après moi.». `Omar Ibn al-Khattâb s'opposa à la demande du Prophète et dit : «Le Prophète divague. Nous avons le Saint Coran, et ceci nous suffit largement». Sur ce, une dispute éclata entre les Compagnons présents. Les uns disaient : «Il est obligatoire d'obéir aux ordres du Prophète et de le laisser écrire ce qu'il veut écrire à notre intention».
D'autres approuvèrent `Omar dans son objection. Lorsque la dispute s'envenima, le Saint Prophète outré, s’écria : «Allez-vous-en». Ibn `Abbâs dit à ce propos: «C'était une vraie tragédie et un désastre que le Prophète n'ait pas pu écrire ce qu'il voulait écrire, à cause de la dispute et des dissensions entre les gens présents auprès de lui».
Sa`îd Ibn Jubayr rapporte, dans "Musnad Ahmad Ibn Hanbal" et "Çahîh Muslim" ce témoignage de `Abdullâh Ibn Abbâs : «Quelle journée que celle de Jeudi ! (Il se mit à pleurer tellement en évoquant cette journée que ses larmes coulaient sur ses joues comme un fil de perles). Puis, il expliqua que le Jeudi en question était le jour où le Saint prophète avait demandé : «Apportez-moi de quoi écrire quelque chose grâce auquel vous ne vous égarerez jamais après moi». Mais hélas! Les gens dirent : «Il délire».
Les avis à ce moment furent partagés et la discussion devint bruyante. « Retirez-vous, laissez-moi, reprit alors le Prophète, il ne convient pas qu’on se dispute en ma présence ! » Ibn Abbâs sortit en disant : « C’est mal, aussi mal que possible, de faire obstacle au Prophète quand il désire écrire. »
[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 1» (El Bokhâri; Titre : «De la science» ; Chapitre XXXIX : «De la mise par écrit de la tradition»; hadith n°4 ; (page 56)]
D’après Sa’îd ben Djobaïr, Ibn Abbâs dit : «Le jeudi, ah ! Ce qu’est le jeudi !» et il se mit à pleurer si fort, que ses larmes mouillaient les cailloux du sol."
Selon Ibn Abbâs cité par Çahîh Muslim, lorsque le Saint prophète agonisait sur son lit de mort, `Omar Ibn al-Khattâb et d'autres Compagnons étaient présents. Le Saint Prophète demanda : «Apportez-moi du papier et de l'encre pour que je vous écrive quelque chose (comme testament) grâce auquel vous ne serez pas égarés après moi.». `Omar Ibn al-Khattâb s'opposa à la demande du Prophète et dit : «Le Prophète divague. Nous avons le Saint Coran, et ceci nous suffit largement». Sur ce, une dispute éclata entre les Compagnons présents. Les uns disaient : «Il est obligatoire d'obéir aux ordres du Prophète et de le laisser écrire ce qu'il veut écrire à notre intention».
D'autres approuvèrent `Omar dans son objection. Lorsque la dispute s'envenima, le Saint Prophète outré, s’écria : «Allez-vous-en». Ibn `Abbâs dit à ce propos: «C'était une vraie tragédie et un désastre que le Prophète n'ait pas pu écrire ce qu'il voulait écrire, à cause de la dispute et des dissensions entre les gens présents auprès de lui».
Abdullah Ibn Abbâs, cité par Sa
îd Ibn Jubayr dans "Çahîh al-Bukhârî" dit à propos de cet incident : «Quelle journée calamiteuse était ce jeudi-là !». Et d'ajouter: «Lorsque ce jeudi l'état de santé du Saint Prophète s'aggrava sérieusement, il demanda qu'on lui apportât du papier et un stylo (de l'encre) pour écrire quelque chose grâce auquel les gens éviteraient de s'égarer après lui, les Compagnons présents se mirent à se disputer à ce propos. Le Messager d'Allah leur fit remarquer qu'il était inconvenable de se quereller devant le Prophète. D'aucuns, répondirent : «Le Prophète délire !». Le Prophète s'écria alors : «Allez-vous-en.J'ai raison quelle que soit la condition dans laquelle je me trouve, et tout ce que vous dites est faux. Laissez-moi seul. Allez-vous-en». Après quoi le Saint Prophète exprima ses trois volontés : 1- chasser tous les mécréants de la Péninsule Arabe; 2- entretenir les délégations venues de loin. Mais le narrateur ne mentionna pas la troisième volonté, ou l'oublia». Sa`îd Ibn Jubayr rapporte, dans "Musnad Ahmad Ibn Hanbal" et "Çahîh Muslim" ce témoignage de `Abdullâh Ibn Abbâs : «Quelle journée que celle de Jeudi ! (Il se mit à pleurer tellement en évoquant cette journée que ses larmes coulaient sur ses joues comme un fil de perles). Puis, il expliqua que le Jeudi en question était le jour où le Saint prophète avait demandé : «Apportez-moi de quoi écrire quelque chose grâce auquel vous ne vous égarerez jamais après moi». Mais hélas! Les gens dirent : «Il délire».