Je voudrais m'exprimer ici au sujet du documentaire que France 3 va mettre à l'antenne le 26 mai.
Je ne réagirai pas par l'insulte ou des références à la vie privée de qui que ce soit, comme certains se sont laissés allé à le faire, cela ne fait partie ni de mes convictions ni de l'idée que je me fais de la déontologie; car en tant qu'écrivain et historien je considère que seule l'argumentation pragmatique peut apporter richesse et intérêt à un débat.
Plutôt que de nous emporter essayons de comprendre... Ce dénigrement du Maroc par certains "médias" n'ai ni nouveau ni dû au seul hasard. Je comprends que lorsque l'on touche à ce que nous avons, nous autres marocaines et marocains, de sacré, certaines et certains puissent perdre leur sang froid et leur discernement. Mais cette attitude épidermique ne peut que verser dans le pugilat et donne une image négative de nous-même. Alors restons dignes pour honorer et défendre notre pays et nos institutions.
En politique rien n'arrive par hasard... Je ne vais pas citer toutes les périodes de notre riche histoire où notre pays a eut a subir des campagnes médiatiques défavorables. Ce serait trop long. Je m'en tiendrai donc aux plus récentes:
Rappelons-nous l'incident diplomatique entre Le Maroc et la France suite à l'indélicatesse des autorités françaises lorsqu'elle ont tenté d'interpeller Monsieur Hammouchi alors qu'il se trouvait chez l'ambassadeur du Royaume en France. Croyez-vous qu'une telle provocation ait été le fruit du hasard? Non, elle a été une réplique calculée à la réorientation stratégique et judicieuse de la politique étrangère du Maroc...
Lorsque Sa Majesté Mohamed VI a entrepris d'investir les marchés africains qui sont la "chasse gardée" de la France, la réponse ne s'est pas fait attendre: C'était donc " la réponse du berger à la bergère".
Il en est de même pour l'affaire du Sahara marocain: une fois de plus la décision pragmatique, courageuse et historique de Sa Majesté Mohamed VI de réorienter les alliances du Maroc en ne les contenant plus seulement aux puissances occidentales, avec à leur tête les Etats unis d'Amérique, mais de les élargir à la Russie, à l'Inde et à la Chine a eut pour conséquence de voir le Secrétaire Général des Nations Unis Monsieur Ban Ki-moon enfreindre la neutralité à laquelle se doivent les Nations-Unies et déclarer, qui plus est, sur le sol Algérien:" Que le Sahara est en état d'occupation par le Maroc".
Cela n'était certainement pas une bévue personnelle de Ban Ki-moon; loin de là: une fois encore c'est une tentative d'intimidation pour faire comprendre au Royaume que "l'Oncle Sam" est mécontent de ce redéploiement d'alliances entrepris par Sa Majesté Mohamed VI.
Car en général, toute puissance dominante n'aime pas qu'un pays de l'importance géostratégique du Maroc s'affranchisse de tout chaperon et de toute influence si ce n'est la sienne propre pour défendre au mieux ses intérêts et ceux de son peuple.
Je ne réagirai pas par l'insulte ou des références à la vie privée de qui que ce soit, comme certains se sont laissés allé à le faire, cela ne fait partie ni de mes convictions ni de l'idée que je me fais de la déontologie; car en tant qu'écrivain et historien je considère que seule l'argumentation pragmatique peut apporter richesse et intérêt à un débat.
Plutôt que de nous emporter essayons de comprendre... Ce dénigrement du Maroc par certains "médias" n'ai ni nouveau ni dû au seul hasard. Je comprends que lorsque l'on touche à ce que nous avons, nous autres marocaines et marocains, de sacré, certaines et certains puissent perdre leur sang froid et leur discernement. Mais cette attitude épidermique ne peut que verser dans le pugilat et donne une image négative de nous-même. Alors restons dignes pour honorer et défendre notre pays et nos institutions.
En politique rien n'arrive par hasard... Je ne vais pas citer toutes les périodes de notre riche histoire où notre pays a eut a subir des campagnes médiatiques défavorables. Ce serait trop long. Je m'en tiendrai donc aux plus récentes:
Rappelons-nous l'incident diplomatique entre Le Maroc et la France suite à l'indélicatesse des autorités françaises lorsqu'elle ont tenté d'interpeller Monsieur Hammouchi alors qu'il se trouvait chez l'ambassadeur du Royaume en France. Croyez-vous qu'une telle provocation ait été le fruit du hasard? Non, elle a été une réplique calculée à la réorientation stratégique et judicieuse de la politique étrangère du Maroc...
Lorsque Sa Majesté Mohamed VI a entrepris d'investir les marchés africains qui sont la "chasse gardée" de la France, la réponse ne s'est pas fait attendre: C'était donc " la réponse du berger à la bergère".
Il en est de même pour l'affaire du Sahara marocain: une fois de plus la décision pragmatique, courageuse et historique de Sa Majesté Mohamed VI de réorienter les alliances du Maroc en ne les contenant plus seulement aux puissances occidentales, avec à leur tête les Etats unis d'Amérique, mais de les élargir à la Russie, à l'Inde et à la Chine a eut pour conséquence de voir le Secrétaire Général des Nations Unis Monsieur Ban Ki-moon enfreindre la neutralité à laquelle se doivent les Nations-Unies et déclarer, qui plus est, sur le sol Algérien:" Que le Sahara est en état d'occupation par le Maroc".
Cela n'était certainement pas une bévue personnelle de Ban Ki-moon; loin de là: une fois encore c'est une tentative d'intimidation pour faire comprendre au Royaume que "l'Oncle Sam" est mécontent de ce redéploiement d'alliances entrepris par Sa Majesté Mohamed VI.
Car en général, toute puissance dominante n'aime pas qu'un pays de l'importance géostratégique du Maroc s'affranchisse de tout chaperon et de toute influence si ce n'est la sienne propre pour défendre au mieux ses intérêts et ceux de son peuple.