O mon doux seigneur,
Lumière de mon cœur,
Inspirateur de la douceur,
C'est a tes côtés que j'apprends,
C'est auprès de toi que j'entend,
C'est loin de toi qu'accoures la tristesse,
C'est a côté de toi que guéris mes faiblesses,
Qui mieux que toi m'écoutes dans le noir...
Qui mieux que toi me réconforte dans le désespoir...
De tes enseignements petit a petit j'apprends la droiture,
De tes paroles Tu m'inspires la sérénité,
Et si je commet encore pas mal de bavure,
Je t'implore de me pardonner...
Du jour ou l'on m'a inculquer que tu existais,
Sache que je n'en ai jamais douter,
Même si ta parole autrefois je reniais,
Dans mon cœur tu as toujours été le premier et le dernier,
J'aimerais tant t'honorer,
Par cents pages de flatterie,
Mais mêmes un millier de mots ne pourrais rivaliser,
A ta générosité infinie,
Merci pour tout mon bon seigneur,
Pardonne moi mes erreurs,
Guide moi vers ta lueur,
Car c'est auprès de toi seul que mourir serait mon bonheur.
Lumière de mon cœur,
Inspirateur de la douceur,
C'est a tes côtés que j'apprends,
C'est auprès de toi que j'entend,
C'est loin de toi qu'accoures la tristesse,
C'est a côté de toi que guéris mes faiblesses,
Qui mieux que toi m'écoutes dans le noir...
Qui mieux que toi me réconforte dans le désespoir...
De tes enseignements petit a petit j'apprends la droiture,
De tes paroles Tu m'inspires la sérénité,
Et si je commet encore pas mal de bavure,
Je t'implore de me pardonner...
Du jour ou l'on m'a inculquer que tu existais,
Sache que je n'en ai jamais douter,
Même si ta parole autrefois je reniais,
Dans mon cœur tu as toujours été le premier et le dernier,
J'aimerais tant t'honorer,
Par cents pages de flatterie,
Mais mêmes un millier de mots ne pourrais rivaliser,
A ta générosité infinie,
Merci pour tout mon bon seigneur,
Pardonne moi mes erreurs,
Guide moi vers ta lueur,
Car c'est auprès de toi seul que mourir serait mon bonheur.