Salam farid,Ils ont aussi recu Gaddafi en grande pompe a Paris... on sait comment ca a tourne.
Comprend pas ce que tu veux dire !
Ils se préparent à attaquer l'Iran ?
Rohani reçu en grande pompe à paris
- Initiateur de la discussion nwidiya
- Date de début
Comprend pas ce que tu veux dire !
Ils se préparent à attaquer l'Iran ?
Non, ils se preparent a signer des contracts juteux.
Quand aux grandes ceremonies, elles sont a prendre avec des pincettes... 
On est tous d'accord, les contrats seront juteux. Et amha, ils profiteront d'abord aux iraniens.Non, ils se preparent a signer des contracts juteux.
Ce que je note c'est que les principaux intéressés ne sont pas encore rentrer en action. Je parle des US qui attendent que Le congrès ratifie l'accord. Comme quoi les choses ne sont pas aussi simple qu'on peut le penser.
Je me méfie des analyses d'un mec qui aime Sarko
J'ai rien gagné du tout'Le problème des discussions avec @nwidiya c'est qu'elle gagne toujours à l'usure
Par contre je te conseille de te remettre aux jus ! Oú alors refile
Moi ton extracteur ! Mr le bourgeois qui nargue son extracteur ! LOL
Je vais m'y remettre la semaine prochaine...Le tien ne marche plus?J'ai rien gagné du tout'
Par contre je te conseille de te remettre aux jus ! Oú alors refile
Moi ton extracteur ! Mr le bourgeois qui nargue son extracteur ! LOL
Si si mais j'ai découvert la rolls ! De la
Marque angel... Plus de 1000 balles donc si je revends le
Mien et le tien, je vais m'en sortir'
Tu as un lien? En quoi il est mieux?Si si mais j'ai découvert la rolls ! De la
Marque angel... Plus de 1000 balles donc si je revends le
Mien et le tien, je vais m'en sortir'
C'est bien parce qu'on est pas du tout HS hein? D'ailleurs il parait que Rohani aime les jus...c'est pour ça qu'on en parle quoi...
Normal, quand on à été biberonné aux médias gauchos.Je me méfie des analyses d'un mec qui aime Sarko
VeraBien
VIB
Et Hollande l'invite au "goûter" pour ne pas avoir à gérer le problème de la présence d'alcool ou non à table... Toutes ces compromissions pour qu'une boîte privée (PSA notamment) puisse signer des contrats
salam Verabien,Et Hollande l'invite au "goûter" pour ne pas avoir à gérer le problème de la présence d'alcool ou non à table... Toutes ces compromissions pour qu'une boîte privée (PSA notamment) puisse signer des contrats
Quand ont a des invités ont évite de les froissés, c'est le minimum qu'ils ne servent pas d'alcool. Je trouve même dommage qu'ils aient annulé le déjeuner.
Pour ce qui est de la réaction des italiens (de couvrir les statues), je trouve ça absurde. Il aurait mieux fallut qu'ils l'invitent dans une bonne pizzeria.
VeraBien
VIB
Salut Uni,
Je peux pas te liker car moi je veux bien qu'on supprime le pinard pour pas choquer l'Ayatollah... Mais alors quand il reçoit chez lui la délégation italienne, faut qu'il serve du pif italien à table pour "honorer" son hôte. Chiche ?
Takamine
"L'Enfer ...c'est moi .. :
vivement la jamaique alors : p
http://31.media.tumblr.com/tumblr_l9gz1cF2bE1qcybzs.JPG
l interdit de l alcool est un mythe .. Le Christ est la porte de l Islam ( j adore cette expression ) .. et moi je boirai son sang jusqu'au dernier jour de ma vie !! et ainsi pour moi le paradis sera une ivresse
Dans l'absolu tu as raison. Mais ici on fait de la politique. Des milliards sont en jeux. Et je trouve normal même sage qu'ils soient flexibles.
Ton analogie aurait été vraiment pertinente, si la religion italiennes les obligeait à ce qu'il y ai de l'alcool à table. Et je crois pas que ce soit le cas. Donc à eux (italien) de mettre de l'eau dans leur vin. Enfin je me comprend.
VeraBien
VIB
Garde-moi un verre, mais perso je préfère le vin des Saints (Emilion, par exemple^^)
VeraBien
VIB
Bah si on va dans les interprétations religieuso-supersticieuses à la noix, l'Italie est le berceau de l'église catholique et le vin est sacrement comme étant le sang de Jésus. Donc, possibilité de consommation obligatoire^^
Mais bon, si on prend les écrits religieux à la lettre, on devient chèvre... Daesh et consorts le prouvent quotidiennement.
J'appelle ça de la sagesse, ça s’acquiert avec l'age
VeraBien
VIB
N'hésite pas à m'avouer ton âge par MP... Perso, je ne suis pas sûr d'avoir atteint le niveau de "sagesse" mais au moins celui de "bon sens paysan" : terre à terre donc. Et j'avoue que masquer ces "zizis de statues qu'on ne saurait voir" ou planquer les boutanches pour pouvoir aider des entreprises tiers à signer des contrats me semblent un accommodement aussi hypocrite que vénal. Du moins, j'espère que c'est effectivement juste hypocrite et vénal, sinon on est effectivement mal barré car cela voudra dire que nos représentants élus se moquent vraiment éperdument des citoyens qu'ils sont censés représenter.J'appelle ça de la sagesse, ça s’acquiert avec l'age
Oui, je sais, c'est le cas : ils en ont rien à faire... y'a qu'à voir le référendum sur le traité de Lisbonne
A
AncienMembre
Non connecté
On ne courbe plus l'échine la c'est de la sodo ...
Ya quelque jour encore c'était encore la grosse dictature oú y avait zero liberté ! Un malade mental ! Infréquentable dangereux qui travaille à l'enrichissement de l'uranium bla bla bla ...
Puis d'un coup c'est devenu un gentil homme qu'on aime à caresser dans le sens du poils
Ca rappelle khaddafi qui déambule paisiblement dans les jardins de l'elysée
Oú éncore Sarkozy qui qualifie l'Arabie saoudite de modèle de démocratie quand il etait la bas
La prochaine étape c'est quoi? Une inflation* en direct ?
L'argent des pays musulmans achète la France ... Sans parler du Quatar ét des émirats ...
Ahe ouais finalement Ya bien une islamisation de la France... Financièrement parlant
Ahe l'argent le nerfs de la guerre !
Il vient pour signer des contrats et la France refuse d'accéder à ses souhaits de proposer un repas où le vin ne serait pas servi!!
Il n'aura droit qu'à une tasse de café avec mignardises.............sans gélatine
Où se situe la *******??
Il a été interviewé hier par 3 journalistes : Christophe Ayad (Le Monde), Marc Perelman (France 24) et Ludovic Piedtenu (France-Culture). Interview intéressante publiée ce matin. Réservée aux abonnés, la voici donc dans son intégralité.
Hassan Rohani : « La lutte contre le terrorisme doit être la base de tout » en Syrie
Le président iranien évoque la normalisation des relations avec l’Occident, la crise syrienne et les rapports entre son pays et l’Arabie saoudite.Au terme de sa visite de deux jours en France, la première d’un président iranien depuis dix-sept ans, Hassan Rohani a accordé, jeudi 28 janvier une interview exclusive au Monde, à France 24 et à France-Culture. Il aborde la crise entre l’Iran et l’Arabie saoudite, les négociations de paix sur la Syrie, la lutte contre le terrorisme et les élections législatives à venir dans son pays.
Vous avez été reçu par le pape à Rome et par François Hollande à Paris. Est-ce que l’Iran n’est plus un paria sur la scène internationale ?
L’Iran n’a jamais été un paria, avant comme après l’accord nucléaire. En 2013, mon initiative pour un monde sans violence et sans extrémisme a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies. A cette occasion, je m’étais entretenu avec un grand nombre de leaders européens : ils étaient tous contre les sanctions et j’ai eu le sentiment que rares étaient les pays qui souhaitaient isoler l’Iran. L’Iran a quelque peu souffert de cette situation sur le plan économique, mais désormais nous sommes dans une situation plus favorable.
Avec les Etats-Unis, vous échangez des prisonniers et vous avez des échanges diplomatiques. Est-ce que ce n’est pas déjà une forme de normalisation ?
Il y a un nombre important de différends accumulés ces 37 dernières années avec les Etats-Unis, il est très difficile de tous les résoudre en un laps de temps aussi court. J’ai eu dit lors de mon entretien [avec le président Barack Obama] que nous souhaitions atténuer la tension entre les deux pays et il me semble qu’elle a diminué. Dès que les élections, en Iran et aux Etats-Unis seront passées, nous devrons reprendre le fil des choses. Cependant, nous avons un long chemin à parcourir. Entre deux grands pays, les problèmes ne sont pas appelés à perdurer et nous les réglerons un jour. Mais, à court terme, il est évident qu’il sera très difficile de tout régler.
Suite
Hassan Rohani : « La lutte contre le terrorisme doit être la base de tout » en Syrie
Le président iranien évoque la normalisation des relations avec l’Occident, la crise syrienne et les rapports entre son pays et l’Arabie saoudite.Au terme de sa visite de deux jours en France, la première d’un président iranien depuis dix-sept ans, Hassan Rohani a accordé, jeudi 28 janvier une interview exclusive au Monde, à France 24 et à France-Culture. Il aborde la crise entre l’Iran et l’Arabie saoudite, les négociations de paix sur la Syrie, la lutte contre le terrorisme et les élections législatives à venir dans son pays.
Vous avez été reçu par le pape à Rome et par François Hollande à Paris. Est-ce que l’Iran n’est plus un paria sur la scène internationale ?
L’Iran n’a jamais été un paria, avant comme après l’accord nucléaire. En 2013, mon initiative pour un monde sans violence et sans extrémisme a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies. A cette occasion, je m’étais entretenu avec un grand nombre de leaders européens : ils étaient tous contre les sanctions et j’ai eu le sentiment que rares étaient les pays qui souhaitaient isoler l’Iran. L’Iran a quelque peu souffert de cette situation sur le plan économique, mais désormais nous sommes dans une situation plus favorable.
Avec les Etats-Unis, vous échangez des prisonniers et vous avez des échanges diplomatiques. Est-ce que ce n’est pas déjà une forme de normalisation ?
Il y a un nombre important de différends accumulés ces 37 dernières années avec les Etats-Unis, il est très difficile de tous les résoudre en un laps de temps aussi court. J’ai eu dit lors de mon entretien [avec le président Barack Obama] que nous souhaitions atténuer la tension entre les deux pays et il me semble qu’elle a diminué. Dès que les élections, en Iran et aux Etats-Unis seront passées, nous devrons reprendre le fil des choses. Cependant, nous avons un long chemin à parcourir. Entre deux grands pays, les problèmes ne sont pas appelés à perdurer et nous les réglerons un jour. Mais, à court terme, il est évident qu’il sera très difficile de tout régler.
Suite
Y a-t-il un tournant de la politique américaine dans la région dans le sens d’un rapprochement avec l’Iran et d’une plus grande distance avec l’Arabie saoudite ?
Le dossier nucléaire en soi constituait un problème difficile et compliqué. L’Amérique a joué un rôle actif et important dans son règlement. Le fait que nous ayons passé cet accord avec le groupe 5 + 1 [Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne] constitue un pas en avant. S’agissant des négociations sur la Syrie, nous participons à des réunions auxquelles les Etats-Unis participent également, ce qui était inconcevable il y a quelques années. Les choses ont beaucoup changé. Les Américains trouvent que l’Iran est le seul pays de la région capable de combattre le terrorisme. Nous tenons des élections régulières en Iran, alors que les pays qui nous entourent ont très rarement procédé à des élections démocratiques.
Vous parlez peut-être ici de l’Arabie saoudite, avec laquelle vos relations sont rompues depuis l’exécution d’un important dignitaire chiite suivie du saccage et l’incendie de l’ambassade saoudienne à Téhéran…
Certains événements se sont produits entre nos deux pays sur lesquels nous ne sommes pas d’accord. D’une part, il y a eu la mise à mort d’un religieux chiite important qui militait contre la discrimination. Le peuple iranien a été très attristé et même les pays occidentaux ont condamné cet acte contraire à tous les principes et que personne ne peut soutenir.
D’autre part, vous savez ce qui s’est passé à Téhéran contre l’ambassade saoudienne. Nous n’avons pas approuvé ces actes, j’ai été le premier à les condamner et j’ai donné l’ordre d’arrêter les fautifs. Ils sont en prison et seront jugés. Mais la réaction de l’Arabie saoudite était disproportionnée par rapport à ces événements. Cela me fait penser à quelqu’un qui a commis une faute et qui sème le chaos pour échapper à sa responsabilité. Le peuple saoudien est notre voisin et notre frère en religion. Nous ne souhaitons pas de tension entre les deux pays, par conséquent nous devons régler avec sagesse les problèmes qui nous éloignent l’un de l’autre.
Quels gestes attendez-vous de Riyad pour restaurer les relations diplomatiques ?
Le pays qui a rompu les relations [diplomatiques] doit faire le premier pas pour les rétablir et remédier à cette situation. Je suis persuadé que l’Arabie saoudite regrettera ses actes dans le futur. Nous n’avons rien à compenser : ce que nous avons fait, nous l’avons fait ; et ce que nous avions à faire, nous l’avons fait. Nous avons retrouvé les agresseurs de l’ambassade, ils seront jugés. S’agissant de la rupture des relations, il revient à l’Arabie saoudite d’y remédier.
suite
Le dossier nucléaire en soi constituait un problème difficile et compliqué. L’Amérique a joué un rôle actif et important dans son règlement. Le fait que nous ayons passé cet accord avec le groupe 5 + 1 [Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne] constitue un pas en avant. S’agissant des négociations sur la Syrie, nous participons à des réunions auxquelles les Etats-Unis participent également, ce qui était inconcevable il y a quelques années. Les choses ont beaucoup changé. Les Américains trouvent que l’Iran est le seul pays de la région capable de combattre le terrorisme. Nous tenons des élections régulières en Iran, alors que les pays qui nous entourent ont très rarement procédé à des élections démocratiques.
Vous parlez peut-être ici de l’Arabie saoudite, avec laquelle vos relations sont rompues depuis l’exécution d’un important dignitaire chiite suivie du saccage et l’incendie de l’ambassade saoudienne à Téhéran…
Certains événements se sont produits entre nos deux pays sur lesquels nous ne sommes pas d’accord. D’une part, il y a eu la mise à mort d’un religieux chiite important qui militait contre la discrimination. Le peuple iranien a été très attristé et même les pays occidentaux ont condamné cet acte contraire à tous les principes et que personne ne peut soutenir.
D’autre part, vous savez ce qui s’est passé à Téhéran contre l’ambassade saoudienne. Nous n’avons pas approuvé ces actes, j’ai été le premier à les condamner et j’ai donné l’ordre d’arrêter les fautifs. Ils sont en prison et seront jugés. Mais la réaction de l’Arabie saoudite était disproportionnée par rapport à ces événements. Cela me fait penser à quelqu’un qui a commis une faute et qui sème le chaos pour échapper à sa responsabilité. Le peuple saoudien est notre voisin et notre frère en religion. Nous ne souhaitons pas de tension entre les deux pays, par conséquent nous devons régler avec sagesse les problèmes qui nous éloignent l’un de l’autre.
Quels gestes attendez-vous de Riyad pour restaurer les relations diplomatiques ?
Le pays qui a rompu les relations [diplomatiques] doit faire le premier pas pour les rétablir et remédier à cette situation. Je suis persuadé que l’Arabie saoudite regrettera ses actes dans le futur. Nous n’avons rien à compenser : ce que nous avons fait, nous l’avons fait ; et ce que nous avions à faire, nous l’avons fait. Nous avons retrouvé les agresseurs de l’ambassade, ils seront jugés. S’agissant de la rupture des relations, il revient à l’Arabie saoudite d’y remédier.
suite
Vous accusez régulièrement les Saoudiens de financer le terrorisme et le mouvement Etat islamique. Quelles sont vos preuves ?
Ce n’est pas difficile, il suffit de demander aux gouvernements et aux peuples touchés par le terrorisme, en Irak, en Syrie. Cette pensée de la violence, d’où vient-elle ? Quelles sont ses racines ? Qui a mené les premières actions terroristes, quelle nationalité ? Tout cela est facile à vérifier. Le problème n’est pas là. Il faut que tout le monde dans la région combatte le terrorisme, qui est une menace pour la région mais aussi pour le monde entier.
Etes-vous prêt à unir vos efforts et à travailler avec la Coalition internationale contre l’Etat islamique à laquelle appartiennent la France et les Etats-Unis ?
Il y a aussi une coalition entre l’Iran, l’Irak, la Syrie et la Russie, il existe beaucoup de coalitions. Nous avons toujours combattu le terrorisme et, sans notre aide, d’autres villes irakiennes que Mossoul seraient tombées. L’important, ce ne sont pas les appellations, ce sont les actes. Les Etats doivent s’engager. Si nous voulons agir en Irak, il faut se coordonner avec le gouvernement irakien.
Vous perdez beaucoup d’hommes en Syrie, même des généraux. Jusqu’à quand va durer votre présence militaire en Syrie ?
Nos conseillers sont présents en Irak et en Syrie à la demande des gouvernements de ces pays. Quand des conseillers militaires sont envoyés dans une région en guerre, il se peut qu’il y ait des martyrs. Nous ne sommes pas prêts à accepter l’insécurité en Irak, en Syrie et même en Afghanistan. L’insécurité dans ces pays peut se propager à d’autres pays. Donc, nous ne pouvons pas prévoir combien de temps.
François Hollande vous a-t-il proposé une coordination dans la lutte contre le terrorisme ?
Lors de notre entretien, nous avons discuté du danger que représente le terrorisme. Notre coopération ne doit pas seulement concerner la chose militaire, mais tous les domaines. Nous pouvons coopérer politiquement, par exemple en Syrie où nous pouvons user de notre influence pour aider au retour de la paix et à la stabilité. Nous pouvons aussi coopérer dans le domaine du renseignement. Après ma visite en France, je suis persuadé que nos consultations vont s’intensifier.
Ce n’est pas difficile, il suffit de demander aux gouvernements et aux peuples touchés par le terrorisme, en Irak, en Syrie. Cette pensée de la violence, d’où vient-elle ? Quelles sont ses racines ? Qui a mené les premières actions terroristes, quelle nationalité ? Tout cela est facile à vérifier. Le problème n’est pas là. Il faut que tout le monde dans la région combatte le terrorisme, qui est une menace pour la région mais aussi pour le monde entier.
Etes-vous prêt à unir vos efforts et à travailler avec la Coalition internationale contre l’Etat islamique à laquelle appartiennent la France et les Etats-Unis ?
Il y a aussi une coalition entre l’Iran, l’Irak, la Syrie et la Russie, il existe beaucoup de coalitions. Nous avons toujours combattu le terrorisme et, sans notre aide, d’autres villes irakiennes que Mossoul seraient tombées. L’important, ce ne sont pas les appellations, ce sont les actes. Les Etats doivent s’engager. Si nous voulons agir en Irak, il faut se coordonner avec le gouvernement irakien.
Vous perdez beaucoup d’hommes en Syrie, même des généraux. Jusqu’à quand va durer votre présence militaire en Syrie ?
Nos conseillers sont présents en Irak et en Syrie à la demande des gouvernements de ces pays. Quand des conseillers militaires sont envoyés dans une région en guerre, il se peut qu’il y ait des martyrs. Nous ne sommes pas prêts à accepter l’insécurité en Irak, en Syrie et même en Afghanistan. L’insécurité dans ces pays peut se propager à d’autres pays. Donc, nous ne pouvons pas prévoir combien de temps.
François Hollande vous a-t-il proposé une coordination dans la lutte contre le terrorisme ?
Lors de notre entretien, nous avons discuté du danger que représente le terrorisme. Notre coopération ne doit pas seulement concerner la chose militaire, mais tous les domaines. Nous pouvons coopérer politiquement, par exemple en Syrie où nous pouvons user de notre influence pour aider au retour de la paix et à la stabilité. Nous pouvons aussi coopérer dans le domaine du renseignement. Après ma visite en France, je suis persuadé que nos consultations vont s’intensifier.
Des négociations de paix sur la Syrie devaient débuter vendredi matin à Genève. Qu’en attendez-vous ?
Nous espérons que ces négociations aboutissent le plus rapidement possible, mais cela m’étonnerait parce qu’en Syrie, il y a des groupes qui sont en guerre contre le gouvernement central, mais aussi entre eux. Il y a aussi des ingérences étrangères, des envois d’armes. La solution à la crise syrienne est politique, mais il sera compliqué d’y parvenir en l’espace de quelques semaines et quelques réunions. C’est trop optimiste. La question syrienne réclame les efforts de tous, elle doit être notre priorité. Il nous faut commencer par combattre et éradiquer le terrorisme, pour créer les conditions adéquates d’un retour à la paix et à la stabilité, afin que les réfugiés rentrent chez eux. Ensuite, il faudra amender la Constitution. Des négociations entre le gouvernement central et les opposants doivent conduire à des élections. Il y a beaucoup de choses à faire. Un cessez-le-feu est la première d’entre elle.
Il semble que les dirigeants occidentaux sont de plus en plus prêts à s’accommoder de Bachar Al-Assad, malgré les crimes qu’il a commis.
En Syrie, ceux qui commettent les crimes sont les terroristes, ils décapitent les innocents, commettent des massacres. Ce sont eux les vrais criminels. Il faut les détruire, les éradiquer. Quant à l’avenir du gouvernement syrien, cela n’a pas d’intérêt au moment où nous sommes. A court terme, il n’y a pas d’autre solution [que Bachar Al-Assad]. Si nous voulons combattre le terrorisme, il faut aider l’armée syrienne, qui ne peut pas faire son travail sans un gouvernement central solide. Ce dilemme Bachar/pas Bachar ne reflète pas la réalité du terrain. On peut y penser à long terme, mais les pays occidentaux doivent accepter cette réalité : ils ne peuvent pas choisir à la place du peuple syrien. Nous devons d’abord rétablir la sécurité du pays. Sinon comment organiser des élections valables alors que 60 % du territoire est occupé par des terroristes ? Comment concevoir un avenir dans ces conditions ? La lutte contre le terrorisme doit être la base de tout.
Nous espérons que ces négociations aboutissent le plus rapidement possible, mais cela m’étonnerait parce qu’en Syrie, il y a des groupes qui sont en guerre contre le gouvernement central, mais aussi entre eux. Il y a aussi des ingérences étrangères, des envois d’armes. La solution à la crise syrienne est politique, mais il sera compliqué d’y parvenir en l’espace de quelques semaines et quelques réunions. C’est trop optimiste. La question syrienne réclame les efforts de tous, elle doit être notre priorité. Il nous faut commencer par combattre et éradiquer le terrorisme, pour créer les conditions adéquates d’un retour à la paix et à la stabilité, afin que les réfugiés rentrent chez eux. Ensuite, il faudra amender la Constitution. Des négociations entre le gouvernement central et les opposants doivent conduire à des élections. Il y a beaucoup de choses à faire. Un cessez-le-feu est la première d’entre elle.
Il semble que les dirigeants occidentaux sont de plus en plus prêts à s’accommoder de Bachar Al-Assad, malgré les crimes qu’il a commis.
En Syrie, ceux qui commettent les crimes sont les terroristes, ils décapitent les innocents, commettent des massacres. Ce sont eux les vrais criminels. Il faut les détruire, les éradiquer. Quant à l’avenir du gouvernement syrien, cela n’a pas d’intérêt au moment où nous sommes. A court terme, il n’y a pas d’autre solution [que Bachar Al-Assad]. Si nous voulons combattre le terrorisme, il faut aider l’armée syrienne, qui ne peut pas faire son travail sans un gouvernement central solide. Ce dilemme Bachar/pas Bachar ne reflète pas la réalité du terrain. On peut y penser à long terme, mais les pays occidentaux doivent accepter cette réalité : ils ne peuvent pas choisir à la place du peuple syrien. Nous devons d’abord rétablir la sécurité du pays. Sinon comment organiser des élections valables alors que 60 % du territoire est occupé par des terroristes ? Comment concevoir un avenir dans ces conditions ? La lutte contre le terrorisme doit être la base de tout.
Des législatives doivent se tenir fin février dans votre pays. De nombreux candidats ont été disqualifiés et vous avez fait part de votre irritation. Est-ce que vous avez l’impression que certains groupes essaient de bloquer vos réformes ?
Les candidatures aux législatives passent par plusieurs étapes. Le Conseil de gardiens de la Constitution se prononcera en dernier ressort. Nous attendons son intervention pour que les choses aillent dans le sens d’une plus grande participation de la population. Il ne faut pas décevoir les Iraniens. Il existe chez nous des courants de pensée différents et donc des divergences. On peut s’opposer à la politique du gouvernement. Ceci dit, il faut que ce soit dans le cadre de la loi et de la morale.
Pendant votre campagne, vous aviez promis des améliorations en matière de droits de l’homme et de liberté d’expression. Or on continue d’emprisonner des journalistes et d’exécuter des mineurs. Vous aviez aussi promis de faire libérer Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi (tous deux candidats malheureux à la présidentielle de 2009 et assignés à résidence).
Le gouvernement agit dans les limites de ses compétences et le peuple connaît parfaitement ses limites. Le pouvoir judiciaire est indépendant, le législatif aussi. Il se peut qu’il n’y ait pas d’identité de vue entre ces trois pouvoirs. Je peux proposer des lois à l’assemblée qui ne les adoptera pas. Sur tel ou tel dossier, je peux avoir ma propre opinion. Mais il est essentiel que nous respections la loi. En tant que président, même si je ne suis pas d’accord avec une mesure votée par l’assemblée et ratifiée par le Conseil des gardiens, je suis obligé de l’appliquer.
S’agissant de mes promesses, j’ai honoré une grande partie d’entre elles. Pour le reste, je fais tous les efforts possibles. La situation économique s’est améliorée, mais nous allons avoir une année difficile à cause du prix du pétrole, qui est passé de 100 dollars à 20 dollars. Il reste que la situation actuelle diffère beaucoup de celle qui prévalait avant mon arrivée et personne ne peut me critiquer. D’ailleurs, aujourd’hui, beaucoup de gens peuvent se permettre de critiquer le gouvernement en toute liberté. Dans les universités, des groupes politiques s’expriment librement. J’espère honorer mes promesses dans le temps qui me reste.
Les candidatures aux législatives passent par plusieurs étapes. Le Conseil de gardiens de la Constitution se prononcera en dernier ressort. Nous attendons son intervention pour que les choses aillent dans le sens d’une plus grande participation de la population. Il ne faut pas décevoir les Iraniens. Il existe chez nous des courants de pensée différents et donc des divergences. On peut s’opposer à la politique du gouvernement. Ceci dit, il faut que ce soit dans le cadre de la loi et de la morale.
Pendant votre campagne, vous aviez promis des améliorations en matière de droits de l’homme et de liberté d’expression. Or on continue d’emprisonner des journalistes et d’exécuter des mineurs. Vous aviez aussi promis de faire libérer Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi (tous deux candidats malheureux à la présidentielle de 2009 et assignés à résidence).
Le gouvernement agit dans les limites de ses compétences et le peuple connaît parfaitement ses limites. Le pouvoir judiciaire est indépendant, le législatif aussi. Il se peut qu’il n’y ait pas d’identité de vue entre ces trois pouvoirs. Je peux proposer des lois à l’assemblée qui ne les adoptera pas. Sur tel ou tel dossier, je peux avoir ma propre opinion. Mais il est essentiel que nous respections la loi. En tant que président, même si je ne suis pas d’accord avec une mesure votée par l’assemblée et ratifiée par le Conseil des gardiens, je suis obligé de l’appliquer.
S’agissant de mes promesses, j’ai honoré une grande partie d’entre elles. Pour le reste, je fais tous les efforts possibles. La situation économique s’est améliorée, mais nous allons avoir une année difficile à cause du prix du pétrole, qui est passé de 100 dollars à 20 dollars. Il reste que la situation actuelle diffère beaucoup de celle qui prévalait avant mon arrivée et personne ne peut me critiquer. D’ailleurs, aujourd’hui, beaucoup de gens peuvent se permettre de critiquer le gouvernement en toute liberté. Dans les universités, des groupes politiques s’expriment librement. J’espère honorer mes promesses dans le temps qui me reste.
compteblad
PLD (Peace, Love and Diversity)
Petite nature oú mec fragile?@nwidiya, quelle vulgarité !
, second degré !La vulgarité c'est les honneurs qui on été faits !
compteblad
PLD (Peace, Love and Diversity)
Je trouve pas correct l attitude glaciale de Hollande
Rohani n'est ni mieux ni pire que Netanyahou qui lui a droit a tous les honneur et les sourires...
Des milliard d euros et on tire la gueule? Si c était moi il n aurait même pas un euro!
Rohani n'est ni mieux ni pire que Netanyahou qui lui a droit a tous les honneur et les sourires...
Des milliard d euros et on tire la gueule? Si c était moi il n aurait même pas un euro!
didadoune
VIB
[/USER]
PS: Tu oublies la crise financière, + la crise économique + la crise sociale fomentée .
Je me demande bien qui occule la crise, on nous en parle peu à la Tv, on devrait introduire un cours de politique dés douze ans tiens.
Tu n'es pas faite pour la politique. Les intérêts de la nation priment sur l’intégrité de notre trou balle
C'est donc cela qui t'attire chez le nain
Salam didadoune,Je me demande bien qui occule la crise, on nous en parle peu à la Tv, on devrait introduire un cours de politique dés douze ans tiens.
C'est donc cela qui t'attire chez le nain
On parle de l'époque de Sarko en passant par la crise des subprimes.
Je suis marocain et je vis au Maroc.
Salam Vera,N'hésite pas à m'avouer ton âge par MP... Perso, je ne suis pas sûr d'avoir atteint le niveau de "sagesse" mais au moins celui de "bon sens paysan" : terre à terre donc. Et j'avoue que masquer ces "zizis de statues qu'on ne saurait voir" ou planquer les boutanches pour pouvoir aider des entreprises tiers à signer des contrats me semblent un accommodement aussi hypocrite que vénal. Du moins, j'espère que c'est effectivement juste hypocrite et vénal, sinon on est effectivement mal barré car cela voudra dire que nos représentants élus se moquent vraiment éperdument des citoyens qu'ils sont censés représenter.
Oui, je sais, c'est le cas : ils en ont rien à faire... y'a qu'à voir le référendum sur le traité de Lisbonne
On peut appeler ça de l'hypocrisie, appât du gain, moi j’appelle ça de la stratégie, du marketing.
PS: Traité de Lisbonne !!! ça ne serait pas une attaque déguisée de mon poulain le Nain