Leonardo Di Caprio, Patrick Bruel, Elsa Zylberstein, Jean Dujardin, Hugh Grant... Chaque année, les tribunes de Roland-Garros se garnissent de célébrités du monde entier. Panama vissé sur la tête, elles sont au premier rang des plus grands matches du tournoi, quand les spectateurs lambda se trouvent relégués loin en haut du court central, voire sur les courts annexes.
Si le tennis s'est indéniablement démocratisé au tournant des années 1960-1970, les nouvelles fractures de la société française sont plus que jamais visibles dans les tribunes, explique Patrick Clastres (1), historien du sport, spécialiste du tennis, et professeur à l’Université de Lausanne.
Une société fragmentée socialement
Les gradins de Roland-Garros sont aujourd'hui bien plus hétérogènes que dans les années 1930, quand ce sport n'était réservé qu'à la classe de loisir parisienne - mélange de grands bourgeois et d'une vieille aristocratie. Mais si les classes moyennes ont fait leur apparition dans les tribunes, les fractures sociales n'ont pas disparu. Loin de là...................
http://tempsreel.nouvelobs.com/spor...s-tribunes-miroir-de-la-fracture-sociale.html141411
Si le tennis s'est indéniablement démocratisé au tournant des années 1960-1970, les nouvelles fractures de la société française sont plus que jamais visibles dans les tribunes, explique Patrick Clastres (1), historien du sport, spécialiste du tennis, et professeur à l’Université de Lausanne.
Une société fragmentée socialement
Les gradins de Roland-Garros sont aujourd'hui bien plus hétérogènes que dans les années 1930, quand ce sport n'était réservé qu'à la classe de loisir parisienne - mélange de grands bourgeois et d'une vieille aristocratie. Mais si les classes moyennes ont fait leur apparition dans les tribunes, les fractures sociales n'ont pas disparu. Loin de là...................
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