Cela fait un mois et 10 jours que Saad Lamjarred est arbitrairement détenu à Fleury-Mérogis, sur une simple allégation de viol, la justice ne disposant d'aucune preuve à son encontre. Pas de flag. Pas de témoin. Pas d'aveu. Rien. Juste une Itt de 2 jours.
Avec l'Affaire Saad Lamjarred, on se rend compte aujourd'hui qu'en France sur de simples soupçons sans aucun fondement vous pouvez faire une garde à vue et finir en détention comme un vulgaire criminel.
D'entrée de jeu, on fait de vous un coupable en vous privant de liberté. On vous livre à la vindicte populaire avant même la tenue de votre procès foulant au sol la présomption d'innocence, pourtant considérée en théorie comme une donnée fondamentale du code pénal.
Le seul élément qu'on a contre vous, C'est une Itt de 2 jours qui ne fait pas mention de viol. L'Itt en elle-même ne constitue pas une preuve, tout bon juriste vous le dira. Elle relate uniquement les blessures ( Des fois il n'est même pas besoin d'être blessé pour avoir plus de 8 jours d'ITT, il suffit de vous rouler par terre, simuler une dépression en alternant pleurs et rires et le tour est joué .. Que si que si ! lisez en bas l'histoire d'Alexandra et vous comprendrez ) que peut avoir une présumée victime. Elle ne précise pas qui a fait quoi et dans quelles circonstances.
"L'ITT n'est pas une preuve, c'est un document d'un médecin, pas d'un haruspice, qui dit : “ si ce récit est vrai, alors l'ITT est de… ”, et même quand il constate des blessures, il ne peut garantir que ces blessures aient été causées comme le déclare la victime.À trop vivre dans une société victimaire, où on n'a pas assez de larmes à verser sur leur épaule, on oublie que les victimes mentent, calculent, ont des intérêts, ou simplement soif d'attention. Bref, elles sont terriblement humaines" (CF. récit ci-dessous ).
Avec Saad Lamjarred, la justice a été tellement expéditive qu'on est choqués. Il n'y a même pas eu de confrontation entre les deux parties. On a assisté à un tour de passe-passe, vendu-adjugé, où Saad Lamjarred a été pris pour le dindon de la farce.
La parole de la présumée victime, elle, n'a même pas été mise en doute par une confrontation qui aurait mis sûrement la lumière sur les tenants et les aboutissants d'une affaire qui suscite moult interrogations aussi importantes les unes que les autres.
https://blogs.mediapart.fr/rachid-b...edium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66
Avec l'Affaire Saad Lamjarred, on se rend compte aujourd'hui qu'en France sur de simples soupçons sans aucun fondement vous pouvez faire une garde à vue et finir en détention comme un vulgaire criminel.
D'entrée de jeu, on fait de vous un coupable en vous privant de liberté. On vous livre à la vindicte populaire avant même la tenue de votre procès foulant au sol la présomption d'innocence, pourtant considérée en théorie comme une donnée fondamentale du code pénal.
Le seul élément qu'on a contre vous, C'est une Itt de 2 jours qui ne fait pas mention de viol. L'Itt en elle-même ne constitue pas une preuve, tout bon juriste vous le dira. Elle relate uniquement les blessures ( Des fois il n'est même pas besoin d'être blessé pour avoir plus de 8 jours d'ITT, il suffit de vous rouler par terre, simuler une dépression en alternant pleurs et rires et le tour est joué .. Que si que si ! lisez en bas l'histoire d'Alexandra et vous comprendrez ) que peut avoir une présumée victime. Elle ne précise pas qui a fait quoi et dans quelles circonstances.
"L'ITT n'est pas une preuve, c'est un document d'un médecin, pas d'un haruspice, qui dit : “ si ce récit est vrai, alors l'ITT est de… ”, et même quand il constate des blessures, il ne peut garantir que ces blessures aient été causées comme le déclare la victime.À trop vivre dans une société victimaire, où on n'a pas assez de larmes à verser sur leur épaule, on oublie que les victimes mentent, calculent, ont des intérêts, ou simplement soif d'attention. Bref, elles sont terriblement humaines" (CF. récit ci-dessous ).
Avec Saad Lamjarred, la justice a été tellement expéditive qu'on est choqués. Il n'y a même pas eu de confrontation entre les deux parties. On a assisté à un tour de passe-passe, vendu-adjugé, où Saad Lamjarred a été pris pour le dindon de la farce.
La parole de la présumée victime, elle, n'a même pas été mise en doute par une confrontation qui aurait mis sûrement la lumière sur les tenants et les aboutissants d'une affaire qui suscite moult interrogations aussi importantes les unes que les autres.
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