Quelques précisions en Introduction :
Le Polisario est reconnu par l’ONU uniquement comme un mouvement politique regroupant des Sahraouis séparatistes.
Le terme « Sahara Occidental » ne correspond pas à un pays mais à une Région ou Partie du Grand Sahara colonisé par l’Espagne qui l’a transmis officiellement au Maroc ( Traité de Madrid).
La Mauritanie de Ould Dadda (qui avait aussi des vues sur l’ancien Sahara Espagnol ) a quitté le Traité de Madrid lorsque ce pays a perdu la Guerre contre le Polisario et l’Algérie de Boumediene
Comme l’Algérie refuse que le HCR ( qui dépend de l’ONU) fasse un recensement des populations sahraouis présentes sur son Sol dans les Camps du Tindouf , l’ONU (comme l’UE d’ailleurs) ne reconnaissent pas au Polisario le Droit de Parler au nom des sahraouis ( dont la majeure partie vit dans les Provinces du Sud Marocain avec la Nationalité Marocaine).
L’ONU est la Seule Organisation internationale Habilitée Juridiquement à reconnaître l’existence officielle d’un Etat.
Cependant, chaque Etat est libre à titre personnel de reconnaître ou non un Etat. A ce jour une Trentaine d’Etats sur 190 reconnaissent la RASD dont une Dizaine en Afrique.
Le Polisario a autoproclamé une RASD (République Arabe Socialiste et Démocratique) que l’ONU ne reconnaît pas ( De même que la Ligue Arabe) .
L’ONU ne reconnaît pas non plus l’existence d’un « Peuple Sahraoui ». L’ONU parle de Populations Sahraouies.
A ce jour, l’UA est la seule Organisation internationale qui reconnaît la RASD comme Etat Membre.
L’ONU n’a jamais considéré l’ancien Sahara Espagnol comme un territoire occupé ou colonisé par le Maroc mais elle ne reconnaît pas non plus la Marocanité du Sahara.
L’ONU parle de « Territoire Non Autonome Disputé » entre le Maroc et le Polisario et précise que rien ne peut être conclu sans un accord d’entente entre les 2 parties ( Accord Mutuellement Acceptable) ; en Clair, si le Maroc ou si le Polisario ne sont pas d’accord, le Statut de ce Territoire ne change pas.
Voir en dessous le Copier Coller cet article Yabiladi du 28 Fev 2017 qui explique pourquoi l'ONU a rejeté après étude l'Option du Référendum : https://www.yabiladi.com/articles/d...marocain-guerguerate-manoeuvre-diversion.html
Le Polisario refuse de se retirer de la zone de Guerguerate. Son chef estime même que le retrait marocain est une «manœuvre» et s’accroche, en revanche, à l’option du référendum mise sous le boisseau par les Nations unies voilà 17 ans.
Visiblement, la direction du Polisario a choisi l’option de la fuite en avant. Pour justifier le maintien de ses milices à Guerguerate, qui paradent sur le tronçon goudronné par les militaires marocains, Brahim Ghali n’a pas hésité à qualifier de «manœuvre» et de «diversion»le retrait unilatéral des Forces armées royales (FAR) de la zone.
Le chef du Front haranguant une foule venue assister, hier, à la commémoration du 41e anniversaire de l’auto-proclamation de la «RASD», a estimé que «la situation actuelle et tout ce qui en découle relève de la responsabilité du seul Maroc».
Faisant fi des recommandations du secrétaire général de l’ONU à son représentant à New York, Brahim Ghali a exigé d’Antonio Guterres et du Conseil de sécurité «d’adopter des mesures concrètes et directes pour mettre fin aux violations marocaines au droit international».
Insister de nouveau sur l’option du référendum
Le leader du Polisario a par ailleurs réitéré son appel à l’organisation d’un «référendum d'autodétermination en faveur du peuple sahraoui». Une option qui n’a plus droit de cité dans les annales de l’ONU, et ce depuis 17 ans. En janvier 2000, Kofi Annan, alors secrétaire général des Nations unies, avais mis un terme à la participation de la Commission d’identification des électeurs éligibles au scrutin référendaire : de 1993 à décembre 1999, seuls 2 130 candidats ont été habilités à voter sur une liste de 51 220 requérants au Sahara occidental.
Cet échec a contraint Kofi Annan à suspendre toute l’opération, sans pour autant remettre en question la présence de la mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso) dans la province. L’impératif du maintien du fragile cessez-le-feu, conclu le 6 septembre 1991, est à l’origine de la décision du Ghanéen.
Brahim Ghali a conclu son intervention en lançant un appel à l’Espagne et la France pour appuyer les thèses de son mouvement séparatiste. Quelques heures auparavant, Paris et Madrid saluaient la décision du Maroc de retirer son armée de la zone de Guerguerate. Il en a été de même pour Washington, les Nations unies et l’Union européenne.
Le Polisario est reconnu par l’ONU uniquement comme un mouvement politique regroupant des Sahraouis séparatistes.
Le terme « Sahara Occidental » ne correspond pas à un pays mais à une Région ou Partie du Grand Sahara colonisé par l’Espagne qui l’a transmis officiellement au Maroc ( Traité de Madrid).
La Mauritanie de Ould Dadda (qui avait aussi des vues sur l’ancien Sahara Espagnol ) a quitté le Traité de Madrid lorsque ce pays a perdu la Guerre contre le Polisario et l’Algérie de Boumediene
Comme l’Algérie refuse que le HCR ( qui dépend de l’ONU) fasse un recensement des populations sahraouis présentes sur son Sol dans les Camps du Tindouf , l’ONU (comme l’UE d’ailleurs) ne reconnaissent pas au Polisario le Droit de Parler au nom des sahraouis ( dont la majeure partie vit dans les Provinces du Sud Marocain avec la Nationalité Marocaine).
L’ONU est la Seule Organisation internationale Habilitée Juridiquement à reconnaître l’existence officielle d’un Etat.
Cependant, chaque Etat est libre à titre personnel de reconnaître ou non un Etat. A ce jour une Trentaine d’Etats sur 190 reconnaissent la RASD dont une Dizaine en Afrique.
Le Polisario a autoproclamé une RASD (République Arabe Socialiste et Démocratique) que l’ONU ne reconnaît pas ( De même que la Ligue Arabe) .
L’ONU ne reconnaît pas non plus l’existence d’un « Peuple Sahraoui ». L’ONU parle de Populations Sahraouies.
A ce jour, l’UA est la seule Organisation internationale qui reconnaît la RASD comme Etat Membre.
L’ONU n’a jamais considéré l’ancien Sahara Espagnol comme un territoire occupé ou colonisé par le Maroc mais elle ne reconnaît pas non plus la Marocanité du Sahara.
L’ONU parle de « Territoire Non Autonome Disputé » entre le Maroc et le Polisario et précise que rien ne peut être conclu sans un accord d’entente entre les 2 parties ( Accord Mutuellement Acceptable) ; en Clair, si le Maroc ou si le Polisario ne sont pas d’accord, le Statut de ce Territoire ne change pas.
Voir en dessous le Copier Coller cet article Yabiladi du 28 Fev 2017 qui explique pourquoi l'ONU a rejeté après étude l'Option du Référendum : https://www.yabiladi.com/articles/d...marocain-guerguerate-manoeuvre-diversion.html
Le Polisario refuse de se retirer de la zone de Guerguerate. Son chef estime même que le retrait marocain est une «manœuvre» et s’accroche, en revanche, à l’option du référendum mise sous le boisseau par les Nations unies voilà 17 ans.
Visiblement, la direction du Polisario a choisi l’option de la fuite en avant. Pour justifier le maintien de ses milices à Guerguerate, qui paradent sur le tronçon goudronné par les militaires marocains, Brahim Ghali n’a pas hésité à qualifier de «manœuvre» et de «diversion»le retrait unilatéral des Forces armées royales (FAR) de la zone.
Le chef du Front haranguant une foule venue assister, hier, à la commémoration du 41e anniversaire de l’auto-proclamation de la «RASD», a estimé que «la situation actuelle et tout ce qui en découle relève de la responsabilité du seul Maroc».
Faisant fi des recommandations du secrétaire général de l’ONU à son représentant à New York, Brahim Ghali a exigé d’Antonio Guterres et du Conseil de sécurité «d’adopter des mesures concrètes et directes pour mettre fin aux violations marocaines au droit international».
Insister de nouveau sur l’option du référendum
Le leader du Polisario a par ailleurs réitéré son appel à l’organisation d’un «référendum d'autodétermination en faveur du peuple sahraoui». Une option qui n’a plus droit de cité dans les annales de l’ONU, et ce depuis 17 ans. En janvier 2000, Kofi Annan, alors secrétaire général des Nations unies, avais mis un terme à la participation de la Commission d’identification des électeurs éligibles au scrutin référendaire : de 1993 à décembre 1999, seuls 2 130 candidats ont été habilités à voter sur une liste de 51 220 requérants au Sahara occidental.
Cet échec a contraint Kofi Annan à suspendre toute l’opération, sans pour autant remettre en question la présence de la mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso) dans la province. L’impératif du maintien du fragile cessez-le-feu, conclu le 6 septembre 1991, est à l’origine de la décision du Ghanéen.
Brahim Ghali a conclu son intervention en lançant un appel à l’Espagne et la France pour appuyer les thèses de son mouvement séparatiste. Quelques heures auparavant, Paris et Madrid saluaient la décision du Maroc de retirer son armée de la zone de Guerguerate. Il en a été de même pour Washington, les Nations unies et l’Union européenne.
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